Roma Victor

Je vous invites si vous aimez les bataille héroique de regarder ma bibliothèque steam.

J'ai fait une embusquade avec juste 100 mort chez moi et plus de 2000 en face (scythe vs germains) ^^

http://steamcommunity.com/profiles/76561197990711370/screenshot/595815243024195616?tab=public

Tout à coup nous entendîmes un bruit à Rome, c'était le Vésuve qui c'était réveillé. Tous les habitants de Neapolis, de Pompéi, de Herculaneum, de Misenum, d'Oplontis, de Stabiae, de Surrentum, de Nuceria et de Salemum se réfugièrent dans les villes éloignée à plus de 20km du Vésuve, comme à Capoue ( environ 40km) dès qu'ils entendirent l'explosion. La lave mis presque une journée à sortir ce qui laissa le temps aux habitants de se réfugier. Heureusement aucune ville ne fut touché ou très peu.



Pendant ce temps-là en Gaule.
Le Sénat avait ordonné le recrutement d'assassins, d'espions et de diplomates dans toutes les provinces (au moins un de chaque par province) de l'empire. Ce qui voulait dire que la politique d'assassinat des agents (= assassins, diplomates, espions, généraux, capitaine) ennemis commençait.



Après avoir pris la ville de Thèbes la population était mécontente et quand le général Lucius le Cruel passait dans les rues, celles-ci étaient calmes mais quand un soldat de la légion passait on lui jetait de la nourriture ... alors le général Lucius fis exterminé la population.




Après un an de siège l'assaut fut lancé sur Thermos.
- Lucius Decius Maximus : Devant nous, la garnison spartiate de Thermos. Soyez brave durant cette bataille, ils ne sont que peu nombreux et aucun allié n'est venu mourir à leur place. Après la prise de cette ville, nous marcherons sur Athène puis Sparte, la prise de ces deux villes nous apportera la gloire, alors tâchez de rester en vie si vous voulez connaître cette gloire. Après la prise de ces villes les Spartiates n'auront plus qu'Argos et Olympe, mais l'empereur refuse la prise de ces villes, il veut laisser les Spartiates pourir dans ces villes en les faisant payer de lourds dédomagements avec un cessez-le-feu. Et maintenant pas de quartier pour ces chiens !



Durant la conquête de la Grèce nous avons eu quelques difficultés c'est pour cela que Lucius Decius Maximus avait ordonné le recrutement de mercenaires.
Nous verrons si ces mercenaires grecs seront tenir la ligne face à leurs confrères. Mais le général voulais sans doute aussi faire enrager ses adversaires, en voyant que leurs confrères c'étaient engagé dans les rangs ennemis.




Cet homme seul avec son scorpion croit pouvoir rivaliser face à mes 162 archers.
Les Spartiates doivent être ruinés s'ils ne sont même pas capables de reformer une simple unité de scorpion.
Lucius Decius Maximus : Envoyez les archers face à ce misérable, qu'on en finisse avant que leurs murs tombent et qu'il touche nos légionnaires.



- Un centurion : Les trois béliers ont terminé général, comme vous le vouliez il y a une brèche de chaque côté de la porte qui est enfoncée elle aussi.
- Lucius Decius Maximus (en criant) : A la charge et pas de quartier, je ne veux aucun prisonniers ! Faîtes leur subir ce que vous avez ressentis quand ces chiens nous ont trahies, c'est à dire un coup de glaive dans le dos !

Les légionnaires chargèrent pendant que les archers les couvraient.
En peu de temps les portails à l'ouest, à l'est et au Sud furent prient.





Comme ma cavalerie était proche du capitaine qui commandait les renforts, j'ordonna la charge de ma garde et de quatre autres unités de cavalerie.



Ce capitaine fraula la mort de très près, heureusement que ma cavalerie était rapide et que nous nous trouvions proche de lui.



- Capitaine Spurius : Heureusement que tu étais là général sinon je serais déjà chez Pluton (Hadès) !
- Lucius Decius Maximus : Oui, heureusement. Cela te dirait une petite chasse au capitaine ennemi qui fuit le champs de bataille comme un pleutre en abandonnant ses propres troupes et par la même occasion les habitants du village !
- Capitaine Spurius : Mais avec plaisir général !
- Lucius Decius Maximus: Eh bien alors, à la CHARGE !
Le capitaine ennemi ne put rivaliser à la course face à des chevaux et encore moins face à quatre unités de cavalerie et deux généraux.






Après la charge des cavaliers il ne restait aucun survivants et les deux généraux en coeur crièrent : ROMA VICTOR et les soldats les immitèrent.



Cette victoire pointa du doigt les faiblesses des Spartiates et surtout prouva qu'ils étaient en pleine décadence. Il fallait maintenant donner le coups de grâce en prenant leur deux villes les plus évoluées, Athènes et Sparte, tel était les ordres de l'empereur.

belle bataille général!!!

merci

Ma politique de sabotages et d'assassinats est en continuation. Cette fois ce n'était pas sur les Arvernes que j’ordonnai une mission pour un assassin, la cible était la capitale macédonienne, Philipolis.
L'assassin et l'espion travaillèrent ensemble, l'un donna la liste des bâtiments adverse l'autre choisit sa cible et frappa fort. Les bâtiments à frapper prioritairement étaient :
- les bâtiments militaires
- les bâtiments économiques
- les bâtiments commerciaux
- les bâtiments maintenant l'ordre public.
L'assassin choisit un bâtiment militaire.




Mes assassins et espions gagnaient de l'expérience grâce à cette politique d'assassinats et de sabotages. Pendant cette période sombre de l'empire j'envoyais des diplomates aux quatre coins du monde en essayant de former des alliances mais sans succès, en échange de ce refus les factions à qui je demandais une alliance me donnait des informations géographiques



En allant assiégé Tingi, moi le capitaine Sextus et mes hommes nous sommes faient attaqués encore une fois par une armée carthaginoise organisée et expérimentés. Il n'y avait aucune possibilité de replie alors j’ordonnai aux troupes mercenaires et auxiliaires de se mettre en formation sur une colline.
- Capitaine Sextus : Nous sommes en infériorité numérique mais aussi en infériorité de qualité. Il faudra protéger nos flans un maximum, car ils ont de nombreux cavaliers et nous n'avons que peu de piquiers. Battez-vous vaillamment et tâchez d'en envoyez le plus possible à Pluton.

(PS : désolé mais le screen ne voulait pas s'afficher, donc j'ai fait comme j'ai pu)

Je plaçai mes piquiers en première ligne et mes nombreux javeliniers sur les flancs et en deuxième ligne de façon à ce que les unités ennemis voulant nous charger de face reçoivent des volées de pilums avant d'atteindre les auxiliaires. Mon armée étant placée sur une colline, cela augmenta la portée de tir de mes javeliniers.




Ces cavaliers numides ennemis et gades sacrés nous ont approché de trop près et maintenant ils se font décimer par mes javeliniers auxiliaires. Sur la colline certaines unités ennemies se font harceler aussi.
Cette bataille devrait tourner en leur faveur, car cette fois ce ne sont pas que des javeliniers montés qu’à l'ennemi, il à aussi des cavaliers libyens, ils ont une charge très puissante.

C'en est terminé de mon armée d'auxiliaires et de mercenaires, les cavaliers libyens nous ont chargé de flanc, mais heureusement qu'ils ont chargés par le flanc gauche sinon cela aurais causé beaucoup plus de dégâts, car le flan gauche est en pente ce qui a ralenti leur charge.
Maintenant que nous sommes pris de flan par au moins trois unités de cavalerie libyenne les troupes vont paniquer car mes troupes ne sont pas cuirassées, ce sont des troupes légères.
Maintenant que l'ennemi nous à pris de trois côtés : le flan droit et gauche et le front, nous sommes écrasés par une masse rigide et compact de soldats carthaginois expérimentés, notre seul échappatoire est la fuite par les arrières mais les cavaliers nous rattraperaient, alors autant se battre jusqu'à la mort.
Moi le capitaine Spurius connaît aujourd'hui le déshonneur total, alors pour sauver ma vie je fuit, et après avoir réchappés aux troupes ennemis qui me poursuivent je me suiciderais pour ne pas entendre les blasphèmes et connaître un plus grand déshonneur à Rome.
Ceux qui restèrent dans la mêlées restèrent pour me couvrir et occuper les troupes ennemis qui les écrasaient, les broyaient et continuaient de resserrer l’étau qui fit tomber mes hommes un par un.




Pendant ma fuite je vis une unité de javeliniers montés numides se décrocher du combat pour poursuivre les fuyards. Je la vis se diriger vers moi, mes gardes pour me faire gagner du temps les chargèrent mais ils ne tenurent pas assez longtemps pour que l'écart se creuse. Ma cuirasse me ralentissais, alors je coupais les agrafes avec mon glaive et la jeta par terre. Ensuite je courus le plus vite possible, mais en voyant les cavaliers se rapprocher je m'arrêta en tua trois de mon propre glaive, puis je pris un des chevaux qui c'était relevé et continua ma fuite.
Je ne mannevrais pas aussi bien le cheval que mon glaive et grâce à ça les numides me rattrapèrent , un d'eux planta sa lance dans ma monture qui chuta. Je me releva et les pria de m'épargner, ils refusèrent alors je leur demandèrent une mort digne d'un vrai Romain, un coup de glaive dans la nuque. Mais les autres numides en profitèrent pour me transpercer de partout.




Malgré la bravoure de mes hommes nous avons perdu cette bataille comme je le croyais, mais ils ont réussi à faire de nombreux morts, plus que ce que je l'imaginais. Mais la mort du général ennemi nous aurait aidés, dommage que mes troupes n'aient pas réussi à le tuer.

PS : désolé du manque d'images pour la bataille, mais il y a cinq screens qui n'ont pas voulu s'afficher bien que j'ai essayé bon nombre de fois.

* 2 screens ne voulant pas s'afficher

La coalition continuait à nous mettre des bâtons dans les roues pendant que nous aussi nous lui en mettions. Mais eux avaient un avantage, le nombre, mais le nombre ne fait pas la différence comme aux Thermopyles.
Un sabotage d'un assassin macédonien affaiblissa l'entrée du temple d'Hermès qui faillit s'écrouler, c'est pour cela que j'ordonna sa réparation.
Un espion Gallaece fut repéré aux Baléares, mais s'enfuit de justesse avant qu'un garde ne le capture.



Il y a cinq jours le Vésuve venait de s'éteindre. Tous les bâtiments endommagés furent réparés et la vie reprit son cour habituelle. Les habitants se soucièrent de plus en plus de la guerre qui faisait rage, mais ils ne se rendaient pas comptent que si l'empire chutait l'Italie serait vulnérable.



J'ordonna l'assassinat d'un diplomate Arverne qui eu l'audace de nous demander de leur rendre la Gaule transalpine et la Narbonnaise avec en plus une rançon, mais je demanda à l'assassin de me le ramener vivant pour que je le questionne.
Après l'avoir questionné sur les faiblesses, l'économie et les armées de sa patrie je demanda que l'on lui coupe la tête, que l'on plante sa tête sur un pieux qui se trouvait à la frontière près de Gergovie. Ceci dissuaderait sans doute les diplomates ennemis de faire la même erreur.
* 1 screen ne voulant pas s’afficher
Un de nos meilleures espions fut tué lors d'une de ses missions en Bretagne (actuelle).
Moi Publius surnommé le tueur vais vous raconter cette histoire :
Alors que Decimus Manlius Torquatus était parti dans la ville Arverne pour l'espionner, je vis des gardes lui courrirent après, je leur sautèrent dessus et les égorgèrent. J'ordonna à Decimus Manlius Torquatus le repli et que nous ferions notre mission plus-tard après que les Arvernes aient baissés leur gardes. Mais j’entendis quelqu'un arriver, je le reconnus c'était le meilleur commandant du roi ennemi. Il sauta sur Decimus et le tua, il n'eut pas le temps de reprendre ses esprits que je l'éventra et m'enfuit. Trois jours plus-tard j'envoya une missive à Rome pour leur demander un nouvel espion pour m'aider. Six mois plus- tard je le vis à mes côté et mena à bien la mission que je devais accomplir avec Decimus.

Un assassin Boï fut assassiné par un de mes assassins.
Cet agent ennemi était aux portes de Médiolanum.
Notre assassin me raconta le combat acharné qu'il fit pour tuer cet assassin expérimenté:
Depuis plusieurs mois nous avions repéré des espions et diplomates ennemis, dans la province de Gaule Cisalpine, ils furent tous tué sauf cet assassin. Notre empereur envoya au moins quatre assassins avant moi, ils furent tous tué pendant leur sommeil où durant leur combat face à la cible ennemi.
Je voulais agir durant son sommeil. Alors qu'il dormait je mis mes glaives sur sa gorge et lui trancha la gorge, mais par malchance ce n'était pas lui. Il arriva par derrière, je me retourna et il me dit : " C'était mon espion, le cinquième que vous tuez, pourritures de romains." Je repris mes esprits et lui sauta dessus en le frappant avec un glaive au bras et avec l'autre au niveau du torse, mais il esquiva. Il me lança un de ses deux poignards, que je ne pus esquiver, il se planta dans ma jambe. Le Boï me sauta dessus je le laissa faire et lui planta mes deux glaives au niveau des aisselles, il gémit de douleur, il tomba avec moi à terre, il se releva le premier et me passa à tabacs. En croyant que je ne me relèverais pas il me tourna le dos, je me releva avec difficulté, et lui lança mes deux glaives au niveau des omoplates. Il s'écrasa à terre, je repris mes glaives et lui trancha la gorge et amena sa tête à l'empereur.

Près de la capitale macédonienne, un de nos assassins avec son espion ont rencontré deux assassins Gètes ( Daces ), cela voulait peut-être dire que les Gètes haïssaient les Macédoniens, peut-être que je pourrais en faire des alliés. J'envoya un diplomate en territoire Gète, il leur demanda une alliance, mais ils refusèrent alors ils nous offrirent des informations géographiques.
* 1 screen ne voulant pas s'afficher
Une nuit, les archers sur les murs d'Aginnon sonnèrent l'alerte et crièrent : Les Arvernes nous assièges.
Nous entendîmes la marche de l'armée Arverne, ils paraissaient des centaines de milliers dans leur armées tellement ils faisaient du bruit, ils croyaient que nous allions y croire mais non, il n'y eu que la population à y croire.
Comme ce n'était que le début du siège il n'avait pas encerclé la ville entièrement, ils n'étaient pas arrivés devant la porte Nord. Alors j'envoya un messager à Massalia qui en ce moment recrutait des auxiliaires.
Le message disait : Ave,
Nous sommes assiégés à Aginnon par les Arvernes, dès qu'elle sera prête envoyez-nous en renfort l'armée d'auxiliaires. Vale.

* 1 screen ne voulant pas s’afficher

Près de la capitale macédonienne, il y avait un assassin Boï qui fut assassiné, ce n'était qu'un débutant.
Un capitaine Arverne qui assiégeait Gergovie, fut assassiné mais son armée continua le siège. La priorité pour l'armée d'auxiliaires était de délivrer Aginnon et ensuite de délivrer Gergovie qui elle avait une garnison plus élevée qui avait pris la ville, elle est toujours dans Gergovie car les centurions étaient gravement blessés, et nous ne pouvions continuer notre campagne sans centurions.




L'armée d'auxiliaires fin prête, alla délivrer Aginnon à marche forcée.
Nous avions deux armées de renforts à notre disposition :
- La garnison de la ville commandée par Lucius Iulius Caesar
- Les survivants du siège de Lemonum (mercenaires et légionnaires avant Marius) mais ceci arriveront trop-tard pour nous aider.
* 1 screen ne voulant pas s’afficher
Ces cavaliers germains sont réputés pour effrayés ces pleutres de Gaulois, c'est pour cela que Massalia ordonna leur recrutement et ils étaient les meilleurs cavaliers que nous pouvions recruter En Gaule Cisalpine, Narbonnaise et Transalpine. Il y en avait quatre allae comme celle-ci qui comptait dans nos rangs exclusivement faits d'auxiliaires.





La garnison de la ville était fichue si nous ne venions pas l'aider rapidement car ils se faisaient charger par les deux-tiers de l'armée ennemi. Pour accélérer le mouvement nos auxiliaires lancèrent leurs pilums et chargèrent les trois unités ennemies qui nous chargeaient.
* 1 screen ne voulant pas s’afficher
Nos quatre allae de cavaliers auxiliaires germains chargèrent sur les champions arvernes qui volèrent de toutes parts, ils tombèrent un par un et commençaient à paniquer. Les champions arvernes tentaient de repousser ma cavalerie mais à chaque fois qu'ils essayaient leur nombre diminuait de plus en plus rapidement car les Germains les repoussaient à chaque fois et en faisaient tomber plus d'un qu'ils transpercèrent de leur lance par la suite. Les pertes des champions arvernes ne se comptaient plus en hommes mais en lignes.


Les Arvernes n'avaient plus que deux unités combattants encore, les autres étaient en fuite et prient en chassent par mes cavaliers. Mes archers c'étaient positionnés dans le dos de la meilleure unité arvernes qui combattaient encore et lui tiraient dans le dos.
* 1 screen ne voulant pas s'afficher
Trois unités arvernes ont encerclés des troupes de la garnison d’Aginnon.
J'ai placé mes auxiliaires de façon à encercler l'ennemi et ils auront bientôt l'ordre de charger.
Pendant ce temps-là mes cavaliers poursuivent le chef ennemi.



Le capitaine arverne est mort durant sa fuite car il ne pouvait rivaliser face à mes cavaliers.
Mes cavaliers germains sont à la hauteur de ce que l'on pouvait imaginer, ils effraient tous les Arvernes sur leur passage. Rien ne leur résiste.



Notre victoire est totale.
Un jour plus-tard l'armée retrouva les quatre fuyards arvernes, ils les exécutèrent, et les attachèrent à des pieux à la frontière, cela faisait maintenant cinq cadavres arvernes à la frontière.




Ce général nommé Lucius Iulius Caesar qui gouverna la ville d'Aginnon et commanda cette garnison face aux Arvernes avec le soutien de l'armée d'auxiliaire, fut remarqué lors de cette bataille pour sa vaillance et fut choisi comme général pour commander le reste de la conquête de la Gaule.
Pour commencer il prit le contrôle de l'armée auxiliaire et après la reformation de la légion qui avait conquis Gergovie il prendra le commandement de celle-ci.

Dans son palais à Rome, l'empereur décida de former une armée Impériale. Elle serait constituée de quatre allae de cavalerie prétorienne, de cinq cohortes prétorienne, de huit cohortes de légionnaires impériaux (avec lorica segmentata), deux unités d'archers et commandée par l'empereur lui-même ou de son héritier. Cette armée serait chargée de conquérir l'Illyrie et ensuite de protéger l'Italie et d'aider les légions en difficultés. Il proclama que cette armée serait recrutée dans cinq ans au minimum, le temps d'améliorer nos finances.

Pendant le siège d'Athènes notre légion fut attaquée par une armée spartiate soutenue par la garnison d'Athènes. Il n'était pas question d'abandonner ce siège, ce n'était pas seulement l'honneur de la légion qui était mis en jeu, c'était l'honneur de Rome qui était mis en jeu.



Nous étions chargé de front et sur le flanc gauche.
Depuis aujourd'hui il n'avait jamais eu autant de Spartiates d'élites dans une même et seul armée.
Nous devions rester défensif et les enveloppés petit à petit, mais ce ne serait pas facile à cause de leurs cinq phalanges et quatre unités de Spartiates d'élites.



Les deux généraux spartiates ont eu la bonne idée de combiner phalange et élite spartiate pour éviter que la phalange ne pointe sa faiblesse c'est à dire le corps à corps. A cause de cela cette cohorte va perdre de nombreux hommes. Mais heureusement pour eux en ce moment deux unités de cavalerie sont en train de contourner l'ennemi, de massacrer leur tireur et de ces cavaliers vont bientôt charger les arrières ennemis.



La cinquième phalange fut occupée par mon deuxième groupe de cavaliers, pour éviter que nos légionnaires n'aient pas à affronter cette cinquième phalange. Quelques minutes plus-tard cette phalange prit la fuite et mes cavaliers les poursuivirent. Après cette poursuite mon deuxième groupe de cavaliers chargea les dernières unités de tirs des Spartiates.




Le capitaine ennemi se battit courageusement jusqu'à la mort. Au début mon ordre était de le capturer vivant, puis quand je le vis tuer deux de mes légionnaires je le transperçai de ma lance et les légionnaires firent de même.



Toutes leurs unités sont encerclés, il n'y a plus qu'à attendre qu'elles fuient toutes et après nous feront une chasse à l'homme.
Ils sont idiots, leur phalange ne sont plus en formations phalange, ce qui pointera la faiblesse des phalanges qui est le corps à corps.



J'ordonna aux archers d'avancer et de tirer sur tous les fuyards qui n'était pas poursuivis. C'est ce qu'ils firent. La plupart des unités étant encerclées se battaient à mort mais je décrocha certaines cohortes pour que les ennemis fuient.



Ce général fut tué par les flèches des archers, un mercenaires Athéniens brandissait sa tête et laissa son corps criblé d'une dizaine de flèches à terre. Les mercenaires Athéniens détestaient les Spartiates alors en voyant la tête des deux généraux brandies par le même mercenaire, ils poussèrent un cri de joie.



Après cet affrontement qui dura toutes l'après-midi, la victoire fut déclarée.
Cette victoire nous coûta de nombreux morts, cet affront sera lavé et les corps des braves romains morts seront enterrés tandis que les corps des Spartiates seront brûlés pour éviter la peste.




Après la bataille les Spartiates ne retournèrent pas dans la ville sachant qu'elle était perdue d'avance. Alors la ville était maintenant sans défense. Mais les habitants de cette ville qui c'était rendu à nous pour nous donner la ville plutôt que de se défendre paraissaient hostiles, alors j'ordonna l'exécution de la population et le pillage de la ville qui renflouerait en plus les caisses de l'empire.
Le sac d’Athènes nous rapporta près de 8000 deniers.

Un espion qui était en mission à Lemonum fut affecté par la peste comme la ville, alors je lui envoyai une missive qui lui disait de se rendre dans une grande ville arverne et de leur transmettre la peste s'il ne l'avait pas déjà, cette espion m'était fidèle et il était surtout courageux alors il accepta la mission et se rendit dans une ville au nord de Gergovie.




Chaque jours les coalisés gagnaient en puissance et en hommes il fallait les anéantir ou au moins les ralentir, il ne fallait surtout pas les laisser faire, qui sait demain ,ils n'auront peut-être plus 50 000 mais 100 000 hommes et dans une semaine ils seront peut-être 1 million. Mais heureusement qu'ils ne font pas d'attaquent coordonnées.
Pour le moment nous devions affaiblir nos ennemis qui font partis de leur fichu coalition, c'est pour cela que les assassins et les espions ont été engagés.



Cette fois ce ne fut pas un diplomate arverne qui nous demanda de leur rendre leur terre avec en plus une rançon, mais un diplomate Boï. Il se passa la même chose que pour le diplomate arverne je demanda à l'assassin de me le ramener vivant pour que je le questionne sur leurs armées, leur économie ..., puis je demanda à l'assassin de lui couper la tête et de la planter sur une pique à la frontière Boï.



Deux membres de famille et un amiral sont morts.
Cependant, la célèbre famille Merula qui est connu pour leur grande capacité de commandement, de gouvernement et leur influence qui est grande, cette grande famille a eu un fils qui est maintenant adulte et qui est presque aussi expérimenté dans les mêmes domaines que son père. Ce petit homme deviendra grand, un jour il deviendra sans doute général d'une armée importante dans l'empire.



Une dizaine d'années viennent de passer depuis le siège de Gergovie, et maintenant les Cimbres ont chassés les Belges hors du continent et empiètent maintenant sur les terres des Gètes. Les Belges n'ont plus que la Bretagne depuis l'invasion des Cimbres en Belgique. Le Royaume de Pergame à chasser les Cités-Indépendantes Grecques et le royaume Pontique d'Anatolie et les ils ont aussi chassé les Egyptiens et les Boïs des côtes de l'Asie Mineure. Les Séleucides se font envahirent par les Parthes à l'Est et par les Egyptiens à l'Ouest. Les Carthaginois se battent pour garder leur territoires comme Tingi face à nous les Romains et Cordoue face aux Gallaeces, alors que leurs territoires à l'Est sont calmes. Les Grecs n'ont plus que le Bosphore, l'Illyrie, la Crète, la Thrace et la Cyrénaïque.



Notre assassin en Macédoine sabota cette fois-ci le temple d'Arès qui maintenait l'ordre public.




Une armée rebelle se trouvait près de Cirta en Afrique du Nord, j'envoya un assassin tuer leur chef, il échoua une fois puis la deuxième fois il réussit. Après cet assassinat il devint maître assassin.

Six mois plus-tard les Boï mirent le siège sur Patavium mais une armée toutes fraiche arriva juste à temps.



Après un siège de deux ans établit au début par quelques mercenaires, les Spartiates déposèrent les armes et leur chef nous dit :
- Capitaine Spartiate : Nous venons déposer les armes devant vous Romains, dit-il à genoux. Exécute-moi, mais laisse la population en vie, je te demande à toi le célèbre Lucius le Cruel, conquérant de la Macédoine et de la Grèce de laisser les habitants de Corinthe en vie !
Sous mon ordre un légionnaire lui trancha la gorge et un mercenaire prit sa tête et la brandissait en criant de joie. Je n'en faisait que peut des paroles de ce misérables, j'ordonna que l'on exécute la population. Car au moment où le légionnaire trancha la gorge du général ennemi, un citoyen me lança un fruit.
Il n'y eu aucune pitié, on pouvait entendre des femmes et des enfants crier, mais je ne pouvais plus rien faire et surtout je ne voulais pas, je ne voulais pas arrêter l'extermination et le pillage de la ville.



Ce jeune homme plaisait à une des filles de notre grande famille. Il fut honnoré de pouvoir rejoindre notre famille. Mais avant qu'ils ne se marient tous deux, ils devaient d'abord me demander mon accord, bien sûr j'accepta car une de ses qualités était qu'il était connu pour être intelligent et il a été reconnu comme étant un vrai Romain. Ce sont d'hommes comme cela que mon fils héritier aura besoin.



La peste affecta deux de nos villes, Crotona (Sud de l'Italie) et Bonnonia (Gaule Cisalpine).
Cette peste fit plus de 9000 morts et 37 soldats moururent. Tandis que notre espion en Gaule était lui aussi toujours affecté.




Cette peste m'a fait réagir, j'ai ordonné une politique de grands travaux, toutes les constructions prioritaires étaient pour améliorer la santé comme les bains publics, les aqueducs ... Toutes les villes devaient au moins disposer de bains publics.




Les assassins et espions connaissaient maintenant leur mission c'est pourquoi je leur donnèrent un périmètre d'action défini et les laissaient choisir leur cible selon ce qui était ordonner au début, l'agent qui me désobéirait serait exécuté.
L'assassin de Gaule pénétra dans le camp de l'armée arverne qui établissait le siège de Gergovie et assassinat le capitaine arvrene et l'assassin de Gaule Cisalpine fit la même chose pour le capitaine Boï qui établissait le siège de Patavium.

Je rêve où il y plus personne sur le forum , depuis début juillet il y presque plus de nouveaux messages sur le forum, je me demande si c'est pas à cause de la migration vers le nouveau forum .

Super récit, avec une excellente syntaxe. Cela fait toujours plaisir à regarder.

Continue avec une stratégie et des pages comme celles là et on aura un bel Empire Romain dans pas longtemps

Mais ça fait longtemps que j'ai pas rejouer à RS2 car les screens que je poste il ne date pas d'hier ça fait des mois que je les ais et que j'ai pas rejoué à ma campagne romaine, mais bientôt, il ne reste plus que environ 35 screens et je pourrrais vous mettre des screens touts beaux tous neuf et sutout tous chauds.

L'assassin surnommé Publius le tueur de Gaule Cisalpine était maintenant devenu un expert en assassinats.



Un assassin grec rodait près de Corinthe alors Lucius le Cruel envoya sous mon ordre un assassin, mais ce ne fut pas chose facile. Lucius le Cruel attendait une heure sans réponse de l'assassin, puis une heure plus tard il vit l'assassin grec Telines de Cephallenia, du moins sa tête entre les mains notre assassin.
Notre agent était ensanglanté au niveau des jambes, du torse et de la tête, il était couvert de sang qui puait le grec, alors Lucius lui ordonna en riant : Va te laver tu pus le sang grec !



La légion de Marcus Valerius Potitus qui était chargée de protéger la Gaule Cisalpine allait accomplir sa première mission délivrer Patavium du siège de ces maudits Boïs.



La garnison de Patavium arriva sur le champs de bataille, le gouverneur Decimus Valerius Tappo ordonna la charge de la garnison sur le flanc Boï. Mais ils leur restèrent du chemin avant d'être au contact avec les Boïs.



Mes archers tirèrent sur les javeliniers celtiques et les mirent en déroutes en quelques salves, mais à chaque fois cette unités revenait ce mettre en position et chaque fois mes archers les remettaient en déroutes, au bout d'un certain temps il ne restait plus aucun javeliniers ennemis, ils étaient tous morts.
Quand je vis les renforts du gouverneur proche du flanc gauche ennemi je mis mes quatre unités d'auxiliaires et quatre allae de cavaliers auxiliaires germains sur le flanc droit ennemi et mes légionnaires face au front ennemi.

* le screen ne veut pas s'afficher encore une fois

En voyant cet étau les Boï envoyèrent leurs deux unités d'épéistes lourds qui chargèrent mes auxiliaires. A ce moment précis mes cavaliers contournèrent l'armée Boï et attendait dans leur dos. Mes légionnaires chargèrent le front Boï pendant que la garnison de la ville chargeait le flanc gauche ennemi. Mes cavaliers chargèrent au moment où toutes les unités adverses entrèrent en contact avec mes légionnaires et auxiliaires.



Grâce à cette tactique nous avons réussi à obtenir une victoire franche.




Enfin un retournement diplomatique, deux nations, les Scythes et les Cimbres nous proposèrent des alliances que l'empereur accepta avec grande satisfaction. Cette alliance avec les Cimbres pourraient nous avantager contre les Arvernes.




Comme les Scythes étaient de fidèles alliés des Boïs, l'alliance qu'ils nous proposèrent provoqua un cessez-le-feu entre les Boïs et nous. Mais si les Boïs nous déclaraient la guerre encore une fois, je me demande avec qui les Scythes resteraient alliés.
Alors que notre alliance avec les Cimbres pourrait nous aider face aux Arvernes s'ils devenaient ennemis avec ceux-ci.
L'empereur était amplement satisfait de notre situation diplomatique, qui s'améliorait de jour en jour.

L'empereur se réjouissait de ces alliances, il était rassuré de savoir les Cimbres à ses côtés, ils étaient de véritables combattants. Il y a deux semaines de ça le roi Cimbres envoya sa garde combattre une armée Belge qui venait de débarquer sur ses terres. La garde royale du roi Cimbre était donnée perdante à 1 contre 60, mais ce fut un véritable massacre, les gardes cimbres était victorieux, ce n'était pas une victoire coûteuse loin de là, ce fut une victoire héroïque mais surtout écrasante contre la fine fleur Belge.
(ton empire Belgae a été détruit Marcanius ils ne leur restent plus que le sud de la Grande-Bretagne )



Avant sa mort Lucius le Cruel demanda de faire venir un espion et un assassin à ses côtés, il envoya l'assassin près de Sparte, la capitale Lacédémonienne. Une armée Spartiate lui bloqua le passage alors il décida d'assassiner leur capitaine. Les Lacédémonien ne le laissèrent toujours pas passer, ils voulaient le capturer, donc ils firent patrouiller tous leurs cavaliers. Alors il appela à l'aide Lucius le Cruel mais comme celui-ci était mort, l'armée attendait d'abord que son fils prenne le commandement de la légion, que l'empereur lui confia, cette légion était celle de son père, maintenant elle lui appartenait.



Moi, l'empereur de cet empire, je déteste les généraux incompétents, c'est pour cela que je demanda à tous les gouverneurs de l'empire de faire construire dans toutes les villes de l'empire des académies, des écoles, ...



L'assassin recruté à Carthage se rendit à Tingi et sabota la place des exécutions. Je demanda à cette assassin de nous envoyer une missive sur sa mission et quand je la reçus j'en commença sa lecture à voix haute, pendant le conseil des généraux :
- Missive de l'assassin : Pour entrer dans la ville je m'étais caché dans un chariot qui entra dans la ville sans être vérifié à ma grande satisfaction. Le soleil couché je sortis de ma cachette et me rendit sur la place des exécutions où il y avait un prisonnier attaché pour que l'on l'exécute demain. Comme tu me l'avais demandé je laissa une trace de mon passage, je coupa la tête du misérable et la planta sur un pieux. Quand les gardes voudront enlever le pieux la base de la place qui est en pierre s'enflammera. Car un seul geste pourrait faire s'enflammer la place grâce à mon mécanisme que je tiens secret et que j'ai appris dans une école d'assassin en Orient et que j'ai affiné durant mes études d'assassinat à Carthage.



Durant sa mission d'espionnage à Lepcis Magna, Spurius Petronius Maximus fut assassiné. Les Carthaginois savent maintenant que le sabotage à Tingi était de nous.



Le nouveau capitaine arverne qui commandait l'armée qui assiégeait Gergovie vient d'être assassiné. Ces capitaines ne tiennent pas longtemps.



Les Gallaeces avaient établies un blocus à Massalia, il était temps de la délivrer. Tous nos ports avaient au moins deux navires de guerres alors Massalia pouvait se défendre face à un navire et un autre salement amoché.



L'amiral Servius plaça sa flotte de façon à pouvoir avec la moitié de la flotte abordé l'ennemi et avec l'autre moitié éperonner l'ennemi. Sa tactique marcha. Après que la deuxième moitié de la flotte est éperonné le navire ennemi, le navire amiral se dirigea sur les arrières de l'autre navire ennemi et l'aborda du côté opposé à notre autre navire.



Une armée rebelle en Maurétanie, donnait envie aux villes proches de se rebeller. C'est pour cela que la légion recruté à Carthage fut envoyée pour l'éliminée.

Le général rebelle était plus qu'incompétent, il c'était positionné dans un creux où la portée des archers et la charge des cavaliers serait doublée, si nous arrivions à nous placer sur les hauteurs, ce que nous fîmes, nous aurions de grands avantages.




Le général ennemi était plus, mais bien plus qu'incompétent et idiot à la fois, il envoya ses unités chargé mes légionnaires. Alors mes légionnaires tirèrent leurs pilums qui s'abattirent sur les rebelles.
Cette averse de pilums fit de nombreux morts. Leur général les envoya unité par unité ce qui était totalement suicidaire. S'il les avait envoyé tous ensemble il aurait donc dispersé mes tirs, et ils auraient réussis à approcher mes légionnaires de plus près, car pour l'instant ils n'ont pas dépassé la limite des 10 mètres entre les légionnaires et eux.



En à peine 2min cette phalange d'élite à été décimée par mes 162 archers alors qu'ils n'ont même pas commencé à grimper une seul pente. Ils sont encore à plus de 40m de mes légionnaires.



Alors que mes javeliniers montés auxiliaires c'étaient divisés en deux groupes de deux allae pour faire pleuvoir leurs javelots sur les flancs ennemis, les cavaliers numides ont repéré le mouvement de cavalerie et ont poursuivi mes cavaliers auxiliaires.
En ce moment les Numides ne poursuivent qu'une allae alors où est la deuxième ???



Pourquoi les Numides fuient-ils ???
Depuis le début qu'ils poursuivent l'allae il y avait la deuxième derrière eux, ils se faisaient harceler de deux côtés. Maintenant ils fuient mais ils sont encerclés.




Le général ennemi envoie sa dernière unité de corps à corps. Alors mes légionnaires tirent leurs dernières salves et les archers prennent le
relais.




Les dernières troupes ennemies montèrent les pentes en s'agrippant aux corps de leurs frères morts. Les légionnaires rirent de ceux qui tombèrent en essayant de grimper ou en s'agrippant aux morts.
Les javeliniers libyens sont prêts à en découdre alors j'ordonna aux archers de tirer leur dernière salve et ensuite je les chargerait avec ma garde et les quatre allae de javeliniers montés auxiliaires.

* le screen de la poursuite des javeliniers ne veut pas s'afficher



Ces pleutres furent mis en fuitent par une simple salve de flèches d'archers et en voyant un nuage de poussière se diriger vers eux, ce nuage de poussière était provoqué par le galop des cavaliers.
En sortant de ce nuage de poussière, car j'étais derrière je vis le capitaine ennemi et je fis redoubler le galop à ma garde, et tua ce pleutre de capitaine rebelle.



C'est une victoire écrasante, nos seuls morts sont ceux tués par les Numides durant la poursuite.

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La prochaine bataille verra la chute de la ville de Sparte et oui Marcanius encore un empire qui s'écroule dans ma campagne .

Sparte vaincras!!!!!!

j'adore ta campagne continue!!!!

merci
Mais moi qui voulait garder un max de faction en vie pour la fin je vais devoir détruire les Spartiates car ils m'attaquent mais je les écraserait . Demain normalement vous aurez une belle page avec de nouveaux screens d'aujourd'hui avec deux victoires héroïques et une défaite serré où je ne n'avais que 40 légionnaires avec 2 écussons voir 3 d'argent contre plus 2000 hommes qui vont faire 870 morts ,
les Gallaece je vais les écraser ils m'ont prient une ville donc j'ai avancé le recrutement de la légion impériale et une nouvelle légion celle de l'héritier.

tu fais comme moi dans SPQR^^

Sinon beaux récit, j' aime bien les screen que tu met.

- Darkvadortb : Merci. Faire comme toi sur SPQR c'est a dire, je sais que tu as fait un récit je l'ai même lu, il est génial ,mais ta question n'est pas claire, tu veux parler de garder un max de factions en vie pour la fin (bizarre je me souviens pas de ça dans ton récit), si c'est ça oui, j'aimerais le faire, mais les factions que j'aime pas ou qui m'embête , je les détruits. Je fais ça pour les voir se développer et faire un combat de titans à la fin, mais si ils leurs restent assez de territoires pour s'enrichir.
Mais si tu parles de refaire l'empire romain, oui, je comte le faire

Je parlais de développe les chef et le future chef, avec moi un chef de faction c' est un général 9 étoile minimum et un future chef 7 étoile (mon chef est mort a tout au max là et son remplaçant à 9 étoiles 5 feuille et 7 branche

Et toi aussi tu fais tout pour avoir la réforme



tu ma donné envie de reprendre ma campagne sur SPQR.

J'ai déjà la réforme, j'ai commencé mon récit après l'avoir eu car je n'aime pas trop les troupes avant Marius mais j'aurais put commencer le récit avant car les batailles que j'ai faîtes pour prendre la Macédoine étaient épiques et compliquées de là mes quelques défaites (il y a un screen sur la faction avec victoires-défaites-régions page 1). A une bataille qui est devenu historique sur la plaine de Macédoine je n'avais que des Levy Pikmen (phalange de base) et j'ai combattu 3 armées moitiées complètes (environ 1000 chacune) remplie quasiment de phalanges d'élite mes piquiers ont brisé les phalanges adverses et la leur et se sont dispersés dans les lignes ennmies et j'ai vaincu. Ou aussi une armée de phalange ennemi positionnée sur une pante abrute complètement raide tellement raide que mes troupes montaient 5 m elles étaient fatigués, donc un gros avantage pour une armée de phalanges et bien j'ai pris par le flanc ennemi la pante la plus raide et son avantage est devenu un désavantage car c'était moi le plus maintenant (avec des Levy pikemen) et mes javeliniers ont tiré une salve et une phalange complètement massacrée.
Mais pour en revenir à ce que tu as dis mes héritier son toujours les plus compétents et jeunes et d'ailleurs je me rappelle que je dois déshériter mon héritier actuel pour le récit.

Certaines personnes pourraient penser que la mêlée entre les Spartiates et les Grecs était terminée car ils étaient séparés par les Romains, mais cette mêlée continuait à travers les mercenaires recrutés par Rome.



Depuis un moment la coalition mettait en place des blocus sur nos villes les plus riches d'Italie, mais à chaque fois nos navires les mettaient en pièces.

Pendant ce temps-là en Grèce :


Une unité spartiate voulait tenter une percée dans notre siège mais cela ne fit qu'accélérer la chute de Sparte.




Je divisa la légion qui appartenait autrefois à Lucius le Cruel mais qui de droit revenait maintenant à son fils Lucius Decius Maximus.
Je divisa donc la légion en deux, un corps former d'hoplites et de cavaliers qui intercepterait les renforts et le deuxième corps formé des restes de la légion de Lucius le Cruel c'est à dire de légionnaires et d'archers stopperait toutes tentatives de sorties de la part de la garnison de la ville.



La mort du capitaine de la troupe de renfort sonna jusqu'aux oreilles de la garnison de Sparte. Cela ne fit que baisser le moral des troupes qui était déjà au plus bas mais qui n'avais haussé qu'à l'arrivée des renforts.



La troupe de renforts fut massacrée jusqu'au dernier homme, puis les troupes allèrent bloquer les rues.



Le deuxième corps entra dans la ville mas ce fit retenir par une unité qui se battit jusqu'au bout.



L'ennemi envoya ses archers me tirer dessus, à chaque je reculais avec ma cavalerie et sortais de sa portée de tir, à chaque fois il s'avançait, ils finirent par s'aventurer dans une ruelle, c'est à ce moment-là que je sonna la charge.



Dans la rue le combat face aux Spartiates durait, ces chiens résistait, alors j'envoya une unité de mercenaires Grecs.




Déjà affaiblis par mes légionnaires les Spartiates se firent massacrés jusqu'au dernier à l'arrivée des mercenaires Grecs, ils se battirent vaillamment jusqu'à la mort.



Après cette victoire de mes légionnaires les mercenaires Grecs chargèrent le reste de la garnison, ce fut une véritable boucherie.



Mes archers portèrent le coup de grâce aux archers qui avaient survécu à ma charge, maintenant ils étaient tous morts. Après avoir criblé de flèche les derniers archers, je leur ordonna de tirer sur le reste de la garnison.



Après la charge de mes cavaliers les Spartiates étaient totalement encerclés.




Ces chiens de Spartiates même encerclés ils se battaient encore, ils n'abandonnent donc jamais.




Mais peu à peu les Spartiates tombaient de plus en plus nombreux à la fois, voyant cela le capitaine ennemi se faufila hors de la mêlée mais ne fuyait pas, il continua à combattre quelque cavaliers mais très toute la légion se jeta sur et il finit par périr.




Ce fut une belle victoire.




La population mécontente, nous lançait toutes sortes d'objets, alors la ville fut pillée et la population exterminée, cela nous rapporta plus de
18 000 deniers, ce qui montra que la ville était riche.
Un mois plus-tard les Spartiates continuaient à nous attaquer, alors l'empereur hésita à ordonner la prise de leur deux dernières villes : Agos et Olympe. Il réfléchi lomguement avant de prendre sa décision.

Des guerriers de Sparte se rendrent,jamais nous lutterons jusqu'à la mort

certains de tes screens ne viendraient pas des Vae Victis??

continue j'adore, fait attention aux fautes de frappe tu finis tes mots en a certains oui pas tous finit les en ais

sinon belle campagne, ROMA VICTORE!!!!

Mes images ne viennent pas de Vae Victis elles viennent du nouveau magazine de Science et vie : Guerre et Histoire.

Dans le Sénat de Rome :

- (Decimus le Pieux - empereur) : J'avais ordonné que l'on attaque plus les Spartiates après la prise de Sparte, mais je croyais qu'affaiblies ils abandonneraient les combats comme les Macédoniens, mais ils n'en font rien, il faut remédier à cela, je proclame que si les Spartiates nous attaquent encore une fois nous prendront leur deux dernières villes et extermineront leurs armées.

- (Lucius Decius Maximus - général de la Legio Macedonia) : Mais tu divague mon bon empereur, mon père et moi nous sommes rendu en Grèce pour la conquérir, nous la connaissons mieux que quiconque ici, comme leur caractère, je le connais, mais toi tu n'as jamais daigné mettre un seul doigt de pied en Grèce, tu ne connais ni leur caractère belliqueux, ni leurs coutumes, ni leurs façon de se battre. Ils n'abandonneront jamais les combats, les Spartiates ont plus d'honneur que les Macédoniens.

- (Antonius - Sénateur) : Lucius Decius Maximus a raison, tu te crois dans un conte de fée, où tout fini comme on l'espérait, il ne faut pas attendre. Souvient toi de l'histoire où un de tes arrière-grand-pères avait cru que les Boïs perdaient tellement de batailles qu'il croyait que les Boïs abandonneraient les combats, depuis qu'ils nous ont déclaré la guerre pas un seul jour ils sont venus nous demander un cessez-le-feu, il a fallu que les Scythes s'allient avec eux et ensuite avec nous pour qu'un cessez-le-feu soit proclamé.

- (Brutus - Sénateur) Oui mais cela éviterais trop de pertes que l'on ne soit que défensif contre les Spartiates.

- (Lucius Iulius Caesar - général de la Legio Gallica) Toi aussi mon cher Brutus tu divagues, si nous attendons derrières nos murs, ils se renforceront, et c'est à ce moment-ci que nous aurons plus de pertes.

- (Titus Cornelius Merula - gouverneur de Nemausus et représentant des Merula) : Je suis avec vous généraux, les Spartiates ne sont plus très nombreux à prendre les armes par peur des représailles, mais si un de leur généraux influent daignait lever le petit doigt pour lever des armées, les Spartiates arriveraient en masses dans les casernes de recrutement. Il faut les détruires tant qu'il en est encore temps.

Nous vîmes trois hommes arriver dans le Sénat avec une garde de licteurs, les licteurs s'arrêtèrent à la porte et un des hommes était Spurius Fabius Maximus héritier de l'empire.



- (Spurius Fabius Maximus - héritier) : Vous avez tous raisons, mais une chose m'échappe, on ne parle pas de la qualitée à combattre de nos généraux, ils sont faibles, la preuve que j'en ai, les quelques défaites que nous avons eu, prouve que nous n'avons que des généraux incompétents...

En entendant le discours de Spurius Fabius Maximus tous les généraux se levèrent près à sauter sur l'héritier mais les licteurs arrivèrent et l'entourèrent.

- (Lucius Iulius Caesar - général de la Legio Gallica) : Regarde-toi Fabius tu es pitoyable, tu nous traites d'incompétents mais toi tu n'as jamais utilisé un glaive, tu n'as jamais fais aucun combats. Alors si tu es moins incompétents que nous tous ici, sort ton glaive et vient te battre. D'ailleurs en parlant de défaites elles ne se compte que par vingtaines voir trentaines alors que nos victoires se compte à plus de 300.
En parlant de cela regardes-toi tu te caches derrières tes licteurs, si tu savais te battre comme un vrai Romain tu n'en aurais pas besoin.

- (Decimus le Pieux - empereur) : César à raison et je rajouterais même que tu n'as jamais combattu, alors si tu trouves nos généraux incompétants je te confits l'Africae Legionem celle qui a le moins combattu depuis sa création. Tu parles de nombreuses défaites mais Hannibal à été vaincu dès son entrée en Italie près d'Arretium, alors que des milliers de Romains croyaient notre fin proche. Comme je te connais mon fils, je sais que tu n'es pas assez courageux pour aller en Afrique tu es trop habitué au confort de Rome, c'est pour cela que tu n'ira pas, mais pour la peine mon nouvelle héritier sera un Merula que je n'ai pas encore choisi lequel ils sont tous aussi forts.

Déshonnoré Spurius Fabius Maximus sorti du Sénat pour se retourner dans sa grande villa.

- (Decimus le Pieux - empereur) : Sénateur revenons en à notre discussions, après tous les propos que vous m'avez énuméré j'ai choisi que d'anéantir les Spartiates, mais avant que tu ne les attaques Lucius Decius Maximus, laisse-les briser une de leurs armées sur une des notre, en les provoquants. Et surtout revient glorieux de Grèce. Ce que mon fils ne comprend pas c'est que nos généraux sont tous de grands stratèges et ils sont tous glorifiés par de nombreuses victoires que lui n'a pas.

Après cette décision l'empereur fut applaudit, et tous les gouverneurs et généraux retournèrent dans leur provinces.



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Lucius Decius Maximus rentra avec une bonne nouvelle pour sa légion, ils reprendraient bientôt les combats.

certaines images me disent quelque chose,humm

J'adore ce que tu fais. Merci du fond du coeur.

- Saint-Michel : merci - de rien
-Marcanius : Si tu parles des images que tu croyais venir de Vae Victis, elles sont de Guerre et Histoire (Trimestriel - nouveau - que je lis depuis ses début, c'est à dire les deux premiers n°, mais ça m'énerve il y a pas assez d'article sur l'antiquité ... ils ont un expert de la seconde guerre mondiale donc ils en profitent), comme je l'ai dit mais elles ont peut-être été utilisées par Vae Victis.
Mais si tu parles des autres images je les piques un peut partout (ex : dans d'autres récits, internet ou les magazines, si celles-ci m'intéressent ... j'espère que tu n'y vois pas d'inconvégnents).

bouhhhhh ouhhhhhh mes imageuhhhh!!!!!!

non pas de soucis!!

Il y a Rome et L' aigle de la 9eime sur les dernière non?