[RS] Carthage, "la nouvelle Tyr".

Carthage ! (D/D)

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Part 1 : intro.
Carthage fut fondée par une colonie de Phéniciens, mais on ne sait rien de précis sur son origine et les commencements de ses annales. D’après la légende, dés le XVIe siècle avant l’ère chrétienne, des colons venus de Sidon avaient fondé une ville du nom de Cambé ou Caccabé, sur le site même où fut Carthage : cette colonie ne prospéra guère; tout le commerce des Phéniciens avec la côte d’Afrique étant centralisé dans les deux autres villes phéniciennes voisines, Hippone et Utique.
Mais vers 822, une nouvelle colonie phénicienne, partie cette fois de Tyr, sous la conduite d’une princesse nommée Elissar, vint s’établir à Cambé, fuyant la colère de Pygmalion. Cambé, qui languissait, accueillit avec empressement les nouveau émigrants et Elissar, appelée dans la légende Didon, « la fugitive », acheta du roi des liby-phéniciens, un vaste territoire où elle batit la ville qui prit le nom de Kiria-Hadeschat ou Karth-hadschath « la ville neuve », nom dont les Grecs ont fait Karchédon et les Latins Carthago.

Carthage devint la première république conquérante et commerçante dont l’histoire fasse mention. Cet Etat se forma en incorporant les anciennes colonies cananéennes et phéniciennes établies le long des côtes septentrionales de l’Afrique, et par l’asservissement successif des populations autochtones. Il recrutait ses armées, composées de troupes mercenaires, parmi les peuples soumis ou tributaires. Mais sa principale force militaire restait sa marine.


Part 2 : Début de la Campagne
Dans un 1er temps, je me suis séparé de Lepcis Magna et de Saldae. Leurs garnisons allèrent former une seul armée qui protégera Carthage. Mon émissaire partie en Italie afin de proposer un cessez le feu avec Rome et une Alliance aux peuples libres. Ceux-ci acceptèrent. Durant la suite les tours suivants, une alliance fut forger avec la Gaule et la Germanie.

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Carthage dut mener deux campagnes simultanément. Une en Hispanie sous la conduite d'un jeune général, "Hannibal". La deuxième se déroule en Sicile. Pour une meilleur lisibilité, elles seront racontées séparément.


Part 3 : Campagne de Sicile
Après la seconde guerre gréco-punique (410 à 340 av. J-C), une paix de statu quo fut signée en 340 av. J-C. Carthage se maintenait dans l'ouest de l'île et Syracuse continuait de dominer les possessions grecques à l'est.
Mais Syracuse reprit les hostilités en mettant le siège devant Messana. Cité libre. Carthage refusant l'hégémonie de Syracuse en Sicile, la guerre était inévitable.

Aussitôt que l’armée Syracusaine pris Messana, j’envoya le gros de mes forces positionné en Sicile pour l’assiégé. Les Grecs ne pouvant ni se reformer, ni se barricader suffisamment, la sortie était donc inévitable.

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La Bataille dura 3 jours, les Grecs refusant d’attaquer l’armée Punique solidement installée, de nombreuses escarmouches eurent lieu et finalement la victoire revint au Carthaginois.
Suite a cette victoire face à l’armée Syracusaine, il ne restat plus « qu’a ramasser les miettes ». Catana fut assiégé et lors de l’assaut, le Chef de faction grec mourut l’épée à la main. Son fils, ainsi que tous ses descendants ayant été tués, sa dynastie s’arrêta là.

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Syracuse et Agrigentum alors aux mains des rebelles, la Sicile ne tarderas pas à être libéré de la menace Grec.

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à suivre... (La campagne d'Hispanie.)

Bien, super

Part 4 : Campagne d’Hispanie.
L’Hispanie est un pays riche : mines d'or, d'argent et de cuivre, arrivée des routes de l'étain en provenance de Britanie. Le blé pousse en abondance en plaine, et plus important, on y trouve des chevaux et des hommes pour faire la guerre. Sa conquête permettrait à Carthage de multiplier sa puissance économique, commerciale et militaire. Mais sa soumission ne sera pas aisée.

La conduite des opérations est confiées à Hannibal Barca, qui s’élance en direction de Saguntum. Lors de sont trajets vers la cité rebelle, alors qu’il faisait une halte prés d’une rivière, un de ses éclaireurs aperçu un immense nuage de poussiére au loin. L’armée ennemie c’était portée jusqu’à lui.

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La victoire fut Total et les pertes minimes. Son armée annihilée, la cité de Saguntum ne résista pas longtemps

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Dans la foulée, l’armée se dirigea sur Toletum. La garnison y était importante et le combat qui s’ensuivit d’une rare violence mais là encore les pertes furent acceptables.

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Se sentent menacer, l’Ibérie envoya un émissaire conclure un marché. Celui-ci fut accepté mais seulement pour une courte durée.

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à suivre...L'Ibérie (jaune)

Mais t'es agressif

Xales a écrit:

Mais t'es agressif

lol d'habitude non, je préfère faire évoluer les cités, le commerce et faire de jolie armée mais le début de partie avec Carthage est un peu plus compliqué que les autres (d'après moi).
En plus tu commence avec une foule de troupe, je me refuse de les supprimer alors la conquête reste la seul solution pour faire face au déficite

Part 5 : L’Ibère sera rigoureux.

L’alliance avec le peuple Ibère ne pouvais durer, Hannibal le savait. Si ce peuple se développait de trop il commencerait a avoir besoin de place, et cela mettrait nos territoire fraichement assujetti en danger. Profitant que les troupes ibériques se croies a l’abris, Hannibal lança ses forces sur Bracara et défait successivement deux armée ennemies. Mais il ne réussit pas sont encerclement et le gros des troupes s’échappa poursuivit par sa cavalerie.

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Le jeune général poursuivit les restes de l’armée défaite. Poursuite qui s’acheva par le siège de Pallantia ou le reste de l’armée Ibère était rassemblé. Le choc entre les deux armée fut inévitable.

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Mais là aussi, l’armée ibérique ne put faire face au force de Carthage et le combat tourna vite au massacre. Pallantia tomba peu de temps après ainsi que la Capital Asturica.

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Les Ibères n’ayant plus de chef, tous se soumirent au Carthaginois. L'Hispanie était en grande partie au main de la famille Barca, hormis deux territoires gérés par nos alliés des peuples libres. Il restait aussi une cité rebelle plus au nord. Mais la priorité était à la réorganisation du térritoire, des armées et de l'économie.
Militairement : l'Hispanie disposais de deux armée, une de vétérans qui fit toute la campagne et une composé de recrue toute fraiche. En Afrique deux petite forces était positionnées aux alentours de Carthage et empéchait les "trop" nombreuses incursion rebelles. Pour finir une forte armée était en attente en Sicile, afin de combattre toute invasion Romaine qui ne m'enquera pas d'arrivé.

Le jeune Hannibal Barca devant changer de "computer", les conquêtes risque de s'arréter la.

J'adore !

continue

J'adooorrreee

Sparadrap a écrit:

Xales a écrit:

Mais t'es agressif

lol d'habitude non, je préfère faire évoluer les cités, le commerce et faire de jolie armée mais le début de partie avec Carthage est un peu plus compliqué que les autres (d'après moi).
En plus tu commence avec une foule de troupe, je me refuse de les supprimer alors la conquête reste la seul solution pour faire face au déficite

t'as raison