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| Les guerres macédoniennes | |
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vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Les guerres macédoniennes Lun 20 Nov 2006 - 18:01 | |
| voila un sujet interresant :
1ere guerre de macedoine Carthage vaincue, la défaite ne fut plus une honte pour personne. Tout de suite après, la Macédoine, la Grèce, la Syrie et toutes les autres nations furent entraînées, si j'ose dire, par l'irrésistible torrent de la fortune ; mais les premiers de tous furent les Macédoniens qui avaient autrefois aspiré à l'empire du monde. Aussi bien que Philippe fût alors leur roi, les Romains pensaient-ils cependant combattre un autre Alexandre. La guerre de Macédoine dut son importance au nom de son peuple, plus qu'à la résistance dont il fit preuve. Elle eut pour première cause le traité par lequel Philippe longtemps auparavant, avait conclu une alliance avec Hannibal, alors maître de l'Italie. Ce motif devint plus puissant, lorsque les Athéniens implorèrent notre secours contre les violences du roi, qui, abusant des droits du vainqueur, s'attaquait aux temples, aux autels et même aux tombeaux. Le sénat décida de porter assistance à d'aussi illustres suppliants. Déjà les rois et les princes, les peuples et les nations invoquaient l'appui de notre ville. Pour la première fois, sous le consulat de Lévinus la flotte romaine entra dans la mer d'Ionie, et parcourut tout le rivage de la Grèce comme un cortège triomphal. Elle étalait les dépouilles de la Sicile, de la Sardaigne ; de l'Espagne, de l'Afrique, et un laurier poussé sur la poupe du navire amiral constituait une promesse certaine de victoire. Nous reçûmes le concours spontané d'Attale, roi de Pergame, et celui des Rhodiens, peuple de marins dont la flotte battait l'ennemi sur mer, tandis que les cavaliers et les fantassins du consul le battaient partout sur le continent. Philippe fut deux fois vaincu, deux fois mis en fuite, deux fois dépouillé de son camp. Mais rien n'effraya plus les Macédoniens que le seul aspect de leurs blessures. Produites non point par des traits, ni par des flèches ou de faibles armes grecques mais par d'énormes javelots et de non moins grandes épées, elles étaient plusieurs fois mortelles. Sous la conduite de Flamininus, nous franchîmes donc les montagnes jusqu'alors inaccessibles de Chaonie, l'Aous qui coule entre des rives escarpées, et les barrières mêmes de la Macédoine. C'était déjà remporter une victoire que d'y entrer. Car le roi n'osa plus jamais en venir aux mains: près des collines appelées Cynocéphales, un seul combat - et encore ce ne fut pas un véritable combat - suffit pour l'écraser. Le consul lui accorda la paix et lui laissa son royaume ; et pour ne plus avoir à craindre d'hostilités de ce côté, il soumit Thèbes, l'Eubée, et mit un terme aux agressions de Nabis, tyran de Lacédémone. Mais il rétablit la Grèce en son premier état, et lui permit de vivre sous ses propres lois et de jouir de son antique liberté. Quels cris de joie, quelles acclamations, lorsque tout à coup au théâtre de Némée, pendant les jeux quinquennaux, le héraut publia ce décret ! Quel concours d'applaudissements enthousiastes ! Que de fleurs ils répandirent aux pieds du consul ! Et toujours, toujours ils demandaient au héraut de répéter les mots qui proclamaient la liberté de l'Achaïe. Et cette décision du consul les charmait aussi agréablement que les sons les plus mélodieux de la flûte ou de la lyre.
seconde guerre de macedoine
Crimes et vices de Ptolémée IV ; Pendant que Philippe poursuivait de grands projets en Macédoine, Ptolémée en Égypte se comportait différemment ; de fait, son pouvoir royal ayant été engendré par un parricide, et le meurtre d'un frère également ayant été ajouté à l'assassinat de son père et de sa mère1, il s'était adonné à la débauche comme après avoir accompli d'heureux exploits, et toute la cour avait suivi les mœurs du roi. C'est pourquoi non seulement les amis du roi et ses préfets, mais encore toute l'armée qui avait déserté les exercices militaires, pourrissaient, corrompus par les loisirs et la paresse.
Quatrième guerre de Cœlé-Syrie ; Ce qu'ayant appris, le roi de Syrie Antiochos, sous l'aiguillon de la vieille haine entre les deux royaumes, surprend par une guerre soudaine plusieurs villes de Ptolémée et attaque l'Égypte elle-même. Donc, Ptolémée tremblait ; il retardait Antiochos par des envois d'ambassade jusqu'à ce qu'il prépare des forces armées.
Ensuite, ayant loué en Grèce une grande armée, il livre un combat heureux et il aurait privé Antiochos de son royaume s'il avait aidé la Fortune par son courage.
Débauches de Ptolémée Mais, satisfait d'avoir repris les villes qu'il avait perdues, la paix une fois faite, il saisit avidement l'occasion de se reposer et retourna à la débauche ; après avoir fait tuer Eurydice, son épouse qui était aussi sa sœur, il tombe sous le charme de la courtisane Agathoclée, et ainsi, oublieux de toute la grandeur de sa puissance et de sa majesté, il passe ses nuits dans les orgies, ses jours dans les banquets. Il s'y ajoute les instruments de la débauche : les tambourins et les crotales, et le roi, qui n'est plus désormais le spectateur, mais le maître de la perversité, module les charmes des cordes de la lyre. Tels furent en premier lieu le fléau secret et les maux cachés de la cour en situation critique.
Par la suite, la licence allant croissant, l'impudence de la courtisane ne peut plus désormais être contenue dans les murs du palais royal : les débauches quotidiennes du roi avec elle et son frère Agathocle, un mignon d'une beauté complaisante, la rendaient d'autant plus hardie. Il y avait en plus leur mère, Oenanthe, qui tenait le roi enchaîné par les caresses de sa progéniture jumelle. Et ainsi, non contentes d'exercer leur pouvoir sur le roi, voici elles l'exercent même sur le royaume, qu'elles se font voir en public, qu'elles sont saluées, qu'on leur fait cortège.
Agathocle, flanquant le roi, gouvernait la cité ; des femmes disposaient des tribunats, des préfectures et des commandements, et personne n'avait moins de pouvoir dans le royaume que le roi lui-même, quand, à cette époque, il meurt, laissant un fils de cinq ans, issu de sa sœur Eurydice.
La succession de Ptolémée IV Cependant, sa mort fut longtemps cachée, pendant que les femmes s'emparaient de l'argent du roi et s'efforçaient de s'emparer du pouvoir après s'être alliées aux derniers des vauriens. Enfin, une fois la situation connue, la foule accourt : Agathocle est tué et les femmes6 sont mises au gibet. 8 Le déshonneur du royaume ayant été, pour ainsi dire, expié par la mort du roi et le supplice des courtisanes, les Alexandrins envoyèrent des ambassadeurs aux Romains pour les prier d'assumer la tutelle de l'enfant mineur et de protéger le royaume d'Égypte, dont ils disaient que Philippe et Alexandre allaient se le partager après s'être mis d'accord.
Activité diplomatique des Romains L'ambassade fut bien reçue par les Romains : ils cherchaient des motifs de guerre contre Philippe qui avait été plein de traîtrise pendant la guerre punique. À cela s'ajoutait qu'après avoir vaincu Hannibal et les Puniques, ils ne redoutaient davantage les armes de personne : ils se rappelaient quels troubles Pyrrhos avait causés en Italie avec une petite troupe de Macédoniens et combien d'exploits les Macédoniens avaient accomplis en Orient. Ainsi des ambassadeurs sont envoyés pour notifier à Philippe et à Antiochos de ne pas toucher au royaume d'Égypte. On envoie aussi en Égypte M. Lepidus8 pour qu'il administre le royaume du mineur à titre de tuteur.
Deuxième guerre de Macédoine Pendant que cela se passe, des ambassades du roi Attale et des Rhodiens viennent se plaindre à Rome des manquements au droit de Philippe, et cet événement enleva toute hésitation au sénat à propos de la guerre de Macédoine. Aussitôt donc la guerre contre Philippe est décrétée, officiellement pour porter secours aux alliés, et des légions sont envoyées en Macédoine avec un consul10. Peu de temps après, ayant foi dans les Romains, la Grèce entière, dressée contre Philippe par espoir de recouvrer son ancienne liberté, lui déclara la guerre, et comme ainsi le roi était pressé de toute part, il est contraint de demander la paix. Puis, comme des clauses de paix avaient été proposées par les Romains, Attale, les Rhodiens, les Achéens et les Étoliens commencèrent à réclamer leurs possessions. En face, Philippe accordait qu'il pût être amené à obéir aux Romains, mais il était indigne, disait-il, que les Grecs, vaincus par ses ancêtres Philippe et Alexandre et soumis au joug de l'empire macédonien, lui dictent, comme des vainqueurs, des conditions de paix, eux qui devaient rendre compte de leur servitude avant de revendiquer leur liberté. À la fin cependant, sur sa demande, une trêve de deux mois lui est accordée afin de demander à Rome au sénat la paix sur laquelle on ne s'accordait pas en Macédoine.
Prodiges annonciateurs , Cette même année, il y eut un tremblement de terre entre les îles de Théra et de Thérasia au milieu du bras de mer qui sépare les deux côtes, où, à l'étonnement des gens qui étaient sur les bateaux, une île émergea soudain du fond de la mer, accompagnée d'eaux bouillonnantes. En Asie aussi, à la même date, le même tremblement de terre ébranla Rhodes et beaucoup d'autres cités, les bâtiments s'effondrèrent lourdement et certaines cités furent entièrement englouties. après que tous eurent été terrifiés par ce prodige, les devins prédirent que l'empire naissant des Romains allait dévorer le vieil empire des Grecs et des Macédoniens.
Alliance de Philippe avec Nabis , Entre temps, la paix ayant été dénoncée par le sénat, Philippe invite le tyran Nabis à une alliance guerrière.
Les préparatifs de la bataille de Cynoscéphales Et ainsi, alors qu'il avait fait avancer son armée et l'avait rangée en bataille, les ennemis étant rangés du côté opposé, il commence à haranguer les siens en rappelant les Perses, les Bactres, les Indiens et toute l'Asie, jusqu'au fond de l'Orient, soumis par les Macédoniens ; et autant la liberté est plus chère que le pouvoir, autant il faut soutenir cette guerre plus vaillamment que ces guerres d'autrefois ont été soutenues.
Cependant, le consul romain Flamininus, pour sa part, excitait ses soldats au combat par le récit des exploits accomplis tout récemment, en montrant d'un côté Carthage avec la Sicile, de l'autre l'Italie et l'Espagne, subjuguées par la valeur militaire romaine ; et il ne fallait pas même, disait-il, mettre Hannibal au-dessous d'Alexandre le Grand : après l'avoir chassé d'Italie, ils avaient vaincu l'Afrique elle-même, la troisième partie du monde. Cependant il ne fallait pas juger les Macédoniens sur leur ancienne gloire, mais sur leurs forces actuelles, parce qu'ils ne faisaient pas la guerre à Alexandre le Grand, qu'ils avaient entendu dire invincible, ni à son armée, qui avait vaincu l'Orient entier, mais à Philippe, un enfant immature, qui défendait avec peine les bornes de son empire contre ses voisins, et à ces Macédoniens qui, il y a peu, avaient été la proie des Dardaniens. Eux, ils rappelaient la gloire de leurs ancêtres, lui, celle de ses soldats. Ce n'était pas avec une autre armée qu'Hannibal, les Puniques et presque tout l'Occident avaient été vaincus, mais avec ces soldats mêmes qu'il tenait rangés en bataille. Enflammés dans les deux camps par ces exhortations, les soldats se ruent au combat, les uns se glorifiant de l'empire de l'Orient, les autres de celui de l'Occident, ceux-là apportant à la guerre la gloire, ancienne et usée, de leurs ancêtres, ceux-ci la fleur de leur valeur récemment éprouvée.
Cependant la Fortune de Rome vainquit les Macédoniens.
Ainsi, brisé par cette guerre, Philippe demanda la paix au consul Flamininus ; il garda certes le titre royal mais, ayant perdu toutes les villes de Grèce, en tant que membres du royaume, extérieurs aux frontières de son ancien domaine, il garda la seule Macédoine.
Cependant les Étoliens, mécontents parce que la Macédoine n'avait pas été également enlevée au roi, comme ils le jugeaient bon, et donnée à eux-mêmes en butin de guerre, envoient des ambassadeurs à Antiochos pour qu'ils le poussent, en flattant sa grandeur, à faire aux Romains une guerre à laquelle s'associerait l'ensemble de la Grèce. | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Lun 20 Nov 2006 - 18:02 | |
| Troisième guerre de Macédoine
Les Romains firent la guerre de Macédoine avec moins de péripéties que la guerre punique, mais avec d'autant plus d'illustration que les Macédoniens l'emportaient en prestige sur les Puniques, puisqu'ils étaient appuyés par la gloire d'avoir subjugué l'Orient et surtout par l'assistance de tous les rois. Ainsi, les Romains levèrent nombre de légions et firent venir des troupes auxiliaires de Masinissa1, le roi des Numides et de tous leurs autres alliés, et Eumène, le roi de Bithynie, reçut l'ordre de collaborer à la guerre avec les plus grandes forces militaires. Persée, outre l'armée des Macédoniens à la réputation d'invincibilité, avait dans son trésor et dans ses greniers les moyens d'une guerre de dix ans, préparées par son père. Plein de suffisance devant ces ressources, oublieux du sort de son père, il enjoignait aux siens de songer à l'ancienne gloire d'Alexandre. Il y eut une première rencontre de cavalerie remportée par Persée, ce qui fit basculer en sa faveur tous ceux qui étaient en expectative ; il envoya cependant des ambassadeurs au consul pour demander la paix que les Romains avaient accordée à son père, même vaincu : il se chargerait des frais de la guerre, aux conditions du vaincu ; mais le consul P. Licinius édicta des conditions non moins dures que pour un vaincu. Pendant que cela se passe, les Romains, dans la crainte d'une guerre si périlleuse, créent Paul-Émile consul, et le chargent de la conduite de la guerre de Macédoine, par une procédure exceptionnelle ; arrivé à l'armée, Paul-Émile ne tarda pas beaucoup à engager le combat. La veille de la bataille, il y eut une éclipse de lune : tous rapportaient ce présage à Persée et l'interprétaient comme l'annonce de la fin du royaume de Macédoine.
Bravoure de Caton Licinianus , Au cours de la bataille, M. Caton, le fils de l'orateur, en train de combattre brillamment au milieu des ennemis en rangs très serrés, tomba de cheval : il se met à combattre à pied. En effet, un manipule d'ennemis l'avait encerclé pendant sa chute, en poussant un cri sauvage, comme s'ils voulaient le tailler en pièces sur le sol, mais le Romain, vite relevé, en fit un grand massacre. Comme les ennemis volaient de toutes parts pour l'anéantissement d'un seul, en attaquant un homme de haute taille, son glaive lui échappe des mains et tombe au milieu de la cohorte des ennemis ; pour le récupérer, se couvrant de son bouclier, il plonge au milieu des lances des ennemis sous les regards des deux armées et, ayant ramassé son glaive, il revient vers les siens couvert de blessures, accompagné du hurlement des ennemis. Les autres, ayant imité sa témérité, remportèrent la victoire.
Capture de Persée, Le roi Persée prit la fuite vers Samothrace avec dix mille talents; Cn. Octavius, envoyé à sa poursuite par le consul le prit avec ses deux fils, Alexandre et Philippe et le conduisit prisonnier au consul.
Récapitulatif sur la Macédoine , La Macédoine eut trente rois depuis Caranus, qui y régna le premier, jusqu'à Persée. Elle fut sous leur pouvoir pendant neuf cent vingt-quatre ans, mais sa suprématie ne dura que cent cinquante ans. Quand elle fut passé sous l'autorité romaine, elle fut déclarée libre avec des magistrats établis dans chaque cité et reçut de Paul-Émile des lois dont elle use encore.
Les sénateurs étoliens Le sénat de l'ensemble des villes des Étoliens, dont la loyauté avait été douteuse, fut envoyé à Rome avec femmes et enfants, et y fut longtemps retenu de peur qu'il ne cause quelque révolution dans sa patrie.
Le retour des otages Bien des années après, le sénat, lassé par les ambassades des cités , renvoya chacun dans sa propre patrie | |
| | | bince6610 Sénateur
Nombre de messages : 5127 Age : 33 Localisation : Pas-De-Calais(62) Date d'inscription : 04/09/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Lun 20 Nov 2006 - 18:49 | |
| Pas mal mais pourquoi tu l'a mis là est pas dans récit | |
| | | Vinche Consul
Nombre de messages : 859 Age : 34 Localisation : Suisse Date d'inscription : 12/09/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Lun 20 Nov 2006 - 19:09 | |
| En effet moi non plus de comprend pas.. | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Lun 20 Nov 2006 - 20:01 | |
| Je déplace | |
| | | bince6610 Sénateur
Nombre de messages : 5127 Age : 33 Localisation : Pas-De-Calais(62) Date d'inscription : 04/09/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Mar 21 Nov 2006 - 18:32 | |
| Dans antiquité J'aurait plutôt mis dans récit mais il est plus à sa place ici que dans blabla. | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Mar 21 Nov 2006 - 18:56 | |
| A mon avis ce n'est pas un récit mais plutôt l'histoire de la Macédoine antique ( jusqu'à ce qu'elle devienne province romaine avec Persée), je me trompe ? | |
| | | Fatman Consul
Nombre de messages : 1755 Age : 37 Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Mar 21 Nov 2006 - 19:14 | |
| - lio7 a écrit:
- A mon avis ce n'est pas un récit mais plutôt l'histoire de la Macédoine antique ( jusqu'à ce qu'elle devienne province romaine avec Persée), je me trompe ?
me semble que c'est un récit historique assez romancé, mais tout a fait juste. C'est de toi Vazili ? | |
| | | [Consul] Edile
Nombre de messages : 344 Age : 34 Localisation : Bruxelles , Anderlecht Date d'inscription : 14/08/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Mar 21 Nov 2006 - 19:23 | |
| étant donné le jeune àge de Vazilli , j'en doute fort.quelles sont tes sources ? | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Mar 21 Nov 2006 - 19:33 | |
| Donc c'est bien les guerres de la Macédoine contre les romains ! Je me disais aussi | |
| | | bince6610 Sénateur
Nombre de messages : 5127 Age : 33 Localisation : Pas-De-Calais(62) Date d'inscription : 04/09/2006
| | | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Ven 24 Nov 2006 - 21:42 | |
| De toute facon il n'y a que la "chute" du royame macédonien là il faudrait l'étoffer un peu | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Jeu 30 Nov 2006 - 17:22 | |
| desoler pour mon absence , les recits si dessus sont issus d'un de mes plus vieux livre , grece et macedoine sous le joug de rome , pour les autres recits que j'ai ecrit il sont de moi , voila | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: Les guerres macédoniennes Ven 15 Déc 2006 - 8:14 | |
| Si tu en trouves d'autres n'hésites pas | |
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