Tour : -447
Règles :- Spoiler:
Economie :
- Votre économie est représentée par une estimation de la force de celle ci, si elle est forte vous pourrez supporter de plus lourdes dépenses.
- Vous pouvez lancer toutes les constructions que vous voulez ou recruter des milliers d'hommes, mais demandez vous si votre économie est capable de supporter ces couts.
- Votre économie est dépendante de votre commerce, de votre agriculture, de la sécurité, des voies et du bonheur du peuple. Chacun de ces facteurs et à surveiller.
Militaire :
- Dans vos stats vous aurez un indicatif de votre artisanat et de vos stocks de métaux. Des stocks importants et de bons artisans vous permettront d'équiper votre armée plus vite et mieux.
- Vous disposez d'une armée de départ et d'un nombre d'hommes mobilisable, ceux ci peuvent rejoindre n'importe lequel de vos corps d'armées.
- Selon les cultures, différentes unités sont disponibles, les cultures grecques privilégieront les hoplites, les cultures barbares privilégieront des unités d'autochtones et les cultures perses privilégieront des unités persique.
- Il y a des unités spéciales au début du jeu mais également débloquables, pour cela, investissez dans la métallurgie locale, achetez de nouvelles techniques ou de nouveaux alliages. Ou encore, modifiez vos unités à volonté.
- Ces unités spéciales ont des bonus bien à elles, je donne pour exemple les hoplites spartiates qui diffèrent des hoplites grecs par leur discipline de fer et leur entrainement quotidien. Cependant, les spartiates paient cette unité par un serieux malus au commerce et finalement à leur économie.
- Vous dirigez votre armée comme bon vous semble, mais les déplacements sont longs et il y a peu de garnisons éparpillées, seulement quelques armées qui se font face. Un territoire ne peut pas se défendre seul face à une armée ennemie.
Autre :
- Sur la carte se trouvent des cités (carré rouge et territoire autour) et des petites villes (ronds rouge), ces dernières ne sont pas signifiantes mais sont une indication de la richesse de la région. Toutes existent en réalité donc, n'hésitez pas à donner les noms.
- L'honneur est crucial pour les dirigeant d'alors, il n'est pas interdit de commettre quelques actes douteux envers son peuple ou ses ennemis, mais attention à ce que cela ne parvienne pas aux oreilles publiques.
- Vous avez votre mot à dire sur l'organisation politique de la cité, des modifications de votre système peuvent vous aider ou vous nuire.
- Vous aurez un rappel des unités qui vous sont disponibles dans vos stats.
Les forces en présence :
Les Grecs : Les cités grecques sont désunies, la culture grecque a un grand rayonnement dans la région, mais les conflits incessants entre les cités coutent cher. La périphérie est de moins en moins protégée et les incursions barbares se multiplient. Ces cités savent cependant faire preuve de patriotisme hellénique lorsque leur intégrité est réellement menacée. Les cités Grecques sont Delphes, Thèbes, Etreria, Athènes, Corinthe, Argos, Mantinée, Sparte, Olympie, Elis, Andros et Naxos.
Les Crétois : L'ile de crête à toujours occupé une place à part dans la culture grecque. Excellent archers et navigateurs, ces cités insulaires auront leur mot à dire dans les conflits qui approchent. Les principales cités de culture crétoise sont Cydonia, Oaxos, Cnossos et Rhodes.
Les Anatoliens : L'anatolie est grecque depuis bien longtemps, les cités qui s'y trouvent et leurs peuples sont imprégnés de leur culture grecque d'origine, mais sont fortement liés à l'orient et à la culture perse. Les cités Grecques d'Anatolie sont Heraclée, Troie, Lesbos, Lemnos, Chios, Smyrne, Phocée, Ephèse, Milet et Halicarnasse.
Les Epirotes : Citoyens de l'Epire, cette région bénéficie du rayon de culture grecque dont elle est bien imprégnée. Elle est cependant moins urbanisée et rêve de s'étendre au sud vers les régions riches de la Grèce profonde. Les trois villes de l'Epire sont Apollonie, Dodon et Epidamne.
Les Macédoniens : Ce peuple hellénique est toujours considéré comme barbare par les cités qui se croient supérieures. Les deux plus imposantes cités, Pella et Larissa pourraient cependant acquérir un plus grand pouvoir dans la région.
Les Perses : L'empire Perse menace, sont but a toujours été l'expansion vers les terres de Grèce. Les armées perses sont souvent innombrables et parées d'or. La seule cité Perse dans la région est Pergame.
Les régions partageant une même culture sont plus proches diplomatiquement, mais la proximité géographique multiplie les tensions. Ces cultures peuvent être exportées, favorisée, modifiées et de nouvelles pourront même faire leur apparition.
Il n'y aura aucune intervention extérieure dans le jeu, l'empire Perse, les Thraces, Egyptiens, Romains ou autres n'entreront pas sur la carte.
Factions à jour :- Spoiler:
Sparte : Baron Von Limpzen
Athènes : Wellan
Thèbes : Hannibal Barca
Delphes : Raft_Wars
Corinthe : Luis Daoiz
Elis : Arkantos
Olympie
Argos : Hoplite 42
Cnossos : Consul Titus
Oaxos
Cydonia
Epidamne : Kevin 13
Dodon : Aedhr
Apollonie : Lucius Landa[b]
[b]Lemnos : Marvailh Canmore
Lesbos : Temudhun Khan
Andros
Halicarnasse : Attalus
Rhodes : Servietsky
Larissa : Mido
Pella : Rhalina
Héraclée : Beregil
Pergame : Wissemaster
Ephèse : Marcus
Milet
Chios : Celtiktom
Eretria
Carte :- Spoiler:
Nouvelles :- Une tentative d'assassinat sur le roi de Pergame à eu lieu, mais celui ci a survécu à sa bléssure au bras. L'assassin n'a rien pu réveler, sa langué était coupée et il est mort assez rapidement entre les mains de ses bourreaux.
- Naxos est en guerre civile, le royaume a éclaté.
- Mantinée a voté son rattachement à Corinthe. Le conseil de mantinée, lourdement sous influence Corinthienne a appuyé ce choix.
- Les derniers rebelles Troyens ont été écrasés par l'armée de Pergame.
- Cydonia se serait rangée aux cotés de Cnossos, mélant les destins des deux cités.
- Phocée est entièrement détruite.
Guerres :- Epidamne :
En adriatique, ce matin la, l'honneur n'était pas au rendez vous ... Les birèmes d'épidamnes, venues aider leurs amis de Dodon rallient la flotte Dodonienne. Erreur effroyable, à peine arrivés à quai, les soldats Dodoniens bloquent la sortie du port et abordent les navires. Les équipages n'opposent qu'une faible resistance tant le coup est dur.
Suite à cela, l'armée de Dodon traverse la frontière qu'elle partage avec la péninsule colonisée par Epidamne au sud ... C'est la guerre !
Quelques semaines plus tard, une immense flotte de navires Dodoniens et Eliséens s'approche d'Epidamne même, la cité se prépare, mais la plupart des troupes sont parties en macédoine et les soldats envoyés en colonisation à l'est du pays ont juste le temps de revenir pour affronter une armée coalisée qui commence le siège de la cité.
Les fortifications tiennent bon, les défenseurs aussi, les charges se succèdent sans trouver de faille jusqu'à ce qu'un groupe d'espions, revenus en même temps que la délégation épirote des jeux d'olympie, passe à l'action. Ils attaquent les gardes d'une porte isolée et lance leur signal. Les coalisés s'arment et partent à l'assaut de cette ville éventrée.
A l'interieur, 3500 épirotes, dont les rangs sont composés en presque intégralité de soldats entrainés et disciplinés tentent de resister aux 10.000 coalisés légèrement affaiblis à moitiés composés de troupes barbares qui les assaillent.
Le combat est rude, les archers d'Elis font un massacre parmis les troupes défensives dépourvues d'armes de tir. Et dans un ultime coup de boutoir de la cavalerie ennemie, les bataillons craquent et s'éparpillent dans les rues.
La cité est pillée entièrement, mais peu de violences sont faites sur les habitants. Le roi d'Epidamne est capturé par Elis et emmené, son armée est détruite et ses villes tombent les unes après les autres, l'épire est victime d'une fourberie sans nom. Cependant, le stratège de l'armée partie en Macédoine demeure et peut encore sauver sa patrie.
Cependant, dans la joie de la victoire, de sombres nouvelles parviennent aux Eliséens ...
- Elis :
Les jeux olympiques se terminent ce jour, ç'aurait du être un jour de fètes pour tous et de bonheur, mais ce ne fut pas le cas. Dès l'annonce de la fin de la trève olympique, Corinthe déclare la guerre à son voisin parti en guerre en Epire, les citoyens d'Elis sur le sol de Corinthe sont arrétés et vendus en masse à n'importe quel prix. L'armée Corinthienne entre dans le pays et commence le pillage des cités qu'elle occupe. Dans la cité d'Elis, de sombres rumeurs prétendent que 1000 corinthiens sont en marche. La garnison se prépare et sort de la cité pour repousser les envahisseurs.
Les deux armées s'approchent et se font enfin face. Mais la surprise est de taille, les corinthiens sont 8.000. Des messagers partent pour Elis immédiatement, il faut rappeler l'armée !
Le combat commence très mal et très vite, les archers Corinthiens déciment les rangs de miliciens d'Elis, le carnage est total. Le commandant décide du repli immédiat avant l'erradication. Sur le retour, ils sont harcelés par la cavalerie Corinthienne qui plombe encore leurs rangs.
Les rescapés se replient derrière les murs d'Elis en attendant les troupes ennemies. Celles ci ne se font pas tarder et le siège commence. Il est parfaitement inégal et plusieurs sommations sont lancées. Les miliciens ne sont pas réputés pour leur loyauté ou leur discipline et une grande majorité d'entre eux décide de livrer la cité contre leur vie.
Peu avant, le roi d'Elis s'est enfui, quelques espions Corinthiens ont bien tenté de l'assassiner avant sa fuite, mais les gardes veillaient et aucun mal ne lui a été fait. En revanche, le trésor royal d'Elis est tombé aux mains des assaillants.
Les troupes de Corinthe s'élancent vers l'ouest. Au même moment, l'armée partie en campagne revient et se prépare au combat. Ce sont presque 5000 soldats d'Elis, fatigués du voyage qui doivent affronter les 7500 corinthiens également fatigués.
Les deux lignes d'infantrie s'avance, les hoplites grecs se font face et entrent en contact. L'avantage revient aux Corinthiens, plus nombreux. Les archers Corinthiens prennent également le dessus rapidement sur leurs homologues deux fois moins nombreux. Les cavaleries entrent en scène, celle d'Elis est la encore moins nombreuse que son ennemie et fonce droit au massacre. Le stratège d'Elis sonne la retraite et l'armée reflue en désordre vers les navires à quelques kilomètres de la. Abandonnant une partie du butin de sa campagne d'épire.
Sur le voyage vers les iles d'Elis, de nombreux accidents surviennent, blessures infectées, fièvres, hallucinations et démence pour les plus graves font chuter encore un peu le moral des survivants. Mais ils ont encore le roi d'épidamne à fond de cale et celui ci se porte bien.
Les bléssés sont rapidement tous victimes de crises fortes et souffrent énormément. Cette armée doit être maudite !
Le reste du territoire continental d'Elis se rend, mais les iles continuent de resister.
Les marchands Corinthiens quittent les territoires de la ligue de Platée et Daoizos premier fait arreter les marchands de Pergame sur son territoire après avoir trouvé dans les palais d'Elis des preuves de la vassalité des Eliséens aux perses. D'autres preuves tendent à prouver qu'athènes serait mélée également aux perses.
- Phocée :
Profitant de la foule assemblée pour fêter les jeux d'olympie, un assassin a pu éliminer le roi de Phocée.
A la suite de cela, les armées d'Ephèse et de Pergame sont entrées dans le pays. Pergame, soutenue par une grande majorité du pays du fait du mariage royal et présentée comme l'unique rempart contre Ephèse est aidée par la population.
En revanche la resistance s'acharne sur les troupes d'Ephèse qui progressent lentement, elle font le siège de Phocée et rapidement, l'armée de Pergame intervient.
Rejointe par les défenseurs, Pergame fait face aux envahisseurs Ephèsiens. Ce sont 15.000 pergamiens et Phocéens qui affrontent 8500 Ephèsiens.
La bataille commence et comme à leur habitude, les deux lignes d'infantrie avancent l'une vers l'autre. Les hoplites de Phocée, appuyés par l'innombrable infanterie Perse de Pergame se précipitent sur les rangs ennemis bien compacts. La lutte est serrée, les perses meurent par centaines, mais leur nombre commence à ronger les rangs d'Ephèse. Ces derniers commencent à reculer.
Les archers d'Ephèse font cependant du dégat, ils sont seuls maitres des airs étant donné le très faible nombre de tireurs qui leur font face, ils trucident l'infanterie Perse. C'est visiblement la cavalerie qui donnera l'issue du combat. Celle de Pergame est un peu plus nombreuse que celle d'Ephèse, et de bien meilleure qualité. Ils écrasent les contingents de cavaliers venus les contrer et foncent sur les milliers d'archers.
Ils sont mitraillés, mais un petit nombre parvient jusqu'aux rangs ennemis alors que l'infantrie Ephèsienne craque. L'ensemble se rue sur le gros morceau que représente les archers ennemis. Infanterie et cavalerie réduite ont bien du mal à affronter au corps à corps des archers certes moins forts mais nombreux. C'est le moment que choisit le général Attalide (Pergame) pour faire entrer son arme secrète dans la mélée, les éléphants de guerre.
Ceux ci au nombre de cinq sont caparaçonnés jusqu'à l'os. Ils se précipitent sur les archers qui, bousculés par le reste des troupes de Pergame ne peut faire feu efficacement. Finalement un éléphant s'écroule, mais les autres, mieux protégés parviennent au contact et sèment la mort.
Les troupes Ephèsiennes, diminuées mais pas annihilées se replient non loin de la mais n'ont pas essuyé une très grosse défaite, ni concédé beaucoup de territoire, leur honneur est sauf !
Dans la foulée de la victoire couteuse, Pergame annexe les restes de Phocée, son armée et sa flotte avec le soutien du conseil Phocée, largement contrôlé par les Perses.
A la suite de ces évènements et conformément à leur accord, Smyrne, Ephèse et Milet s'allient contre Pergame et lui déclarent la guerre communément. Le conseil de Smyrne, conscient de la faiblesse de ses troupes vote même un rattachement sans condition avec Ephèse, plaçant son destin entre les mains de son dirigeant.
- Lesbos :
Chios déclare la guerre à Lesbos, appuyée par Andros. Les flottes de Chios ont vite fait de prendre les deux iles proches de sa capitale. Une troisième attaque a lieu sur l'ile de Skyros.
1000 soldats lesbien se précipitent vers la plage de débarquement des forces de Chios. Le combat s'engage et rapidement repoussent les Chiosiens dans leurs navires sans leur infliger trop de pertes cependant.
Andros elle attaque les Cyclades et, avec des forces très peu supérieures en nombre tombe sur un autre contingent de Lesbiens qui les rejette à la mer.
L'ile même de Lesbos est attaquée par une troupe de débarquement Héracléenne. Celle ci est lourdement armée et accompagnée de troupes neuves et fortes. Les troupes Lesbiennes sont composées en majeure partie d'archer, rendant la progression Héracléenne très lente et difficile. Ils subissent beaucoup de pertes et malgrès la réussite temporaire du débarquement, doivent se replier devant le nombre de leurs pertes et abandonner Lesbos.
- Lemnos
La flotte de Pella vogue vers Lemnos, venue vide et avec l'intention d'aider au repli des troupes bloquées sur l'ile. Conjointement, les troupes athéniennes voguent vers la cité pour épauler leurs alliés et la flotte d'Halicarnasse vient également aider à l'invasion de l'ile.
L'ile est en vue et la flotte de Lemnos aussi, celle ci dispose d'une cinquantaine de navire dont quelques uns sont neufs mais inexpérimentés. Les flottes s'avancent vers l'ile et s'apprètent à entrer en conflit avec celle des défenseurs.
Soudain, les flottes de Pergame et de Lesbos surgissent, prenant en embuscade les attaquants. La flotte de défense dispose maintenant de plus de 275 navires et interceptent les attaquant.
Le combat naval fait rage, les défenseurs en surnombre prennent le dessus et chassent leurs adversaires. Beaucoup de navires sont coulés, quelques uns sont capturés et les renforts athéniens et Halicarnassiens ont perdu de nombreuses troupes inutilement.
Sur la côte, les troupes macédoniennes ont entrepris de tout bruler avant le départ et ne peuvent que contempler, impuissants leur flotte repartir.
Un ultimatum est lancé par les Lemnosiens, ils s'apprètent à attaquer avec une armée supérieure en nombre et promettent la vie aux ennemis qui se rendraient.
Composés en majeure partie d'infantrie barbare peu disciplinée, des pans entiers de l'armée macédonienne se rendent. Finalement, restés trop peu nombreux, les chefs décident la reddition.
Les prisonniers sont vendus comme esclaves dans l'ile ou ailleurs.
Arrivée à peu près au même moment, la flotte d'Héraclée a tenté un débarquement, mais d'autres navires en embuscade de Pergame on mis fin à la tentative et chassé la flotte Héracléenne.
Les quelques centaines de soldats déja sur le sol ont été rapatriés en force après un rembarquement express. Le roi d'Héraclée, présent lui même sur les navires à subi une légère blessure à la jambe mais sans réelle gravité.
- Cote est de Pella :
La bataille s'annonce terrible, 14.000 Lemnosiens rencontrent 14.500 Macédoniens. Attirés dans une plaine, les Lemnosiens font face à leurs ennemis, confiants, car les forces adverses ne sont pas impressionnantes. La ligne d'infantrie Lemnosienne s'élance et le centre des lignes macédonienne s'avance également. Les archers Lemnosiens tirent des trois cotés, infligeant des dégats à leurs ennemis alors que les archers macédoniens, massés à gauche patientent.
Au centre, les hoplites macédoniens et les soldats royaux ne flanchent pas. Ils tiennent le choc face au troupes en surnombre qui leur font face. Le centre Macédonien est avancé et se retrouve un peu encerclé face aux lignes Lemnosiennes qui ont avancé en bloc. Les ailes macédoniennes interviennent et parviennent au contact. A droite et à gauche, les Lemnosiens perdent du terrain, alors qu'au centre ils en gagnent. L'aile droite et le centre macédoniens sont dépourvus d'archers, mais appuyés par les archers de gauche qui doivent tirer très loin pour atteindre les Lemnosiens.
A droite, les Macédoniens gagnent du terrain, au centre ils en perdent, à gauche ça stagne.
Le roi de Pella est présent sur le champ de bataille, monté sur son cheval, il harangue les troupes et combat au centre avec ses gardes royaux galvanisés. Cela ne suffit pourtant pas, très largement dépassés au corp à corp et criblés de flèches, le centre macédonien perd trop de terrain pour que la situation soit tenable.
La gauche est toujours stagnante, personne ne prend l'avantage car les archers macédoniens ne soutiennent pas assez leurs troupes, même si ils provoquent de lourdes pertes à droite.
La droite Lemnosienne à cedé, le centre Macédonien aussi, les deux formations se font face.
Le combat se poursuit, les cadavres s'empilent, les soldats Macédoniens de gauche commencent à souffrir du manque de soutien des tireurs, le centre Lemnosien et la droite Macédonienne sont de même force, l'un appuyé par une bonne troupe d'archers, l'autre en surnombre.
Finalement, le stratège Lemnosien décide un repli en ordre et les formations s'éloignent à reculon, les archers sont encore les seuls à causer quelques dégats.
28.500 combattants et au final près de 17.000 morts. C'est sans conteste la bataille la plus meurtrière des guerres hellèniques jusqu'à présent.
- Calchicide :
Les péninsules rebelles de Calchicide ont vu débarquer un grand nombre de troupes Lesbiennes. Rapidement, les trois cités sont prises et les péninsules tombent. Les armées s'avancent alors vers le territoire Macédonien. Celui ci est défendu par des troupes venues d'Epidamne. La bataille se fait alors que les trois forces de débarquement Lesbiennes se sont rejointes.
Les lignes d'infantrie avancent et le contact se fait. Les hoplites grecs de Lesbos ont tot fait de prendre le dessus sur l'infantrie barbare Epirote en sous-nombre. Celle ci se débande alors que leur cavalerie tente un contournement, les deux cavaleries se rencontrent, la encore, les épirotes sont en sous-nombre et moins bien armés et entrainés, la cavalerie barbare abandonne le champ de bataille, laissant les archers barbares à la merci des troupes Lesbiennes.
La perte est rude pour les survivants Epirotes qui apprennent en outre, que leur royaume a été envahi par une coalition venue d'Elis et de Dodon, ils font route vers les ruines de leur contrée pour tenter de renverser la vapeur et restaurer leur royaume, menés par un chef des plus charismatiques.
Rumeurs :- Le roi d'Elis serait mort, assassiné et son pays contrôlé par une puissance extérieure.
- Dodon serait la première force navale du monde.
- Pella n'aurait envoyé au combat que la moitié de ses forces.
- Ephèse aurait plus de troupes que Pergame.
- Pergame ne serait pas la seule a disposer d'unités d'éléphants.
- Deux autres factions se seraient vassalisées à la Perse.
- La ligue du Péloponnèse serait en train de préparer une invasion de grande envergure.
- La Crête serait a nouveau unie.
Nouvelles HRP :
- J'ai modifié ma manière de jauger les facteurs économiques. J'ai voulu revenir à un système de points comme RDN. Dans vos stats, si vous avez "Bonheur : 5/12" 5 est votre niveau de bonheur et 12 est le niveau de bonheur le plus élevé atteint par l'un des joueurs, ce niveau n'a aucune limite.
- Avant de vous envoyer vos stats, je différencierais les différents groupes dans vos armées, car avec le début des grandes guerres, on commence à n'y plus rien comprendre.
- Avant d'envoyer les stats toujours, je changerais les noms de vos unités, je me retrouve avec une trentaine d'unités différentes alors que la plupart sont très exactement les même. Donc quand deux unités crées sont les même, je les réunirais sous un même nom, ce nom ne fera plus état du lieu dans lequel ils ont été crées, par exemple : les archers crêtois sont des archers grecs améliorés. Si vous faites une unités d'archers grecs améliorés, ce seront des "archers crétois".
- IMPORTANT : Rappel des règles, les technologies maritimes seront découvertes en temps voulu et avec un investissement conséquent. L'acier et la poudre ne sont pas possibles à l'époque grecque.
- TRES IMPORTANT : Désormais je ne prendrais plus en compte les petites stratégies, je sais que vous voulez gagner et bien faire, mais quand c'est poussé aussi loin, je perd un temps fou (j'ai mis 5 heures a passer le tour, c'est vraiment trop long et je n'ai pourtant fait que cela !). Donc inutile de m'envoyer vos stratégies pour prendre des villes (mes espions font ci, ça, ils font ci et ça, mes troupes attaquent la puis la, et par, la on fait gaffe a ça et ci etc etc ... DOIT DEVENIR : mon armée assiège la ville et tente de la capturer, mes espion aident pour l'attaque), vos techniques de combats (Mes rangs un et deux tirent pendant que machin et truc lancent des objets, les pilums servent à ça et ci et la dague sert a ça, les arcs font ci mais les lances font ça DOIT DEVENIR : Nenni !), vos plans de bataille (Mes lignes avancent sur la droite, 254 cavalier + 456 hoplites plus le tier de mon armée totale sont sur le centre gauche et opposent leur lance aux trucs, puis la droite quart est fonce avec 24% de mes cavaliers de gauche DOIT DEVENIR : Mon armée attaque tout ceux qu'elle rencontre.) Voila, je les ais appliquées à la lettre pour ce tour ci, mais la prochaine fois je passerais outre. Désolé de n'avoir pas le temps, il me faudrait un MJ adjoint qui résoudrait les combats et rédigerait un rapport de bataille. (Ce serait super pratique n'empêche, si quelqu'un est motivé à faire un essai ?)