campagne contre les germains

Bonjour, je me lance dans un récit qui sera malheureusement pour l'instant sans image (dsl mon pc est en cours d’update, merkit).

Cette histoire est celle de la légion III germina, commandé par le tribun Caius Lucius, basée à mogonttacum à la limite des hautes forets de germanie.elle étaient composée d'environ 8570 hommes décrits comme suit :

I ère cohorte légionnaire : 800 soldats
II, III, IV, V, VI, VII, VIII, IX et la X, composée chacune de 480 soldats.
En tout 5200 légionnaires.

Ière auxiliaire : 500 soldats
II, III, IV, V et la VI composée de 500 hommes chacune
3000 auxiliaires.

Et enfin, de 9 turmae (légionnaire et auxiliaire) de 50 cavaliers chacune.
450 cavaliers, estafettes et éclaireurs.



Âpres avoir subit pendant des années les assauts meurtriers des germains sur les limites des frontières, l’ordre fut donné a la légion III de traverser le Rhin et de prendre position a la limite des premières forets.
L’ordre de marche se porta sur un trajet de 25 km environ, cela fut effectué sans que nos éclaireurs ne rencontrent d’ennemis.
Un premier camp nommé ' ROMA III ' fut débuté des le début de la fin de journée et achevé avant la nuit, qui servira de point de soutien, évitant de ce faite de nous faire couper de notre base arrière.
Les turmaes I et II furent envoyées plus en avant en patrouille, avec ordre de rendre compte de tout mouvement ennemi, sans pour autant l'engager.
La nuit tombée, les tours de garde furent donnés, et seule la II Emme cohorte légionnaire resta en alerte permanente, le reste de la garnison au repos, à part bien sur les cohortes de gardes.
Les deux turmaes rentrèrent pendant la nuit sans avoir rencontré le moindre accrochage .la nuit se passa paisiblement, tout en sachant que nous étions épiés dès le franchissement du Rhin, la 1ère auxiliaire et la 1 ère turmae composeront la garnison du fort des la reprise de la marche le lendemain.
La légion reprit son ordre de route des l’aube, après avoir fait un maximum de provision, et en gardant son train en entier. L’avant-garde reçu l’ordre d’avancé et de garder un distance de 10 km entre le gros de l’armée

Avant-garde de Julius :
Turmae II, III, IV, V et la IX en estafette.
250 cavaliers
Cohorte II et III légionnaire
960 hommes

Centre de l’armée ,tribun caius :
Cohorte I,IV,V,VI,VII et la VIII légionnaire
3200 hommes

Flanc gauche :
Cohorte III et IV auxiliaire
Turmae VII
1050 hommes

Flanc droit :
Cohorte V et VI auxiliaire
Turmae VIII
1050 hommes

Arrière garde :
Cohorte IX et X légionnaire
Cohorte II auxiliaire
Turmae VI
1510 hommes

continue et vite des images pour nous faire rêver!!!

Julius et ses hommes furent les premiers à être à l’orée du bois vers la fin de la matinée. A peine sa dernière estafette envoyée pour nous rendre compte, qu’ils furent pris a partie.
Les germains refermèrent leur piège sur les 1200 hommes de Julius.
Ce fut au début des cris lugubres ,des coups sur des boucliers lointain et près en même temps ,Julius compris qu’il n’avait pas a faire a une quelquonque avant-garde ennemi ,mais bien a plusieurs millier d’hommes cachés dans les bois et ses recoins ,et qu’aucune fuite ne sera possible .
Une pluie ardente de flèches en tout genre commença à tomber, plusieurs soldats furent touché et ce même avant que les centurions ne réagissent .l’ordre fut donner de se former en carré, de sorte de pouvoir recevoir le choc de n’importe quel coté.
Les centuries de la II cohorte se mirent en place du coter nord et ouest alors que celles de la III Emme se placèrent a l’est et sud, le carré fut formé. Leurs archers crétois se mirent aux milieux .Julius fit démonter ses turmaes et les plaças de sortent de pouvoir « boucher » un manque d’homme de n’importe quel coter de sa défense.
Seuls deux cavaliers furent envoyés en espérant percer les lignes …..Nous vîmes leurs chevaux revenir sans cavaliers, notre retraite était coupé, nous devions tenir le plus longtemps possible en espérant que Caius puisse nous venir en aide à temps.
La première attaque se fit du coter nord ouest, en un flot continuel de germains vociférant leur injures, et se jetant en avant .nos hastatis se tenirent prés aux chocs, les archers lâchèrent leur premier jet sur les premiers rangs des assaillants, autant les germains pouvaient nous ‘ aligner’ dans les sous bois, que nos flèches étaient presque inopérante au delà d’une certaine limite.
Malgré cela les crétois firent preuve d’une adresse concluante .notre première ligne encaissa le choc, les hommes tombaient ci et la, cribler des flèches ennemis qui nous perçaient comme du bois pourris,les corps s’écroulaient en un rale terrifiant ,les réserves se mirent à se protéger derrière les chevaux tombers sous les jets.
Nous n’étions qu’au premier choc et déjà nos pertes s’élevaient .le choc avait été d’une tel violence, les germains se jetant sur nos boucliers avec une telle hargne, une telle haine, que cela nous réconfortait qu’aucune pitié n’était à attendre de cette première bataille, ni même dans les suivantes.
La deuxième charge se fit du coter est-sud, avec autant de rage, cette fois ci nous étions assaillis de toute part, notre deuxième ligne dut se mettre en position « mur de piques », les hastatis se replièrent derrière le mur salvateur. On plaça les blessés au milieu du dispositif et les turmaes démontées se mirent derrière les principes de la deuxième ligne, en soutient.

Les turmae existaient déjà à lé'poque haut empire ?

Depuis le III ème sièce av J-C.