Suède VS Russie
Forces suédoises (2400):
1 Garde du Corps du Général (Ingemar Elmander)
1 corps d'Hakkapeliita
2 corps de cavalerie lourde
2 corps de dragons
2 batteries demi-canon
12 bataillons Infanterie de ligne
Forces russes (3700):
1er Armée
2 bataillons Infanterie Cosaques
Renfort
2ème Armée & Armée de Moscou
Note de l'aide de camp du Général Elmander :
Le général, désireux de mettre à mal le moral du gouvernement russe, réorganisa son armée à St-Petersbourg avant de partir en direction de Moscou. Il imposa un rythme rapide, une marche forcée pour arriver avant l'hiver. Mais, il du finalement faire une pause avec ses troupes, dans une cuvette naturel à quelque deux kilomètres seulement de Moscou. Un petit village allait faire office de dortoir pour les hommes.
Malheureusement, 2 bataillons de cosaques nous tombèrent dessus, alertant par la même occasion les moscovites. Le général Elmander fit envoyer ses unités de chevaux lourd pour éliminer les cosaques rapidement et profiter du terrain pour organiser ses troupes. Dans son malheur (une cuvette n'est vraiment pas le bon endroit pour se battre) il eut pourtant une chance incroyable. Une colline trônait entre le village (gauche) et une forêt (droit) entouré de quelques vieux murs.
Le général disposa ses deux batteries de demi-canon au sommet puis réparti les bataillons d'infanterie sur les pentes de la collines, en deux rangés. Quand à la cavalerie, elle resta derrière pour les raide.
Les renfort russe (surpris par notre présence si près de Moscou) arriva totalement désorganisé. Encore un avantage que notre général utilisa. Il fit regrouper toutes ses forces de cavaleries pour exécuter des raides rapide sur les canons tiré par des chevaux ainsi que sur les soldats dispercé. Tendis que les canons grondaient, nos hommes attendaient, arme à la main.
La cavalerie, suite à de lourdes pertes du se replier, certaines troupes fuires carément ! Il s'ensuivit alors une bataille rangé. Heureusement, les russes destabilisé se heurtèrent à un mur suédois. Les pertes étaient sévère, de chaque côté, mais les troupes entraîné du général Elmander ne faillir point.
Finalement, après quanrante-cinq minutes de batailles, les russes se mirent à flancher et a fuir. Le général décida d'intencifier le combat, les bataillons, baillonnette en avant finir de terrasser les moscovites. Le général, accompagné des derniers cavaliers chargea pour donner de l'élan et de l'entreint à ses hommes.
Finalement, nous vainquîmes une armée supérieure et nous pûmes, envahirent Moscou, déserté, le lendemain.