chroniques des héros de grèce

« Bataille d’Aetolie, 258 BC »

Deux années nous séparent déjà du cuisant échec de la bataille de Thermon, la chute de cette cité coïncide avec la mort de notre ancien roi, et l’on raconte qu’il mourut au même moment que le dernier hoplite encore en vie à Thermon…
Alors que l’on se préparait à couronner le nouveau roi-Eumenes de Sparte- , qui se trouvait à Pergame. Cleon de Sparte, Héros de Larissa, mit le siège devant Thermon, dans l’objectif de reprendre cette ville avant le courronement même, mais les romains étaient puissant, et l’on se retrouva fuyant dans les plaines d’Aetolie… c’était une habile manœuvre que celle-ci, en effet, les romains nous poursuivirent, et à la 3ème journée de fuite, alors que les murs de Thermon étaient loin derrière nous… les équites, cavalerie légère romaine, nous encerclaient.

Spoiler:

« Mes frères Grecs… les romains sont puissants ! Effrayants ! Et dévastateurs ! Leurs glaives sont aiguisés, leurs boucliers durs comme la roche, leurs javelots…. Effroyables !
Pourtant, nos Hoplons valent leurs boucliers, nos lances et nos javelots, précis… de plus, nos esprits sont affûtés comme le glaive le plus puissant ! Notre rancune est sans limite ! Et c’est pourquoi nous allons les vaincre ! Pour Athèna ! »

C’est à ce moment que Cleon tourna bride, le reste des hommes, tout en reprenant le cri de guerre de Cléon, en fit aussitôt de même, et en une seconde, un milliers de lances affûtés étaient dirigé vers l’armée romaine, qui ne s’attendant pas à cette maneuvre, continua sa charge…avant de voir quelques équites sortir d’un nuage de poussière, et l’on aurait cru qu’ils fuyaient les portes de l’enfer….

En Effet, Cleon de son coté, et Eugenius – un cousin venu de Larissa pour l’aider- de l’autre, ne s’étaient même pas arrêté en tournant bride, chargeant directement les equites ennemis, l’escarmouche dura moins d’une minute, les gardes du corps ainsi que les deux généraux ne firent qu’une bouchée de la malheureuse cavalerie romaine.



C’est alors que l’armée romaine arriva au contact de nos Hoplites, exclusivement composé de vélites – des tirailleurs- ainsi que de deux unités de hastati – une effroyable infanterie capable de battre même nos puissants hoplites -. Les romains furent vite mis en echec par nos puissantes phalanges… leur élan les menant directement vers les pointes de nos lances.



Ils décidèrent de s’éloigner et de nous tirailler, c’est que nos peltastes entrèrent en jeu, un combat à distance eut lieu, notre flanc gauche fut vite affaibli et le chef romain essaya de l’attaquer, la milice d’hoplite flancha, et c’est la que dans un sublime effort, Eugenius chargea comme un damné le chef romain, qu’il décapita, malhereusement, le héros fut blessé, si l’on ne s’occupait point de lui, il en mourrait, Cleon le prit sur son cheval et quitta le champ de bataille. Il n’y avait plus rien à faire de toute façon… l’armée romaine fuyait au loin alors que nos hoplites les poursuivaient, c’était la victoire de Cleon… mais à quel prix, son cousin avait perdu la vie !




Cette bataille lava l'honneur des Grecs, et après avoir fait des funérailles dignes de ce nom pour nos frères tombé au combat, qu'Eugenius guiderait probablement vers les champs-Elysées; nous mîmmes le siège devant Thermon, dans l'objectif de la reprendre

pas de commentaires? je continue!


Si les affaires grecques à l’est étaient catastrophiques, en effet, les scythes et les thraces refusaient de s’allier à nous, à l’ouest apparaissait une lueur d’espoir en la personne de Memnon de Sparte, ce brillant général, autrefois déshérité par le Roi Kleomenes en personne, le considérant trop faible pour prendre le trône, se faisait un nom en Sicile, ayant réussit à repousser plus de cinq sièges romain, chose que personne n’avait jamais réussit jusque maintenant. Il avait aussi réussit à transformer la faible cité de Syracuse en cité prospère, et lui avait donné le titre de ville imprenable.

Ce n’est qu’après le cinquième siège romain sur Syracuse que Memnon décida de quitter cette ville pour assiéger Messana, et ce n’est qu’uniquement après avoir ouïe la victoire son cousin, Cleon de Sparte, en Aetolie, que Memnon lanca l’attaque.



« Combien de fois avant nous vaincu ces vils romains ? Cinq fois ! Faisons en sorte que la sixième soit dans les rues de leur ville, sous les yeux de leur femmes et enfants ! N’ayez point de pitié ! Car ces hommes n’en on point eu pour nous sur les murs de Syracuse ! À l’assaut ! »

La stratégie de Memnon consistait à faire deux brèches dans la muraille ennemi, la première, par la porte, laissera entrer la majorité de nos hoplites, tandis que l’autre sera faites pour laisser se faufiler la garde de Memnon et quelques hoplites lourds. Pendant ce temps, les javelinier, caché derrière la première masse de hoplite, massacrerait l’ennemi à distance.



Comme prévu, les hoplites retinrent l’ennemi, le général romain, Gaius Scipio, chargea nos hoplites pour sauver le reste de son armée, et son l’arrivée de Memnon, Gaius aurait réussit à nous vaincre à lui seul ! Mais la garde de corps de Memnon balaya la Garde de Gaius qui périt de la main de notre grand général !



Le reste de l’armée romaine essaye de s’enfuir, mais Memenon veillait, il les dépassa rapidement avant de les charger avec sa garde du corps, en se retournant, les romain rencontrèrent nos lances meurtrières, c’était leur fin….



Memnon, pour en finir, décida d’encercler la place principale de la ville, un général romain, que nos n’eûmes point le temps de reconnaître, chargea la garde de Memnon, celle-ci le balaya aussitôt, c’était la fin des romain, qui offrirent une résistance farouche sur la place, avant de mourir jusqu’au dernier.




Memnon ordonna l’esclavage du peuple de Messana, cela permit de développer plusieurs villes, dont Corinthe. L’on apprit le jour même que Thermon était tombé sous les mains du héros de Larissa et d’Aetolie, Cleon de Sparte.

Super Continue ! :oK:

comment tu réussis a ne pas te faire déborder en combat de plaine ??
moi tot ou tard il y a toujours une unité ennemie qui commence a grignoter un coté d'une phalange et c'en est finit... enfin j'ai trouver une solution qui marche tout le temps mais je n'en suis pas fier: mettre ses phalanges dans un coin de la carte en arc de cercle un peu comme pour la défense d'une porte, plus une phalange de chaque coté qui protège les cotés.
Quand les ennemis arrivent (je n'attaque jamais en plaine) ils sont donc dans un demi cercle et leur moral baisse, si j'ai quelques onagres dans l'armée je les affaiblis enormement tout en baissant encore plus leur moral, ensuite ils prenent une latte puisque cette formation est quasi impenetrable....
Mais j'avou que devoir me réfugier a la limite de la bande rouge me fait pitier

eh bien, la réponse à ta question se trouve sur CETTE partie du récit... lit bien, et regarde comment le maitre des héllènes s'en sort.

« Bataille d'Epirus, 257 BC »

Oublions un peu les affaire siciliennes pour nous concentrer sur le continent, qui verra en ce maudit jour une batailles des plus décisives sur le sort de la Grèce...
Cleon de Sparte décide d'en finir avec la plaie romaine sur les hellènes, dans le but de prévenir de futur attaques sur nous, et de mener la guerre sur le territoire des romains... il disait ces mots avec un regard inquiet, regard qui ne le quitta point depuis les murs Thermon, jusqu'au mur d'appolonie, je l'accostais, moi, Nikeratos, simple Hoplite.
" seigneur, pourquoi tant d'inquiétude dans votre regard alors que nos victoires cinglantes sur les romains se font de plus en plus nombreuse, sur mers, dans les hellènes, et même en sicile!"
" tu le sauras bien assez tôt,, si l'on survit suffisamment longtemps pour cela"
un cor romain retentit, ces derniers nous attaquaient par derrière! alors que la garnison d'Appolonie se préparait à les rejoindres....

«Préparez vous! aujourd'hui sera l'une des batailles les plus sanglantes de qu'auront connu les hellènes, faites en sorte d'en ressortir vainqueur!»



nous nous mîmmes en formation, et les romains commencèrent leur avancée vers nous... Cléon nous demanda de ne point bouger, même sous les tirs des javelots romains... puis, suivi par sa garde et une unité de javeliniers à cheval, il s'éloigna, utilisant els rochers à notre droit comme couverture, lui et le reste de la cavalerie se cachèrent... les vélites romains approchaient, ils tirrèrent une première Salve, se préparèrent à en tirer une seconde quand....



Cléon et sa garde bondirent sur eux tel des Harpies enragé -ces créatures ailés qui dévorent femmes et enfants- suivi de près par les javeliniers, les vélites romains ne demandèrent pas leur reste et prirent leur jambe à leur coups! Cleon ordonna aux javeliniers à cheval de se mettre à l'abri derrière nos phalanges, alors qu'il poursuivrait les fuyards! seul avec sa garde, ils chargèrent les puissants hastatis ennemie et profitant de la surprise romaine, créèrent une brèche dans les rangs de ces derniers, désormais, plus rien ne séparait Cléon et sa garde des vélites romains.



C'est alors qu'un cor romain retentit, leur renforts les avaient rejoint par l'ouest, nous encerclant; obéissant à Cléon, nous nous préparâmes à soutenir la charge des romains, ces derniers lancèrent leur Pillum, nous attendîmes, ils se préparèrent à charger, c'est alors que nos phalanges avancèrent toutes comme un seul homme, chacune vers une unité romaine, alors que nos peltastes tirèrent leur puissant javelots, ces quelques mouvement de troupe diminuèrent la puissance de la charge romaine, le plan de Cléon était une réussite! ce dernier, comme prévu, tourna bride et accompagné des rares gardes du corps encore en état de combattre, ils chargèrent les romains par derrière, la peur s'instaura dans les cœurs de ces derniers.



voyant ces hommes fuir, le général romain présent sur le champ de bataille décida de prendre les choses en main, et chargea de front nos phalanges, remarquant cela, Cléon nous ordonna de nous regrouper, nous ne formions plus qu'une seul et même phalange, les romains durent changer de cible, se dirigeant vers une unité d'hoplite à part, grosse erreur! ils avaient perdu de leur vitesse et les lances des hoplites mirent fin à la charge romaine , le chef romain mourrut...





les romains, pendant ce temps, s'étaient regroupé et lancèrent une seconde charge, mais leur coeur, remplit de terreur, fléchissait vite, et il suffisait d'entrer au corps à corps pour qu'ils fuient! Cléon ordonna de les poursuivre, lui même était tel un Diable déchainé, bondissant de partout, ne laissant aucun survivant... jusqu'a ce que son cheval trébuche, et que Cleon ne fut blessé mortellement....





j'étais a ces cotés quand il tomba de cheval, je le regardait agoniser devant moi! lui, le héros de Larissa, D'Aetolie et de Thermon! il me reconnut et me fit signe de m'aprocher, j'ouïe ses dernière volontés...

" écoute bien mon fils... tu me demandais les raisons de mon inquiétude.... que regarde tu autour de toi? les romains sont encore faibles, pourtant, ils peuvent tuer plus de la moitié de nos hommes... même nos hoplites ne rivalisent que difficilement avec eux, bientôt, les hoplites lourds trouveront des difficulté à les battre, et un jour.... même les Hoplites de Sparte devront se battre pour que l'on puisse survivre... il nous faut briser les romains avant cela, il nous faut les détruire le plus vite possible! où les héllènes seront condamné... va, mon fils, mène mon armée à la victoire, et fait en sorte qu'elle atteigne rome aussi vite que possible..." je pleurais, Cléon de Sparte, le pilliers des Grecs, avait rendu l'âme sous mes yeux! je me levais, les hommes venaient d'en finir avec les romains et m'observait...

"préparez vous à la bataille! Appolonie doit tomber avant ce soir!"

Le lendemain matin, Cléon eu droit aux plus belles funérailles qui soient... dans les murs d'appolonie.

De trés belles batailles féliciatations. Mais voir la map vanilla brrrrrrrr pourquoi tu n'essaye pas un mod ?

tout simplement car j'ai joué sur tellement de mods que j'ai eu une soudaine crise de nostalgie, je me souvenais des charmes de la carte vanilla... plus franchement, je veux que mes récits servent à guider les nouveau joueur qui s'essayeront à RomeTotal WAR, hors, tous les joueurs commencent avec la version Vanilla, c'est l'unique raison de mon choix du vanilla, personelement, je préfère loin la lundus magnus où encore rome total realism

désolé pour le double post, c'est pour mettre la suite du récit.




Nikeratos ne put prendre la mer pour Tarrentum que 2 ans après la prise d’Appolonie, le temps de préparer une flotte pour le transport de troupes… une fois devant les murs de la cité romaine, Nikeratos entreprit le siège, non sans s’être alloué les service des mercenaire de la région…

Les romains, comme à leur habitude, entreprirent de casser le siège, ils étaient non seulement en supériorité numérique, mais avaient dans leurs rangs des unité expérimenté, tel les princeps. Alors que l’héritier de la volonté de Cléon de Sparte n’avait que les hommes qui avaient accompagné ce dernier tout au long de son périple



« Mes frères, aujourd’hui nous poursuivons ces vils romains depuis plus de deux ans déjà, ce pour obéir au dernier ordre reçu par notre général vénéré, Cléon de Sparte ! nous sommes les héritiers de sa fureur ! Faisons goutter le fer à nos ennemis ! »



Les romains, avant d’entrer dans le vif su sujet, décidèrent de grouper leur forces, ils envoyèrent une unité de vélites nous tirailler pour gagner du temps… s’était sans compter l’œil vif de Nikeratos qui compris la manœuvre, une unité de javeliniers à cheval quitta les rangs pour faire fuir les vélites, cela fut vite fait, et elle rejoint les rangs.



Les romains s’étaient finalement regroupé, ils avaient décidé de scinder leur armée en deux, pour essayer de nous attaquer sur deux flancs à la fois, les mercenaires Sarmates furent dépêché sur la ligne de gauche pour se préparer à parer une quelconque attaque…



Le général romain chargea une unité d’hoplites, devançant ses propres hommes ! grossière erreur, notre cavalerie, ainsi que le général et sa garde le chargèrent aussitôt, une attaque par derrière des mercenaires Sarmates mirent fin à sa vie… une fois cela fait, chaque unité repris sa place dans les rangs comme si de rien n’était



Les romains, dans leur colère chargèrent, nos lances les accueillirent, ces derniers arrêtèrent aussitôt leur charge pour s’enfuir, la victoire était notre… les princeps romains furent les derniers à fuit, non sans avoir fait des dégats dans nos rangs



« tu avais raison, grand général, les romains deviennent de plus en plus fort… il nous faut les anéantir avant qu’il ne nous abattent » ce fut la triste remarque que fit Nikeratos en entrant à Tarrentum…



Pendant ce temps, Memnon de sparte, défenseur de Syracuse et vainqueur de messana se préparait à quitter la Sicile, les héros de Grèce se rejoignait en Italie, pour affronter la plaie romaine.

voila, pour vous, un récit vidéo!

salut je sais que sa fait longtemps mais en tout cas super ta video :oK: