TOUR 2 Nouvelles règles :[/u]
Recrutement et levée d'osts :Bon j'ajoute ici une nouvelle règle pour le recrutement.
Chaque faction aura désormais sa limite de recrutement en fonction de sa population et il sera possible à chacun de faire une levée massive de soldats en cas de besoin. Avant toute chose, il vous faudra un prétexte pour le faire auprès de vos conseillers (moi donc) sinon, ce sera politiquement impossible de le faire. Les raisons peuvent être diverses et variées. Cela peut aller de la sauvegarde du Royaume (dernier push pour gagner la guerre), à la conquête d'un royaume beaucoup trop dangereux, etc...
Une levée d'ost va vous faire recruter énormément d'homme mais ralentira fortement votre économie. Les travailleurs seront enrolés et si la "mobilisation générale" dure trop longtemps, votre pays connaitra famines, révoltes et déclin.
C'est donc une arme redoutable de décrêter la mobilisation générale mais gardez à l'idée que c'est à double tranchant.
Carte :- Spoiler:
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Guerres :- Maroc VS Portugal, AragonLes combats aux portes de Marrakech n'ont pas cessés durant cette nouvelle année... Le siège mis en place par les forces portugaises a duré le temps qu'il fallait et a saper le moral marocain. Les Portugais, conscient de leur avantage dans cette bataille, prirent leur temps de regrouper leurs forces autour de la capitale. Rejoinds par des renforts, le général Frederico pris la décision de relancer l'attaque.
C'est à l'aube que les forces portugaises s'approchent de la brèche. Les troupes marocaines s'amassent pour la défendre, le choc est proche. Les Portugais avancent sans mal et pénêtrent dans la brèche où des milliers de marocains les attendaient.
Malheureusement pour les Portugais, les marocains semblaient bien plus nombreux, et le général Hassan lance son infanterie légère, les Mouharibouns, à l'assaut en premier. L'infanterie portugaise, mieux entrainée et mieux équipée, fait un ravage dans les rangs marocains. La discipline règne chez les troupes du général Frederico.
Les heures s'écoulent, les morts augmentent et les blessés affluent de part et d'autres. Les forces marocaines sont malmenée et le Général Hassan doit lancer le reste de son infanterie dans la mélée pour retarder les portugais. La bataille semble néanmoins pencher vers les portugais jusqu'à l'arrivée d'une troupes contenant plusieurs milliers de guerriers à l'horizon. Les hurlements de ces derniers retentissaient jusqu'a l'intérieur des remparts, ils criaient à la guerre sainte... En arabe !
Ce sont en effet, des milliers de guerriers marocains qui arrivent en renfort, se lançant corps et âmes vers les forces portugaises.
Le général Frederico pris sa décision ; la retraite ! Il fallait cependant gagner du temps. Les chevaliers et cavaliers portugais chargèrent les forces marocaines à l'extérieure de la ville. Le choc est brutal et les marocains sont désorganisés. Ils ne peuvent contenir la cavalerie lourde portugaise qui piétine l'infanterie.
Cela permet aux Portugais d'organiser une retraite en bon ordre ce qui limite la casse.
Les pertes sont lourdes des deux côtés, mais les Portugais semblent s'en être bien sortit en évitant un massacre s'ils avaient été encerclé entre les défenseurs de Marrakech et les guerriers saints venu du désert marocain...
Entre temps, les forces d'Aragon, qui avaient prêtée main forte aux Portugais durant le siège de marrakech de l'année passée, se sont dirigée vers Alger. Leur but était clair, la soumission du vassal marocain.
Cependant, l'armée d'Alger, commandée par Al Khassimi, se dressa devant l'armée Aragonaise.
L'avantage numérique pèse largement vers les forces d'Al Khassimi, ce qui fit déjà douter les chrétiens.
Les armées s'avancent l'une vers l'autre, avant d'entrer littéralement en colision.
La mélée ne durera pas longtemps, dans le sable, les armures des chevaliers aragonais les handicapaient plus qu'autre chose, et la cavalerie chrétienne fut rapidement mise en pièce par les nombreux cavaliers légers arabes.
L'infanterie ibérique se retrouva sans soutient et commença à flancher... Les Arabes en profitèrent et encerclèrent l'infanterie aragonaise. Certains chrétiens s'obstinèrent à combattre ou plutôt mourir pour leur Roi, le reste se contenta de se rendre aux forces d'Alger.
La défaite est dure et incontestable pour les chrétiens qui semblent bien moins chanceux sur ce continent que dans leur pays natal...
- Portugal VS Castille Au même moment de la débacle chrétienne en terre marocaine, une imposante armée sous bannière Castillianne franchit la frontière portugaise écrasant tout sur son passage.
L'avancée est fulgurante, l'organisation est sans faille et l'ost hétéroclite composé d'arabes de Cordoue, de chevaliers de Navarres et de troupes de Castilles semble connaitre le terrain.
Les forces conquérantes arrivèrent rapidement aux portes de Lisbonnes où l'alerte avait déjà été donnée. Le Siège est installé et l'assaut rapidement donné.
Les troupes Castillannes prennent rapidement les remparts peu protégés. Les portes s'ouvrent et la ville ne tarda pas à tomber sous la domination de la Castille.
Mais les généraux castillans ne s'arrêtèrent pas là, ils continuèrent leur avancée dans les terres portugaises et ne s'arrêtèrent que part besoin de repos et de ravitaillement, une bonne centaine de kilomètres au Sud de Lisbonnes.
Il est néanmoin étonnant de n'avoir trouvé aucune trace du Roi Portugais et de son armée. Aurait-il eu le temps de fuir ou est-il toujours terré dans la capitale ?
Cependant, si les forces castillannes n'eurent aucune résistances à Lisbonnes, la flotte de Castille en route pour Gibraltar y trouva, comme prévu, la flotte Portugaise.
Les navires portugais, ne s'attendant pas à une attaque de la part des bateaux castillans furent déboussolés durant la première vague d'attaques.
Mais le savoir faire portugais pris rapidement le dessus sur l'effet de surprise et les navires se mirent en position d'attaque.
Le combat naval fut très tactique dès lors, et les navires lourds portugais firent leur preuvent face aux navires castillans bourrés d'archers. Etant plus haut, et plus résistants, ils infligèrent de lourdes pertes à la flotte de la Castille.
Le combat est serré. Sans l'effet de surprise les navires castillants ne font pas le poids face aux navires lourds portugais. La Castille se replie avant de voir sa flotte totalement coulée.
Gibraltar reste sous domination portugaise.
- Pologne-Lituanie VS Maison d'Autriche, Ordre TeutoniqueEn Pologne la guerre continue. La Lituanie, restée en retrait durant l'offensive autrichienne lança son armée à la rencontre de l'envahisseur. L'Autriche avait cependant reçu bon nombre de renfort, et s'était bien retranché sur ses positions. Les forces lituanienne appuyée par le reste de l'armée polonaise vaincue n'hésita pas et chargea l'armée polonaise.
Le choc est rude, mais les Autrichiens, commandés par le général Friedrich Von Baden restaient bien organisés et disciplinés.
Les Lituaniens en infériorité numérique ne tardèrent pas à faiblir. Le Général Lituanien se lança corps et âmes avec sa cavalerie sur le flanc Autrichien, mais une nouvelle fois, les terribles piquiers lourds se positionnent à une vitesse fulgurante. Ni le général lituanien, ni ses hommes n'ont pu en réchapper, ils étaient encerclés par les piquiers et la cavalerie lourde autrichiennes.
C'est une débacle à laquelle nous pouvons assister, où chacun veut sauver sa peau. Les Autrichiens conscient de la victoire, marchèrent directement sur Varsovie. Les quelques résistants polonais à la Capitale n'ont rien pu faire face à l'ost autrichien. Varsovie est tombée.
La victoire est totale pour l'Autriche et la Lituanie demande des pourparlers.
Plus au nord, les Teutons sont toujours devant Torùn. C'est un bastion réputé imprenable. Mais malgrés cette réputation, les fanatiques chevaliers teutoniques tirent la piétailles vers la bataille. C'est en plein milieu de l'hivers, après de longs mois de siège, quand l'eau est aussi dure que le roc que les teutons lancent l'attaque. Toutes les forces sont engagées. Günther Von Liebersen est fanatisé et veut la victoire. Les assauts s'enchainent, les cadavres s'empilent des deux côtés. Le moral des défenseurs est affecté à chaque assaut. Le froid pétrifie les doigts et les pieds, le combat devient bien trop dur pour des hommes sans pays. Les défenseurs flanchent. L'obstination des teutons finit par payer et Torùn tombe.
La forteresse de Torùn est sous la domination des troupes de l'Hochmeister.
- Angleterre VS FranceLa France est aussi sur le pied de guerre. La sublime armée française traversa la frontière aquitaine de grand matin, les armes à la main.
Le Duc d'Aquitaine n'était pas prêt pour les recevoir. Les ordres étaient contradictoires, son armée était désorganisée et on ne signalait aucuns rapports des éclaireurs aquitains. Tout ce qu'il savait, c'est que la France marchait sur lui.
En effet, deux armées entrèrent de part et d'autre en Aquitaine et avançaient tel un rouleau compresseur. Une partie de l'armée d'Aquitaine s'est fait prendre en embuscade durant leur traversée maritime vers l'Angleterre, il n'y eut aucuns survivants.
En effet, le Duc reçut des ordres venant du Roi d'Angleterre, en apparence, pour l'appeller à l'aide contre l'invasion ecossaise sur les terres royales. Le Duc comprit trop tard que c'était un piège du Roi français.
L'armée du Duc ne faisait pas du tout le poid face aux Français appuyés de leur forte noblesse. La bataille ne durera pas longtemps ; les aquitains étaient totalement désorganisés et la désertion était forte dans leurs rangs.
Le Duc conscient que la retraite par la mer était coupée, rassembla ses fidèles gardes du corps et chargea l'ost français. Ce dernier baroud d'honneur fut bref mais digne d'un bon dirigeant.
Le duc est mort, et l'aquitaine est désormais française après cette victoire éclatante.
- Angleterre VS Pays de GallesLa révolte au Pays de Galles ne s'est pas calmée durant cette année, bien au contraire. Les troupes anglaises, fortes en nombre redoublent d'effort pour vaincre les rebelles gallois toujours plus violents.
Heureusement pour les Anglais, un corps d'éclaireurs trouva des traces d'une armée galloise au fin fond d'une forêt. Les ordres suivirent, Jean de Lancaster lança ses troupes à la chasse aux rebelles.
Mais il y avait un hic. Le terrain, apparement préparé pour acceuillir l'ost anglais, mit Jean et son armée en grande difficulté. Les rebelles prenaient sans cesse en embuscade les troupes anglaises aux extrémités de la colonne ce qui les ralentissait et les désorganisait fortement. Les Anglais ne savaient rien y faire, le piège était refermé.
Cependant, ces harcèlements et ces embuscades n'arrêtèrent pas l'ost anglois. Ceux-ci se savaient encerclé, il fallait donc continuer à avancer.
Toutes ces attaques firent douter un certain moment Jean et ses troupes sur leur supériorité ; il était impossible de savoir combien d'homme il y avait en face.
Mais la chance tourne et les anglais arrivèrent au pied d'une forteresse galloise au fin fond des bois. Jean n'eut pas le choix, il fallait attaquer !
L'armée anglaise s'organisa, et tout en défendant ses flancs, lança ses troupes à l'assaut de la forteresse. Dans un premier temps, les archers gallois malmenèrent les assaillants jusqu'au moment où les troupes d'assaut anglaises mirent le pied sur les remparts.
Les Anglais avaient la supériorité numérique et leurs hommmes étaient bien mieux équipés. Malgrés l'acharnement des défenseurs, les Anglais avançaient inexorablement dans l'enceinte.
Le Général gallois Caerwyn lança toutes ses forces à l'assaut et brisa l'avancée anglaise. Le combat redouble d'ardeur et les anglais lancent alors leurs troupes d'élite à l'attaque.
Les nobles anglais pénêtrèrent dans l'enceinte dans un vacarme assourdissant. Les troupes galloises, déjà entamées ne résistèrent pas au choc. Caerwyn se fit alors une raison : sauvons le maximum !
Il organisa alors la retraite et l'extradition de la famille royale. Les Anglais ne savaient rien faire mis à part regarder la délégation galloise s'enfuir par les poternes du chateau à l'arrière. Jean de Lancaster entra dans une rage démesurée et refusa d'octroyer la reddition aux derniers soldats gallois. Vae Victis hurla t'il.
Le résultat final penche vers les forces anglaises qui ont été cependant bien malmenées. La victoire ne leur est pas totalement acquise tant que le Roi Gallois ne sera pas arrêté.
- Hongrie VS MongolsNe perdons pas les vieilles habitudes. Le monde s'embrase et continue encore. La guerre éclate aussi entre les anciens alliés Moldaves et Valaches tout deux vassaux réciproques des Mongols et des Hongrois.
Les Moldaves aidés par le Khan lance une armée à la conquête de la Valachie. Cependant ces derniers, appuyés eux aussi par leur Roi s'y attendait. Les valaches, avec l'armée hongroise s'était bien retranchée devant l'armée mongoles qui essaya de forcer le passage.
La cavalerie mongole, très mobile commence le harcèlement tout en protégeant les mouvements de l'infanterie mongole et moldave. Les Hongrois, en manque d'archers ne purent rien faire face aux cavaliers insaisissables de l'armée mongole. Ce qui provoqua dans l'infanterie valache une hausse de la nervosité. L'infanterie mongole arrive au contact. La mélée est en bonne et due forme avec un avantage peu prononcé pour les troupes hongroises mieux équipées et surtout bien positionnées. Cependant, la cavalerie lourde mongole et valache ne tarda pas à se frayer un chemin sur les flancs. Les chevaliers hongrois doivent intervenir !
Le terrain étant préparer à l'avance par les défenseurs, mit à mal les mouvements de la cavalerie lourde mongole qui se vit forcer d'entrer au contact avec les redoutables chevaliers Hongrois.
Ce sont des centaines de masses en armures qui s'affrontent. Le combat est très intense et fort brouillon. L'issue est incertaine, jusqu'a l'arrivée des cavaliers légers mongols. Ces derniers entrèrent en contact pour permettre aux cavaliers lourds de se dégager et de prêter main forte à l'infanterie mongole qui était très malmenée voir même sur le point de flancher.
Les chevaliers hongrois l'ont bien compris et le Général Arnold aussi ; il fallait maintenir la mélée le plus longtemps possible !
Les chevaliers hongrois se serraient les coudes face à la supériorité numérique écrasante des cavaliers mongols. Les Hongrois ne comptaient rien lâcher, pour eux, le sort de l'Europe était entre leur main.
L'infanterie mongole n'avait plus de soutient, et du battre en retraite. Les Hongrois pensaient crier déjà victoire quand le général Arnold tomba de son cheval, heurté par une masse d'arme mongole. Les chevaliers Hongrois furent momentanément troublés, mais l'arrivée en renfort de l'infanterie leur redonna du courage. Les Mongols battirent en retraite.
Le résultat de la bataille est en faveur des Hongrois car les mongols ont été repoussés. Mais le général Arnold a été gravement blessé, et sa vie est entre les mains de Dieu. Les pertes sont très lourdes pour les deux camps. personne ne peut prédire la suite des évènements...
Evènements :- La guerre éclate partout.
- L'Angleterre fait des progrès dans la métallurgie.
- La Hongrie serait la première faction à avoir développer la poudre suffisamment pour pouvoir l'utiliser à grande échelle dans le domaine militaire.
- Naples conquiert l'île de Malte et ce à la barbe du Sultan Ottoman obligé de rebrousser chemin.
- L'Empire Ottoman a envahis Trébizonde, mais s'est arrêté et assiège cette dernière.
- L'Empire Ottoman toujours a envahis Rhodes et la côte de la Cyrénaïque.
- Venise reprends son domaine royal.
- Les Mongols s'aggrandissent vers le nord.
- La Pologne-Lituanie n'est plus.
- Des troupes impériales ont fait irruption dans quelques villages français et les ont pillés. Des soldats français se seraient vengés aussitôt en rendant la pareille.
- De nombreux remous sont signalé dans le Royaume Français, en particulier en Bretagne et en Aquitaine.
- Pires encore, des remous sont signalé dans le SERG.
- La Moscovie s'aggrandis à l'Ouest.
- Le Roi du Portugal est en exil à l'instar du Roi du Pays de Galles.
- L'Autriche a de nombreux nouveaux vassaux.
- Création de la compagnie marchande des points cardinaux par le SERG en partenariat avec l'Empire Ottoman.
Rumeurs :- Le Kaiser pratiquerait des rituels hérétiques.
- Le Sultan Ottoman serait gay.
- L'autorité du Kaiser serait remis en question.
- Un djihad aurait été lancé...
- L'Egypte se revendique la plus grande puissance du monde.
- L'Empire Ottoman possèderait la plus puissante flotte du monde connu.
Voilaaaa
Ha au fait vous voulez un classement des factions ?