TOUR 3
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Guerres :- Angleterre VS Ecosse
Dans les îles Britanniques, le ton monte. En Angleterre la paranoïa d'une invasion plane sur tout le pays... Et à raison !
Une flotte sous pavillon écossais traverse la mer d'Irlande. L'Angleterre sur le pied de guerre apprend rapidement la nouvelle, et la flotte anglaise tente de rattraper les navires écossais, mais arrivent trop tard. Les navires anglois ne font que perturber sommairement le débarquement écossais en Irlande anglaise.
La nouvelle se répand vite chez le vassal anglais. Le Lord MacDunham, pour la première fois à la tête de ses troupes se retrouve en position délicate. Il applique donc les ordres et évite l'affrontement avec les Ecossais et saccage son propre territoire pour empêcher aux envahisseurs de connaitre les joies du pillage.
Les Ecossais ont un but clair et précis, l'invasion et la destruction des terres anglaises.
Cependant, les anglais, s'attendant à une attaque écossaise, mais ne sachant où elle allait tomber précisément, étaient préparés à ce que cela arrive. L'armée royale anglaise, conquérante du Pays de Galles, se met en direction de l'Irlande. Ils accosteront une semaine après les forces écossaises.
Entre temps, l'armée de MacDunham n'a pu éviter l'affrontement et aligna ses forces bien moindre en nombre face aux Ecossais bien déterminés à casser de l'Anglois.
Les armées s'élancent. L'infanterie anglaise, bien entrainée et très bien équipée tient bon face aux soldats écossais qui, contre toute attente, sont aussi bien équipés ! La mélée est rude mais organisée. La bataille ne tarda pas à pencher vers les écossais, qui part leur grand nombre de cavaliers déborda littéralement l'infanterie anglaise et ses nobles. Le Lord tomba, heurté d'un coup à la tête et son armée flancha. La victoire est Ecossaise ! C'est l'euphorie chez les vainqueurs qui remporte leur première bataille face aux Anglais. Mais, c'est à l'aube que les éclaireurs Ecossais avertirent que l'Ost royal anglais a débarqué et en masse.
Le général Ecossais, MacDouglas, douta dans un premier temps, mais l'enthousiasme de ses troupes le conforta et il marcha avec ses hommes face à l'armée anglaise.
Les Anglais, quand à eux, ne savent pas trop à quoi ils allaient faire face, et ils s'attendaient à une armée écossaise innombrable.
Cependant, dans les environs de Dublin, l'ost anglais, reçu les premiers rapports de leurs éclaireurs : l'affrontement est imminent.
Le stress monte dans les rangs anglais qui se préparent à la hâte. La ligne est préparée, les premiers cris écossais retentissent, les anglais tremblent. A ce moment, le Général anglais apprends la déroute de l'armée de MacDunham et ses hommes. Le Général garda cette nouvelle pour lui. Ses hommes n'avaient pas besoin de ça.
Les Ecossais arrivèrent dans la plaine et à la stupéfaction de tout le monde, les attentes des deux côtés sont renversées. L'armée anglaise semble bien plus grande ! Les Ecossais, trop sur d'eux ne s'arrêtèrent pas et marchèrent vers la bataille.
Le général anglais prends rapidement conscience de son avantage et accélère la cadence. Il prend position sur tout le champs de bataille en positionnant ses archers aux endroits stratégiques. Plus les Ecossais s'avanceaient dans la plaine, plus ils se rendaient compte de la taille de l'armée anglaise. Ils tentèrent de reculer, mais trop tard, le contact s'effectue déjà sur les flancs ; il faut combattre désormais !
La mélée s'engage sur les flancs. Les troupes anglaises jouïssent d'un équipement à la pointe et leur donne directement l'avantage. Les flancs écossais sont déjà sur le point de craquer.
Dans l'axe, les Ecossais subissent les traits des archers anglais. C'est un vrai massacre. Les Longboys font un véritable carnage.
La cavalerie écossaise tenta d'atteindre les archers anglais en vain. Les Anglais sont partout.
L'ost écossais ne peut que fuir devant une armée trop bien équipée et très organisée. La victoire est éclatante pour les Anglais, la région est reconquise !
- Portugal VS Castille et Aragon
La guerre ravage l'Ibérie toute entière. Cette péninsule, a peine remise de la Reconquista se voit maintenant à feu et à sang. Après l'invasion "surprise" du Portugal par la Castille, ce sont les Portugais qui contre attaquent. De nuit, une importante armée portugaise remonte par l'est en plein vers la capitale Castillane : Tolède. L'armée castillane, qui s'attendais à cela, avait préparé la défense de la capitale.
Les Portugais arrivèrent devant les murs de la cité et lancèrent directement l'attaque, toujours de nuit. Le général Frederico ne voulait pas refaire les erreurs du siège précèdent et prépara à son propre chef, des tours de sièges et d'autres instruments.
L'ost portugais semble très nombreux, bien plus que les Castillans ne l'avait prévu, mais la cité était bien fortifiée. Enriquo, le général castillan, avait bien planifié la défense de la capitale, mais la bataille s'annonçait très compliquée.
Les Portugais sont aux murs, malgrés les tirs nourris des archers défenseurs. Les Portugais peinent à avancer. Cependant, leur nouvel équipement leur sauva la mise.
Mais arrivés au dessus des remparts, les assiégeants se heurtent à l'infanterie castillane qui semble très bien organisée. Mais une fois de plus, l'équipement largement supérieur des Portugais leur permet de s'encrer solidement sur les murs. La mélée est d'une violence rare. Les os se brisent, les épées heurtent les boucliers et des corps animés tombent des remparts. Personne ne sortira indemne de cette bataille. Lorsque, tout à coup, les soldats défenseurs responsables de la porte principale sont attaqués par surprise par des civils. Les portes s'ouvrent et les Portugais se pressent pour s'engoufrer dans la ville. Enriquo sait que les Portugais vont entrer, il pressa donc ses piquiers pour barrer le chemin aux assaillants. La cavalerie portugaise entre, sécurise et détruit complètement le portail, et l'infanterie portugaise, présente en nombre impressionnant, pénêtre dans la ville. Les piquiers tiennent le choc, mais la présence exclusive de piétaille en face ne les avantage pas mais leur pique leurs permettent de les tenir à distance. Malheureusement la pression est trop forte, il faut se replier.
Au même moment, la pression sur les murs diminue de part la rupture de la porte. L'infantrie castillane pu donc se replier en bon ordre aux dernières fortifications.
La noblesse portugaise et l'infanterie, avec le soutient des archers entrent dans les rues de la capitale et marchent vers l'affrontement ultime avec les défenseurs.
Du coté castillan, toutes les forces restantes sont présentes aux derniers remparts. Le combat est proche.
Mais Enriquo ne veut plus subir la pression portugaise et aligne sa puissante noblesse. A ce moment, Frederico et ses hommes s'organisent pour les recevoir. Mais ce qu'il ne savait pas, c'est que la cavalerie castillane masquait les mouvements de la piétaille à l'arrière, et se sont les archers, plus mobiles, qui se déplacent dans les ruent pour prendre l'ennemis à revers.
La cavalerie castillane s'élance, dans un fracas assourdissant. Les cavaliers se rapproche lorsque Frederico décide de reculer, laissant les premières lignes portugaises à la mort. Frederico recule dans une rue plus étroite pour annihiler l'avantage de la cavalerie castillane.
Evidement, les premiers fantassins portugais se font littéralement écrasés par le rouleau compresseur espagnol mais arrivés devant le mur de boucliers des assaillants, la cavalerie brisa sa charge, au prix de lourde perte. Enriquo replia sa cavalerie, tant bien que mal et les fantassins prirent leur place.
Le combat dure et perdure, encore et encore, pendant de longues heures. Mais les archers défenseurs, en position à l'arrière des portugais, ouvrèrent le feu. Ce sont des centaines de soldats qui meurent dans la première minute et Frederico du diviser ses forces pour attaquer les archers castillans. Enriquo vit l'ouverture ; c'était sa dernière chance ! Il lança à nouveau sa cavalerie sur l'infanterie portugaise et enfonça leur rang. Mais cela ne suffisait pas ! La mélée est horrible, affreuse, ignoble (fin bon vous avez compris). Les archers castillans se dispersent partout dans la ville, avec leurs poursuivants.
Si on devait résumé la bataille, nous dirions que c'est une boucherie. D'un côté s'oppèrent une chasse à l'homme, de l'autre un carnage où les armures des deux côtés sont rouges et les hommes exténués. Enriquo tomba, touché à la jambe par une vouge ennemie. Mais il n'était pas possible de l'évacuer.
Les hommes se battaient, à mains nues parfois contre des personnes qui étaient peut-être du même camp. Au soir tombé, la mélée s'éclaircit. La ville était en flamme, mais seuls des Castillans étaient encore debout. La victoire est espagnole, enfin si l'on peut appellé ça une victoire. La Capitale est en feu et l'armée est dépitée. Triste jour que celui-ci...
Au même moment, pendant que les armées du Portugal et de la Castille se détruisaient mutuellement, un ost venant d'Aragon traversa les terres castillanes pour envahir les dernières terres portugaises. Aucune résistance n'a été rencontrée par les soldats d'Aragon. Le Portugal est occupé dans son intégralité. Le Roi Portugais n'a cependant, pas été trouvé, la rumeur court qu'il se terre quelque part sur son "ancien" royaume...
L'attaque navale combinée de la Castille et de la Navarre pour Gibraltar s'est bien déroulée. La puissante flotte de Navarre réussit à mettre à bat les navires portugais renforcés par des navires ottomans. Les navires castillans n'eurent qu'a achever le travail en éliminant les fuyards.
- Naples VS Aragon
En Sicile, il y a eut une hausse de l'agitation durant l'année. Des révoltes éclatèrent un peu partout mais principalement à Palerme. Suite à cela, le seigneur de Sicile a été retrouvé assassiné dans son bain. L'île se trouva alors sans haut commandement. Et l'armée sicilienne, en campagne en Libye, n'eut vent de cette nouvelle que bien plus tard.
Mais tout cela précèdait des évènements bien pires. Des navires Napolitains accostèrent à l'aube. Une véritable armée débarqua sur l'île. Une partie passa par le détroit de Méssine et l'autre débarqua au Sud.
Très rapidement les armées napolitaines se rejoignèrent à Palerme et instaurèrent le Siège.
Les défenseurs, trop peu nombreux, et sans chef, déposèrent les armes presque immédiatement. La Sicile tombe au mains des Napolitains.
Cependant, l'armée Sicilienne demeure toujours, mais sur le continent afriquain, en plein sable Libyen...
- Union de Kalmar, Ordre Teutonique, France, Royaume d'Autriche VS SERG
C'est une année très dure pour le Kaiser. Le SERG subit les assauts de tous ses voisins ou presque. La guerre se divise en 4 fronts. Le front nord où s'oppose le Duché de Brabant contre l'Union de Kalmar et l'Ordre Teutonique, à l'Est où s'oppose la Bohème et la Maison d'Autriche, le front Sud ou Milan subit les attaques françaises et le front Ouest où l'armée impériale avec le soutient de la Bourgogne se dresse devant l'armée royale française.
FRONT OUEST :
L'armée Bourguignonne, en position défensive tout au long de leur frontière avec la France connut un réveil brusque à l'aube d'un jour de février. Les Bourguignons étaient bien retranchés et s'attendaient à une attaque, mais les Français ont prévu le coups. Des agents français sabotent les tours et les défenses bourguignonnes et l'armée française passa à l'attaque.
La grande supériorité à tout point de vue des français par rapport au défenseurs est éclatante. Les Bourguignons sont littéralement enfoncés en un peu plus d'une heure. Les Bourguignons sont en fuite et les Français envahissent la Bourgogne.
Cependant, la puissante armée impériale, en stationnement un peu plus au nord se dressa devant l'ost français. Cette fois-ci, ce sont les impériaux qui sont plus nombreux. Jean d'Arrignac, général français, positionna ses forces dans le but de résister le plus possible aux assauts impériaux.
De l'autre côté, Wilfried Von Willbrück, très confiant, avança son infanterie innombrable. Ce sont bientôt les deux plus grosses puissances occidentales qui allaient s'affronter dans la plaine. Ce n'était pas seulement une guerre entre la France et le SERG, mais aussi, une opportunité de s'affirmer sur tout l'occident.
Les Impériaux donnent la cadence. Les voilà en approche.
Très rapidement, un duel d'archers se profile. Les archers français repoussent rapidement les archers impériaux, étant plus nombreux et mieux équipés. Wilfried ordonne la charge. Plus de dix mille hommes s'élancent dans la bataille, avec sur les flancs la terrible noblesse impériale.
Les Français, aillant répèter le mouvement autrichien, alignent rapidement leurs piquiers en face des chevaliers impériaux. La charge est stoppée, malgrés de lourdes pertes des deux côtés, les nobles germaniques se retirent de la mélée.
Dans l'axe le choc est rude. Les Français moins nombreux font confiance à leurs officiers, légèrement dépassés par le surnombre significatif des impériaux. On se bat à 1 contre 2.
La bataille dure, et les deux généraux tentent de trouver la faille dans le dispositif ennemis. Rapidement, d'Arrignac jugea la situation pérrilleuse. Il devait agir. Car malgrés le tir continu des archers, les germains ne lachaient rien et l'axe français reculait inexorablement.
Jean choisissa donc de donner un grand coup ! Il pris avec lui toute la chevalerie française, l'élite sociale et militaire, et décida d'enfoncer la masse impériale dans l'axe pour permettre une retraite dans l'ordre et la discipline. C'était risqué, mais plausible.
Les chevaliers français se rassemblent et prient avant de s'élancer dans la bataille.
L'infanterie française décroche, comme prévu, et laisse place aux chevaliers de France qui au maximum de leur vitesse, heurte la masse impériale.
Les fantassins impériaux sont écrasés, piétinés, transpercés. La charge est puissante, mais les rangs impériaux sont trop épais. Il faut reculer.
Jean d'Arrignac sonne la retraite et sa noblesse recule, laissant cependant quelques frères à la mort. Les Français se replient, mais la guerre n'est pas finie. Les Impériaux ont subit de lourdes pertes, et la dernière charge les a dégoutés de poursuivre les envahisseurs, mais c'est la victoire. Wilfried est encore victorieux !
Du côté français, le bilan est lourd aussi. L'armée recule mais n'est pas anéantie. Tout espoir n'est pas perdu.
FRONT SUD :
Une imposante armée française débarque en Corse, puis en Sardaigne, et annexe toutes les terres impériales sans résistances de la part des défenseurs.
Ensuite, voilà les français, non satisfaits de leurs victoires, qui débarquent dans le duché de Milan.
Gênes est la première ville à tomber. Mais rapidement l'armée milanaise se dresse devant les français bien supérieur en nombre.
La bataille est rapide. Les Milanais n'ont offert que peu de résistance face à un ennemis bien trop fort.
Milan tombera quelques jours plus tard, et se fera littéralement pillé par les forces françaises.
Le Duc de Milan s'exila vers les terres de son Seigneur, le Kaiser. Milan est occupée par la France et celle-ci ne tarda pas à revendiquer la région PACA qui sans défense s'annexa à l'envahisseur.
FRONT NORD :
Contre toute attente, les forces scandinaves débarquèrent au sud du Duché du Brabant. L'armée brabançonne du donc faire volte face, et aller à la rencontre des envahisseurs nordiques.
Les Scandinaves alignent une énorme armée contre une armée brabançonne, certes renforcée par le Kaiser, bien inférieure.
Le combat commence, les armées s'affrontent. Les défenseurs abandonnent le combat après une lutte acharnée. Les pertes sont lourdes des deux côtés mais le Duc du Brabant se voit obligé de s'incliner face à cette puissante force d'invasion venue du Nord... Enfin du Sud... Enfin vous voyez quoi !
Mais le reste de l'armée brançonne refuse d'obtempérer et se replie en territoire bourguignon pour rejoindre l'armée impériale.
Le Brabant est soumis à l'Union de Kalmar.
FRONT EST :
L'Autriche et l'Ordre Teutonique lancent des attaques sur le SERG. Le Kaiser ne s'y attendant pas, n'a pas posté de défense à l'Est. Heureusement pour lui, le Duc de Bohème refusa la trahison orchestrée par son homologue autrichien et lança une attaque sur l'Ordre Teutonique comme prévu initialement.
L'Ordre Teutonique, qui avait envoyé son armée à l'Ouest n'eut aucune garnison pour se défendre, l'armée de la Bohème avance donc inexorablement en territoire teuton.
Du côté Autrichien, la situation est plus réfléchie. L'armée autrichienne coupe le territoire impériale en deux et se dirige droit vers la Bourgogne. Les Autrichiens visent apparement l'affrontement avec l'armée impériale vainqueure des forces françaises auparavant.
L'ost autrichien arriva en vue de l'armée impériale renforcée par les restes brabançons.
L'armée impériale est toujours très puissante et est d'ailleurs plus grande que l'armée autrichienne. Mais cela n'arrête pas les Autrichiens.
Les armées s'affrontent, l'infanterie autrichienne peine à maintenir la pression de l'incroyable masse d'infanterie impériale. Sur le flanc gauche nous pouvons assister à un magnifique duel de piquiers. Les piquiers flamands, pourtant réputé, sont mis en déroute par Schwere Pikeniere. Mais malgrés cela, et malgrés les efforts des archers d'élite autrichiens, l'armée impériale continue sa progression et fait reculer l'ost envahisseur. Les nobles impériaux se lancent à la poursuite des autrichiens qui battent en retraite. Mais ils sont vite intimidés par les Schwere Pikeniere, tant redouté. La victoire est encore au Kaiser, mais son armée commence à s'essoufler. Combien de temps le SERG tiendra t'il encore face à toutes ces attaques ?
Durant la bataille, d'autres armées autrichiennes ont déferlées dans les terres impériales. Le domaine du Kaiser est presque occupé dans son intégralité.
La situation après cette année est la suivante : La Bourgogne et la Bohème sont encore debout et le Kaiser possède encore quelque territoire. L'Autriche ne fait plus partie du SERG et possède désormais de nombreuses terres anciennement impériale. Le Brabant est tombé sous l'invasion scandinave et Milan sous les attaques françaises.
- Mongols VS Moscou
En Orient la guerre fait rage aussi. En effet, les Mongols ont attaqués les provinces frontalières moscovites. L'armée de Moscou aidé de ses vassaux et de l'armée de Novgorod repoussa l'assaut à l'Ouest mais ne pu se défendre à l'Est.
De plus les territoires des vassaux russes sont envahis par une importante armée mongoles. Sans défenses, les Mongols conquierent bons nombre de territoire.
Evènements :- L'Angleterre se militarise.
- Les Etats Pontificaux ont débarquer en Tunisie et ont remporter leur première victoire.
- Les Anglais auraient fait une découverte prodigieuse, celle de l'imprimerie !
- Le Portugal n'est plus.
- La Libye est envahie par l'Aragon.
- Le Maroc a progressé dans le domaine de la médecine militaire.
- L'Ordre Teutonique et le SERG progressent au niveau de la poudre noire.
- Le Brabant et Milan sont détruites.
- Il y a de nombreuses épidémies dans les rangs impériaux.
- L'Autriche fait sécession du SERG et se renomme en Royaume d'Autriche.
- De nombreux accidents de frontières ont eu lieu dans les Pyrénées. Des forces armées de navarres et d'Aragon auraient pillés des villages français.
Rumeurs :- Le seigneur de Cordoue serait mort en prison.
- Le seigneur de Cordoue serait malade.
- Le Kaiser coucherait avec la femme du Roi d'Autriche.
- Le Roi anglais serait gay.
Les stats plus tard les enfants !