[M2TW] Damned to Hell

Sujet: [M2TW] Damned to Hell Mer 13 Oct 2010 - 17:38

Préambule :
L’histoire que je vais vous conter, ne fait pas partie de ces contes de fée merveilleux des miles et une nuit qu’ont racontent le soir aux jeunes damoiselles avant qu‘elles aillent se coucher. Ce n’est pas non plus dieu sait quel fable ou légende narrant les exploits passés de soit disant « héros » au qualité guerrière indiscutable et à l’intelligence bien supérieur au commun des mortelles. Non. Cette histoire est bien réel et les hommes qui la composent non rien d’extraordinaire. Ce récit, ne sera ni plus ni moins qu’un enchaînement de sang, de larmes et de haines. L’amour ? me direz vous, elle n’a rien à faire en notre époque si sombre et si oppressante. L’amour, elle, ramollit les cœurs. Cette histoire, prend place dans un passé qui n’est pas si éloigné, à une époque ou les grandes puissances que nous connaissons n’était encore qu’à leurs balbutiements. J’étais moi même qu’un jeune Capitaine, et sur les conseils de mon père, je partis avec l’armée de Guillaume dit le Bâtard envahir l’Angleterre, là bas nous vainquîmes l’armée d’Harold à Hastings. Dés lors, le pays, fut notre. Mais ce n’était qu’un amas de détritus que nous devions transformer en Or. Aucune institution ne fonctionnais correctement, la famine sévissait, emportant de nombreuses vies dans l‘au-delà. Et pour compléter le tout, des groupes de brigands sévissaient dans les campagnes, à la recherche de toujours plus de butins, n’hésitant pas à massacrer quiconque pouvait s’interposer sur leurs trajets. Cette histoire mes amis, la voici.

Chapitre 1 :
Comme je vous le disais, suite à notre victoire sur Harold, il fallait remettre de l’ordre dans le pays et surtout renflouer le trésor. C’est ce que fit Guillaume.
L’agriculture bien sur eut la priorité, le petit peuple souffrait de la disette et il fallait y remédier au plus vite. Alors dans tout le pays, on défricha de nouvelle terre. Le système agricole fut par la suite modernisé. Ces mesures permit d’accroître la productivité, ce qui réduisis la famine. Mais la vie dans les champs n‘était pas de tout repos, le labeur était pénible et les nombreux brigands qui écumais les campagnes n‘arrangeaient pas les choses. L’installation de poste de sécurité civile permit de réduire en grande partis ces actes de brigandage, sans toutefois les arrêter. Des infrastructures comme des routes et des bâtiments administratifs furent construits. De nouvelles taxes fîmes aussi leurs apparitions aux grand mécontentement général mais tout soulèvement fut durement réprimés. La reconstruction continua durant quelques années, mais le Roi avait d’autre idée en tête. Il en voulait plus et décida, à mon grand regret, d’agrandir les frontières.

Le courrier dut arriver un jeudi. Le soleil venait tout juste de se lever et j’émergeais avec peine quand un de mes soldats me tendit le message, me seau du roi était bien reconnaissable et ne présageait rien de bon… j’ai toujours eu horreur des jeudis. Le message m’ordonna de prendre le village de York. Aucune mention concernant la venu de renforts, pourtant ils auraient été les bienvenus. Je ne disposais en tout et pour tout que de quelques centaines d’hommes, pas suffisamment pour qu’une tel entreprise ne se passe sans accroc. Mais les ordres ne pouvait être contestés et c’est fou de rage que j’ordonna de lever le camp. Nous partîmes le vendredi.
Seulement trois jours de marche nous séparais de notre destinations et il fallait faire vite, le royaume écossais plus aux nord ne tarderais pas non plus à s’intéresser à ce petit bourg, point stratégique dans la région. Lorsque nous arrivâmes par un petit matin, le temps était à l’orage et les fumées des cheminées s’élevaient tel les tentacules des ces êtres mystiques des temps passés. L’assaut était proche et le combat s’annonçais rude. Les habitants ont durant plusieurs générations été sous le joug d‘envahisseurs venu, comme nos ancêtre, des pays nordiques de Scandinavie. Il ne m’étonnerait pas que du sang vikings coule dans leurs veines, ce qui ne put que m’inquiéter davantage.

[M2TW] Damned to Hell Chap13

Ils s’étaient retranchés sur la place principale, les déloger ne devait pas être chose aisée. Pourtant il le fallait. Comme dans je ne sais quel symphonie, la troupe se mit en branle. Les archers prit rapidement leurs positions, tendis que le reste de la troupe ferma le chaudrons du mieux qu’ils le purent. La mécanique était bien huilée et j’eus un moment de fierté devant tant de cohésions.
Quand le moment fut venu, je fit sonner mon Cor, tous, comme un seul homme, se lancèrent à l’assaut. Des traits jaillirent des rangs ennemies, versant le premier sang dans nos rangs. Puis le contact eut lieu, aussi sanglant que brutale. Mais malgré nos efforts répétés, nos adversaires ne pliait pas, pire encore ils finissaient par prendre l’ascendant sur mes braves.

[M2TW] Damned to Hell Chap14

Nous ne pouvions emporter la place par la force. J’ordonna donc la retraite aux troupes engagés dans la mêlée. Le général ennemie, nous croyant vaincu et en déroute, lâcha aussitôt la bride à ses troupes sur nos effectifs en retrait. Mais nos archers firent aussitôt pleuvoir sur eux une nuée de trait, en tuant un grand nombre. Immédiatement et à mon signal, nos soldats repartirent à la charge face à un adversaire abasourdit et dispersé.

[M2TW] Damned to Hell Chap16

Notre nouvel assaut fut une réussite. Un dernier carré ennemie fut rapidement défait, la victoire était indiscutable, mais elle avait un goût amère. Je perdis nombre de brave, victimes qui auraient, sans doute, put être évitées si notre bon roi aurait daigné nous donner quelques unités supplémentaires mais il était trop occupé à pavoiser sur ton trône doré, méprisant son entourage et fourrant sont nez sous les dessous des servantes. Notre bon roi avait bien changé depuis Hastings.

[M2TW] Damned to Hell Chap17

Suite à cette événement, ma rancœur envers Guillaume croissait, n’hésitant pas à exprimer mon hostilité en publique. Ce qui me vaudra plus tard de sérieux ennuis car beaucoup n‘était pas du même avis que moi, mais nous n’en somme pas encore rendu là. Cette histoire n’est qu’à sont commencement mes amis.
Voilà tout pour aujourd’hui, je ne me sent plus la force de continuer. Beaucoup de souvenir et d’émotions me reviennent. De plus, il se fait tard et mon age ne me permet plus, comme avant de veiller tard.

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Mer 13 Oct 2010 - 19:28

Perso j'adore

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Mer 13 Oct 2010 - 19:44

Bravo je veux voir la suite rapidement!

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Jeu 14 Oct 2010 - 17:33

je n'ai qu'un mot grandiose vite la suite!! cheers

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Jeu 14 Oct 2010 - 17:43

Marcanius a écrit:: je n'ai qu'un mot grandiose vite la suite!!

Pareil, j'adore !!

Vivement la suite ! sunny

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Jeu 14 Oct 2010 - 18:38

[M2TW] Damned to Hell Angleterrechaptwo_banRecit

Chapitre 2 :
Le deuxième jours

- Tout le monde est présent ? Oui ? Très bien, nous allons pouvoir continuer. Baron, raconté nous l’épisodes écossais.
- Très bien mes amis, j‘y arrivais juste..

On me confia l’administration de York et de sa région. Durant six années je fus du mieux possible. Mais les tensions à la frontière avec le royaume d’Écosse allaient croissantes. De nombreux villages sous ma responsabilité, furent brûlés, les femmes violées, les maris assassinés. Cette racaille qui saccageait mon domaine ne méritait pas de vivre, et chaque jours de la semaine, je patrouillais avec ma garde personnel le long de la frontière. Lors d’une sorties, nous tombâmes dans une embuscade, le nombre et la soudaineté de l’assaut nous fit plier dés le début de l’engagement, mais l’arrivé inopiné de renfort, permis aux survivants d’éviter une mort certaine, je fus sévèrement blessé et mis plusieurs mois à guérir.
Je crois que c’est à ce moment qu’une haine féroce envers ce misérable peuple de pèquenot m‘habitât.
De nombreuses missives furent envoyer pour alerter le roi Guillaume, je prit grand soin d’énumérer les noms des villages rasés, le nombre de mort et de disparus depuis les premiers heurts. Je lui décrivis aussi les horreurs que subirent la populace ainsi que l‘embuscade commise sur ma personne et ou je faillit mourir. La seule réponse que je reçus, me sommait de ne point tenter de chose « stupide ».

Ce maudit bâtard ne mérite pas sont titre, quel dirigeant, quel roi, pourrait laisser sont petit peuple se faire massacrer ainsi ?

Et c’est ainsi, que remis de ma blessure, j’ordonna dans la plus grande discrétion une levée de troupe. Une opération de ce type ne passerait pas inaperçue à la cour. Je n’hésita donc pas un seul instant à débourser de ma propre bourse afin que les frais d’entretiens de mon armée ne paraisse pas si suspect aux yeux du Trésor. Je réussis à tripler mes effectifs, de nombreux braves se présentèrent volontairement aux divers postes de milice présent dans la région afin de s’y faire engager, car beaucoup d’entre eux avaient perdu au moins un membre de leurs famille, si ce n’est plus, dans ces terrible incursions écossaises qui nous rongeaient.
Au début du printemps de ma huitième années de gérance, mes troupes étaient prêtent et réunis non loin de la frontière avec l‘Écosse. Il ne restait plus qu’a lancer une razzia si terrible qu’ils mettraient des années, voir des décennies avant de s’en remettre.

Nous partîmes un matin au lever du soleil, destination la capital Édimbourg. Nos mouvement ne passèrent pas inaperçus et lorsque nous arrivâmes à hauteur de la ville, une grande armées nous attendait. Je dirais qu’ils étaient supérieur en nombre mais de peu. De plus, nous avions quelque chose qu’ils n’avaient pas, une soif de vengeance qui ne pouvait être assouvie que dans le sang. Des deux côtés, les armées se mirent en ordre de bataille, des renforts ennemies étaient signalés a trente minutes et il était à supposé que le corps principale adversaire l’attende. Je décida de ne pas bouger, nous étions bien campés sur une hauteur, que même toute les armées du monde n’auraient pus nous enlever. Le combat était imminent et seul dieu en connaissait l’issue.

[M2TW] Damned to Hell Chap21

Le général ennemis fit sa première erreur, alors que tous voyaient leurs renforts approchés, il lança un premier assaut qui fut facilement repoussé par le contingent irlandais, aidé il est vrai par les redoutables traits de nos archers. Nous ne bougeâmes toujours pas. Après un long moment d’attente ou les deux armées se regardèrent dans un silence de plomb, dérangé de temps à autre par les plaintes des mourants du premier assaut.
Les deux groupes ennemis finirent par se regroupe, formant un seul bloque.
Le second assaut eu lieu, ce lui là plus violent, réalisé avec une plus grande détermination que précédemment. Une nuée d’homme s’élança à l’assaut de notre position, accueillit par une pluie de flèches, mais ils continuaient d’avancer, hurlants de tout leurs cœurs, ignorants leurs morts et blessés qui se répandait sur la pente.

[M2TW] Damned to Hell Chap23

Le combat devint général, la cavalerie des deux camps s’opposant sur une aile, l’infanterie elle, se rendait coup pour coup sur ce qui restait du champs de bataille. Ce fut une véritable boucherie, les uns se battant pour leurs pays, pour leurs vies tandis que les autres, était motivé par la vengeance et la haine. Rien n’est plus beau à mes yeux que deux combattants s’empoignant avec rage jusqu’à épuisement.
Mais notre discipline du combat, ainsi que nos armes qui étaient de bien meilleurs factures que les leurs, nous permis de prendre l‘ascendant et de les repousser, et ceux malgré le sous-nombre évidant dont nous faisions face, l’ennemie se faisait tallé en pièce et c‘était pour notre plus grande joie.

[M2TW] Damned to Hell Chap25

Lorsque leurs effectifs diminuant ne leurs permis plus de tenir, ce fut la débandade, groupe après groupes l’ennemie prit panique, ne pensant plus qu’a sauver leurs misérable vie, voilà ce que tous désiraient en ce moment, survivre.
Nous les avons pourchassés jusqu’à la nuit tombé massacrant un très grand nombre de fuyard, peu de prisonnier fut fait, d‘ailleurs ce fut mes ordres.

[M2TW] Damned to Hell Chap28

Le lendemain nous prenions Édimbourg, la ville fut mise à sac, sa populace massacrée, puis nous firmes un grand brasier ou nous jetâmes le maximum de dépouilles. Il y eu plusieurs milliers de mort. Mais notre soif de vengeance n’était toujours par tarie et durant des jours et des jours nous écumions la régions à la recherche de toujours plus de sang, qu’il soit homme, femme, enfant ou même vieillards, tous trépassèrent.
Après plusieurs semaines, nos vivres arrivants à pénuries, nous décidâmes de rentrer.
L’Écosse n’était plus que ruine, et il ne risquait plus de menacer notre frontière.

- Voilà c’est tout ce que j’ai à dire sur ce sujet. Et si vous le permettez je vais prendre congés.

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Ven 15 Oct 2010 - 5:21

ça me redonne goût à l'époque médiéval Very Happy

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Ven 15 Oct 2010 - 20:52

[M2TW] Damned to Hell Angleterrechaptree_banRecit

Chapitre 3 :
Le troisième jours.

- Que se passât il ensuite ?

A notre retour dans nos foyer, l’armée se dispersa et je fus mis immédiatement aux arrêts par le Roi. Je devais passer en jugement pour haute trahison, je sentais déjà le tranchant de la hache et le souffle chaud et nauséabond du bourreau. Mais à l’époque, le pape avait décrété une croisade contre les maures au sud de l’Espagne. Les volontaires se faisaient rare, Jérusalem étant quand même une bien meilleure destination pour qui recherche le pardon. Bref, notre bon Roi reçu un courrier lui intimant l’ordre de rassembler une armée le plus tôt possible sous peine de représailles. Guillaume ne souhaitait, ni se mettre l’église à dos, ni envoyer ses si précieuses troupes. Alors je ne sais pas ce qui lui passa par la tête a ce moment là mais je dois avouer que ce fut plutôt malin de sa part. Il vida toutes les prisons du pays, jusqu’au plus petit cachot, la plus petite cellules. Toute la racaille d’Angleterre fut réunis sous bonne garde sur une plage au sud du pays. Là on expliqua clairement que ceux qui ne souhaitaient pas partir pour l’Espagne combattre les infidèles au nom de Dieu seraient immédiatement pendus. Je ne vous décris pas l’engouement soudain de tous ces mécréant pour participer à l’expédition, c‘était d‘un comique. Moi même j’avais accepté la proposition qui m’était faite et on me confia le commandement, ce qui valait quand même mieux que de croupir avec les rats dans un cachot de deux mètres sur deux en attente du probable décapitation. Une fois, que le recensement eu été fait, tous embarquèrent. Le pape avait sont armée et l’Angleterre était débarrassée de sa vermine. Cette année, je peux vous l’assurer, fut la moins meurtrière en terme de pendaison dans le pays.

Nous mîmes une semaine à rejoindre le port de Pampelune aux nord de l’Espagne. Nous devions être en plein cœur de l’été car je me souviens qu’il régnait une chaleur étouffante. Notre débarquement effectué, nous reçûmes nos quartiers non loin de la ville de Saragosse, ou nous commençâmes l’entraînement militaire. Celui ci ne dura pas longtemps car son imminence le pape s‘impatientait, tout comme notre voisinage qui n’aimait guère notre présence, il faut dire que le nombre de délit avait considérablement augmenté depuis notre arrivé.
Un matin, une armée se présenta en ordre bataille non loin de notre camp, un haut dignitaire vint à notre campement et nous intimida l’ordre de partir sous peine de je cite « brûler nos misérables carcasses » . A peine eu t’il finit ses mots qu’une douzaines d’hommes se jetèrent sur lui. La tête tranchée, il fut ligoté à sont cheval et renvoyer dans ses lignes, Qui était il pour nous parler ainsi à nous des serviteurs de Dieu !

Le lendemain, nous affrontâmes l’armée d’Espagne sur la plaine séparant nos deux camps. Mes effectifs étaient plutôt modeste comparé à ceux de l’ennemie, à croire que tous les hommes du pays furent rassemblés pour nous faire face.
Je disposais d’un peu de cavalier, équipé des fiers destriers espagnols que nous avions emprunter sans leurs demander à la population lors de notre arrivée. Ne voulant pas les sacrifier ils furent placés en réserve. Le reste de la troupe formait un bloque compact, l’infanterie devant, les archers derrières. L’ennemie plaça ses tirailleurs et ses archers en devant afin de nous saigner avant l’assaut mais c’est le contraire qui se produisit, peu de nos flèches furent perdu.

[M2TW] Damned to Hell Chap31

Leurs formations arrivant à porter, je lança le signal et toute mon infanterie chargea avec vigueur une ligne espagnol plutôt surprise de t’en d’hardiesse, car même à deux contre un nous nous portions jusqu’à eux.
Le choc fut terrible, les boucliers s’entrechoquant dans un fracas métallique, des dizaines d’hommes des deux camps périrent sur le coup, une averse de flèches tombait sans discontinuer sur la mêlée fauchant sans distinction amis ou ennemis. Mes braves tenaient bon, préférant mourir sur place que de céder un pouce de terrain. Pour les appuyer je n’hésitait pas à m’élancer avec ma garde dans des charges meurtrières, enfin surtout pour l’ennemie. Le combat dura toute la journée, la plaine prit rapidement la couleur du sang. Alors que le combat s’intensifiait, je remarqua que l’aile droite adverse, plus faible ne tarderai pas à tombé si les moyens y était mis. Il ne fallut qu’une charge de ma merveilleuse garde personnel, si belle et si puissante, appuyé par l’infanterie présente pour qu’ils détallent en tous sens. Je réussis néanmoins, à retenir mes hommes tant bien que mal pour qu’ils aillent appuyer notre aile gauche qui, elle, se faisait massacrer par l’élite de l’armée d’Espagne, composé exclusivement de chevalier à pied ou monté, mais ceux ci paniquèrent eux aussi voyant l’encerclement inévitable.

[M2TW] Damned to Hell Chap32

Ils ne nous resta plus qu’à les pourchasser sans merci.
Le soir même de notre victoire, je restas un moment à contempler le champ de bataille.
Des boucliers brisés et des corps malmenés jonchaient chaque mètre carré du sol, et les rocs en forme de crânes qui bordaient la vallée semblaient contempler le massacre avec satisfaction. De grands vols de charognards commençaient à descendre du ciel, et leurs croassements se mêlaient à la plainte des mourants. C’est à se moment que je prit conscience de mon état. Mon armure était ébréchée, mon corps couvert de sang et de terre. J’avais grand besoin d’un bain.

[M2TW] Damned to Hell Chap37

Lorsque je rassemblas mon armée, il ne me restait que trois cent homme valide. La croisade était belle et bien fini pour nous, et elle n’eut l’effet tant désirée par le pape, Le royaume catholique d’Espagne sortit grandement affaibli, suite à la destruction de son élite. Les infidèles, qui ne furent pas inquiété par nos armes, s’emparèrent par la suite de nombreux territoires sur la côte Est du pays.
De notre côté, nous n’avions plus aucun endroit ou aller. Tous nous voulaient voir morts, et on devint comme qui dirait des hors la loi. La France, seul pays qui n’avait pas encore d’hostilité envers nous, devait être notre prochaine destination.

Voilà pour ce qui concerne le chapitre espagnol et la grande croisade contre les infidèles.

- Merci Baron, nous écouterons la suite de votre récit demain.

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Ven 15 Oct 2010 - 21:33

J'adore

Mais une seul petite fausse note :
On ne pend pas les nobles, on les décapites, sinon tout est bon ^^

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Sam 16 Oct 2010 - 7:15

merci, c'est modifier Wink

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Dim 17 Oct 2010 - 18:32

[M2TW] Damned to Hell Angleterrechapfour_banRecit

Chapitre 4 :
Le quatrième jours.

Pénétrer en France ne fut pas chose aisé malgré le fait que toutes les forces militaires française étaient partie à l’est repousser les attaques menées à l’unissons par le Royaume Milanais, alors à sont apogée, et le Saint Empire Germanique. Nous fumes l’objet d’une traque acharnée par la milice espagnol, qui nous pourchassa jusqu’au environs de Marseille avant d’abandonner. Une centaine de mes hommes capturés furent affreusement torturés avant de se voir trancher la tête. J’assistai à l’une de ces scènes sans malheureusement pouvoir intervenir. Sans plus de réel menace, nous reprîmes la route direction la Normandie, berceau de mon enfance.

Mais par malheur nous rencontrâmes une forte troupe Française. N’ayant plus le temps de nous cacher et ne pouvant fuir, la confrontation était inévitable. J’ordonna à mes hommes de se tenir prêt mais de ne point sortir les armes des fourreaux. Sans surprise, ils se déployèrent et un noble chevalier, sans doute le commandant, se porta à notre rencontre. Lors de notre discutions, je lui affirma que nous étions une troupe de mercenaire Normand à la recherche d’un emploi auprès des Français. Le commandant sembla me croire et contre toute attente m’engagea. Il était plutôt content de nous avoir trouver sur son chemins et en à remercié dieu durant les deux jours que nous conduisit à notre destination. Il c’était fait confier la mission de reprendre une forteresse des mains des Milanais et tout renfort était pour lui le bienvenue. C’est ainsi que nous arrivâmes au château de Berne ou un long et pénible siège nous attendais. Celui-ci dura pas moins de huit mois. De nombreux assaut eurent lieux, grâce à l’envoie de toujours plus de renfort de la part du roi. Mais la garnison résistait avec acharnement, n’hésitant pas à tenter des sorties, généralement la nuit, afin de détruire nos équipements.

Au huitièmes mois, excédé devant si peu de progrès, le Général Simon convia tous ses capitaines, dont je faisais partis. Il nous exposa la situation, le siège avait assez durée, un nouvel assaut aurait lieu demain et le château devra être prit, car un échec signifiait qu’il ne nous resterais plus qu’a plier bagage. Un message lui fut transmis hier soir et il nous annonçât qu’une armée de secours forte de plusieurs milliers d’homme arriverait d’ici quelque jours pour secourir les défenseurs. L’ armée du roi de France, elle, ne pourrais arriver à tant pour nous appuyer. Une fois congédié, nous reprîmes, sous les yeux des assiégés, les préparatifs nécessaires avant l’assaut et cette fois avec beaucoup de minutie.

Au petit matin et dans le plus pur silence, l’armée se regroupa au pied des murailles. Les tours de sièges furent avancés, tous comme les béliers et les échelles.
Une longue journée allait débuter. Au son du Cor, l’assaut débuta, immédiatement les défenseurs nous arrosèrent de flèches, lances, pierres, huiles bouillantes. Un de mes hommes reçu même un luth sur la tête ! tous ce qui pouvait mettre hors de combat un homme était envoyer. Les tours de siège ainsi que les échelles furent placés contre le mur, et un combat acharné commença sur le chemin de ronde. Lorsque le soleil pointa aux alentours de midi, nous réussîmes tant bien que mal à prendre le contrôle de la muraille. Nous étions tous usés par tant d’effort, et la journée était loin d’être fini car les milanais c’était regroupé sur la place principal.

[M2TW] Damned to Hell Chap41

Les capitaines ou du moins ce qui étaient encore vivant regroupèrent les hommes, le général, lui n’en finissait plus. Ici à motiver l’arbalétrier abattu, là à encourage le vougier qui malgré une profonde entaille au bras suivit le noble chevalier et se regroupa avec les autres. Mes hommes à moi étaient pour la plupart mort ou agonisant dans leur sang, suppliant dieu de leurs venir en aide.
Puis sur un nouveau son du Cor, le combat recommença avec l’énergie du désespoir. La mêlée devint vite confuse sur la place, chacun combattant pour sa vie. Pas besoin de connaître je ne sais quelle technique d’escrime dans ce genre de combat. La seul et unique chose à savoir c’est frapper, frapper et encore frapper. Au couché du soleil plus un seul milanais ne respirai.

[M2TW] Damned to Hell Chap46

Personne ne pensa à piller ou faire toute sorte de désordre, tous épuisés, ne pensaient qu’a se reposer. Le lendemain, nous essayâmes de remettre en état les défenses afin de recevoir comme il se devait l’armée de secours mais ils ne vinrent jamais. Je décidas donc de partir et en avisa le Général qui ne me retint pas. Il me donna l‘argent que nous avions convenu pour nos services, issu essentiellement du pillage de la forteresse. Je repris donc la route en direction de la demeure de mon Père. Là bas, j’espérais y oublier tout les évènements passé et enfin commencé une vie tranquille. Oui, enfin bon vous devez connaitre ce qui arriva là bas.

- Oui, Baron en effet. Messeigneurs, c’est tout pour aujourd’hui.

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Dim 17 Oct 2010 - 19:10

Super (et bien rédigé en plu$) cheers

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Lun 18 Oct 2010 - 5:26

je suis fan,continue!! Very Happy

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Mar 19 Oct 2010 - 5:49

Quelques erreurs mais la suite !!!

Ce récit est juste fabuleux

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Lun 1 Nov 2010 - 21:14

Bas et alors la suite elle viens ??

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Mar 2 Nov 2010 - 6:10

Luis Daoiz a écrit:: Bas et alors la suite elle viens ??

Bientôt,
Le dernier chapitre est écrit depuis longtemps mais il ne me plaisait pas mais je m'y remet cette semaine ^^

Sujet: Re: [M2TW] Damned to Hell Mar 2 Nov 2010 - 7:37

Ha, je commençais à m'inquiéter ^^

» M2TW sur Mac ?
» RTW ou M2TW
» Aprés M2TW !