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| [RTW] Batailles romancées | |
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Auteur | Message |
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Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: [RTW] Batailles romancées Jeu 3 Aoû 2006 - 20:44 | |
| Je lance ce topic pour tous les fans de batailles épiques.... J'ai créé le topic "mes précédents récits" pour vous donner "la direction à suivre". J'attends vos histoires avec impatience.... | |
| | | liper Censeur
Nombre de messages : 2322 Age : 33 Localisation : Belgique Date d'inscription : 31/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Dim 10 Sep 2006 - 9:37 | |
| Je poste le "fabulleux" romans que j'avais fait sur jv, ça encouragera peut être des gens qui ont envie d'écrire mais qui ont peur du ridicule: Bon courage pour ceux qui ont l'intenton de lire jsqu'à la fin :lol!: Britanie superieure, 211 acn. La tradition romaine voulait, depuis la montée sur le trône de decius julius, en l´an 270 avant la naiscance du christ, que les chefs de faction romains pour se montrer dignes de leur rang, apporte à la puissante Rome de nouvelles conquêtes. Ainsi les jeunes romains étaient depuis leur plus jeune âge formés au combat, de ce fait, en moins de 60ans, le territoire de la maison julii avait atteint un empire à faire pâllir alexandre le grand lui-même.S´étendant des hautes montagnes espagnoles aux profondes forets germaniques, des mers glaciales dans le grands nord au gigantesque désert à l´extrémité sud du monde connu, les dignes cités-états hellènes, héritieres d´alexandre, elles-même, n´ayant pu résister à l´envahisseur du fait de leur dislocation, ce vaste royaume ne suffisait pourtant pas à amoindrir la soif de conquêtes des descendants d´Enée. Decius Julius n´échappat pas à la règle, en tant que futur chef des julii, et peu après ses 16 ans, il fut amené à combattre au côté de son père les grabataires du sénats qui jaloux de de leurs voisins les menaçaient implicitement de rentrer en guerre, il commanda donc une bataille rangée face a l´armée sénatoriale qu´il remportit sans trop de difficultés. Il fut néanmoins congédié lors du siège du Rome, n´étant plus nécessaire et risquant de voler la gloire de son père. Cette victoires sur ces indignes romains, entachants et souillants la gloire de rome, n´étant que minime pour être considérée comme une conquête il lui fut commandé de délivrer les barbares bretons du gouffres culturel dans lequel il se trouvaient et de leur apporter une vie meilleure, en d´autres termes ils lui confiaient la misson de détruire, piller et massacrer l´empire bretons sans autres raison qu´une soif de conquête et qu´un appat du gain. Au début de sa campagne Decius était confiant, en lui même, en ses hommes et en la rapidités d´execution de son ignoble labeur, mais il dechanta vite lorsqu´il eut subis plusieur defaites à la tête de ses troupes et qu´il eut apprécié l´immensité du territoire breton qui contrairement aux anciennes cartes était de taille imprressionante. Les bretons en plus de leur île au climat désagréable avait conquérit des territoires s´étendant des limites est de Gaules aux limites ouest de Schytie. Malgrès une vaine résistence dans leurs territoires continentaux, les bretons seretrouvèrent vite cantonnés sur leur île. La culture bretonne était très proche de celle des gaulois, ces peuples nordiques étaient corrompus à l´art de la guerre et croyaient aux presages des devins pratiquants encore les sacrifices humains, était il pour autant ces monstres sans âme décrits par les romains? Les Grecs n´avait-il pas pendant longtemps pratiqué le sacrifice humain et que dire des arènes romaines? cette culture fesaient d´eux de puissant et effrayants combattants. Après de longues années de batailles Secundus désormais appelés Secundus vainqueur, voyait enfin approcher la fin de cette campagne, en effet au termes de victoire héroïques il était parvenu a prendre londinium et deva, les bretons ne s´etant pas pour autant admis vaincu s´etaient rebellés a Londinium et opposait une résistence farouche a l´envahisseur. Les armées bretonne et romaines se retrouvèrent donc dans la britannie supérieure pour un affrontement final qui scellerait bien des destins. secundus malgrès ses nombreuses victoire restait un piètre commandant, intelligent certes il ne parvenait tout de même pas à elaborer de stragies vraiment efficaces, il compensait ces vices par une grosse voix et un don pour le combat qui était connues par tous les bretons. Le jour fatidique arriva finalement, un glacial jour d´hiver dans une prairie a la legere inclinaison, secundus rassembla ses hommes, des troupes eparses composées de véterants légionnaires et de mercenaires gaulois. Les bretons firent de même, de nombreux piquiers barbares ainsi que quelques frondeurs et de chars légers et lourds.La statégie serait assez simples: les mercenaires gualois en premiere ligne suivit par les vétérants pseudo romains car contrairement à ce que prétendaient les familles patriciennes romaines ce n´était pas vraiment des romains qui combattaient et contribuaient à la gloire de Rome, c´était des galo-romains, dans ce cas-ci, ou encore des carthaginois, lors de la conquête du Nil par son frère, duquel il avait reçu une missive recemment lui annonçant sa victoire à thèbes au cours d´un affrontement héroïque ou nombres de "romains" étaient morts, après un discours au cours duquel il comparat l´odeur de ses ennemis à celle des chameaux, si bien que ses hommes, n´ayant eu aucune autres education que celle du combat, prirent peur à la mention d´un combat face a des hommes-chameaux. Heureusemnt leur genral, le premier sur l´ennemi, était la pour leur donner courage. Ainsi disposés les vétérants pouraient, s´il en avait encore la force canarder les ennemis sans craintes d´être interceptés dans leur mouvement.La cavalerie, elle était disposée sur les flancs pour contourner et prendre les ennemis a revers.Du côté breton la stratégie était encore plus simple: il n´y en avait pas!
Le combat debuta, les premier bretons, a la tête de laquelle se trouvait leur chef, marchaient inexorablement vers l´armée ennemies, vers leur sombre destin, ils s´arretèrent à 50 mètre de leur ennemis frappants leur lances contres leur boucliers , poussants des cris effrayant, leurs visages ayant été recouverts de peinture bleue. Bien des hommes braves auraient pris la poudre d´escampette face à un tel spectacle, mais pas les hommes qu´il avaient en face d´eux. Ils reprirent leur marchent, puis accelerent quand les premiers pilum fracasserent leur lignes; Le choc fut d´une violence extreme, mais les gaulois tinrent bon bientot soutenu par les véterants. la cavalerie, secundus a sa tête contourna l´ennemis et dans un tonerre de sabots chargèrent les ennemis. les piquier furent incapables de resister et prirent la fuite.Le loup breton et ses gardes du corps du haut de leur chars meurtiers etaient pris au piège, ils tombèrent les uns après les autres, sans l´espoir que le reste des troupes trop lointain ne puissent les soutenir. Sa garde reduite a néant le chef briton restait seul au milieu de ses ennemis, il parait avec de plus en plus de difficulté leurs coups , une lance le frappas au dos, elle fut deviée par son armure mais elle pemit à un cavalier de lui porter un coup à l´épaule gauche. Ne pouvant retenir les aussauts romains qu´avec son épée, il ne parvint pas a bloquer un pique qui s´enfonça dans le torse de sa monture, celle-ci se cabra dans un dernier souffle de vie puis s´effondra emportant avec elle son cavalier. Il fut alors percer par les armes de ses adversaires, au loin il voyait ses troupes approcher, un air air inquiet dans leurs regards, trop tard. La perte de leur general acheva le moral des bretons deja bien bas. Ils chargerent, leur seul but était maintenant d´infliger les plus lourdes pertes possibles. Secundus vainqueur n´eu guère le temps d´organiser une quelconque strategie, reposiotionner ses troupes les auraient exposés aux tirs ennemis, il chargea avec la moitié de ses hommes le flanc gauche, le reste de l´armée sur la droite. Même les plus aguerris ne pouvaient résister à ce valeureux guerriers et à ces fidèles gardes, le flanc gauche fut balayé, suivi peu apres du reste des hommes qui pris d´une panique générales, fuirent commes des lapins affolés. Les romains les porsuivirent jusqu´à l´orée de la foret, le bruit des sabots et des caligae sur le sol gelé leur fesant doubler l´allure. Après le combat le champ était jonché de cadavre on tenta de les enterrés mais la solidité du sol les en empêchèrent. Aucun feu ne pris. On laissa les corps là,ils furent bien vite recouvert par la neige. Les défences de londinium étaient réduites à quelques rescapés tandis que du côté de Rome, seul les plus agés et les plus jeunes avaient succombés. Ce serait bientot la fin du calvaire de secundus vainqueur!
dsl pour les fautes d´orthographes toute façon a la fin on en a tellement marre et les phrases deviennent tellement lourdes qu´on les voit plus. A vous de poster maintenant!! (je devais poster sur mes batailles précédentes?) | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Dim 10 Sep 2006 - 9:59 | |
| Belle histoire Trés bien écrite Dis donc tes bretons sont aller jusqu'en Scythie ? Eh bé ! | |
| | | liper Censeur
Nombre de messages : 2322 Age : 33 Localisation : Belgique Date d'inscription : 31/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Dim 10 Sep 2006 - 10:01 | |
| ils avaient conquis toute la germanie et étaient donc devenus voisins des schytes, c'était la première fois qu'ils allaient aussi loin désolé j'en ai profité pour corriger les pluriels
Dernière édition par le Dim 10 Sep 2006 - 10:13, édité 3 fois | |
| | | Steuf Censeur
Nombre de messages : 2930 Age : 34 Localisation : Chili Date d'inscription : 29/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Dim 10 Sep 2006 - 10:10 | |
| "Conquis", Liper, STP, "conquis" ! Pas "conquérit" ! (Tu m'as fait grincer des dents, là... ) | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Dim 10 Sep 2006 - 10:51 | |
| Tu as failli donner une crise cardiaque à notre cher Steuf ! | |
| | | liper Censeur
Nombre de messages : 2322 Age : 33 Localisation : Belgique Date d'inscription : 31/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Lun 11 Sep 2006 - 15:29 | |
| Pour l'orthographe je pense qu'il n'y a + rien à faire pour moi mais à la fin de l'année vu le prof de français que j'ai, je parlerais comme steuf :lol!: | |
| | | Fatman Consul
Nombre de messages : 1755 Age : 37 Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Lun 11 Sep 2006 - 15:31 | |
| Y'a peut etre moyen de mettre le fichier de sauvegarde sur internet et donc qu'on puisse visioner la bataille en tout en lisant le récit ... | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Lun 11 Sep 2006 - 16:00 | |
| Pas en campagne malheuresement ! Les vidéos c'est juste pour les batailles personnalisées et le multi ! | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Lun 11 Sep 2006 - 20:00 | |
| GRECE , DATE :INCONNU , LIEU :SPARTE
Devant l'armée des resistants spartiates se tiennent : les invincibles legions romaines , commandé par caius lucius , menbre aux placé de la politique romaine , caius croit ses hommes invincibles mais il va apprendre a ses depants , que les grecques sont plus farouches qu'ils ont on l'ére .
L'aube brille , les legionnaires avancent , stoique face a la pluie de fléches qui s'arment dans les rangs de Sparte . " EN TORTUE" hurlérent les centurions , les hommes obbéissent , comme guidé par arés .
pourtant , dans le camp grecques , comme portés par le desespoir , glaive aux point , chargerent les fils de la louve , cette desision , qui n'apparéssait pas dans le manuel de stratégie romain,.
le combat s'ammorssa, les spartiates tombaient , mais ne recula pas , les romains, eux n'avaient aucune pitié que se soit pour leur enemis que pour leur frere d'armes qui tombent en masse .
les rangs spartiates diminuerent , le general spartiates dans un derniers efforts , souffla dans son cor , l'ardeur des survivants revits , comme s'il été des dieux , les deux derniers regiments spartiates , chargerent , mais le nombre , et plus fort que toute volontée , pourtant que les larrises grecques , embrochérent leur cheval du general latin .
Mais sa mort ne changea rien , les courageurs fils de sparte tombérent , la cité tomba , MAIS PERSONNE N'OUBLIE LEUR BRAVOURE | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Lun 11 Sep 2006 - 20:01 | |
| C'est pas ma meilleur campagne mes bons . | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Lun 11 Sep 2006 - 20:26 | |
| la vengeance seleucides:
30 ans après la bataille de thèbes , l´empire seleucides et leur allié du pont envahissent l´ile de rhodes , forteresse stratégique grecque , a cette epoque l´ile est mal defendue , l´attaque est imminente :
les 59000 hommes des coalisés , affronte dans la plaine d´artemis , la faible garnison de la ville , 120 jeune garçons , pret a mourir pour leur patrie
un homme sort des rangs des hommes de rhodes, un colosse , le general polidectede sparte lance a ses troupes
"SOLDATS , MOI AUSSI J´AI PEUR , MES PAS PEUR DE CES LACHES QUI SE TIENNE DEVANT NOUS , J´AI PEUR DE SE QU´IL PEUVENT FAIRE A NOS FOYER ET A NOTRE VILLE,NOS AMIS DE CRÊTE,VONT ARRIVés,SES FILS DU MINOTAURE VONT BALAY2E NOS ENNEMIS, ALORS TENONS , pour finir je vous dis ceci , TUEZ NOS ENNEMIS AVEC LA FORCE DU JUSTE "
"HOURRA" reponde les soldats , leur lance en avant , aux bruit des flutes ils avancent vers leur destin
du coté seuleucides , silence absolue , le signe de axartinides le sanguinaire fils du general antigonos le cruel fait lancés les charts scythes dans les rangs suivi de prés par la cavlerie et l´infanterie marchant derriere , les conducteur de chars s´empalent sur les larisses grecs , leur vehicules finisent dans les phalanges grecs , la bataille qui sans suis et terrible , les grecs bien que courageux doivent reculés metre apres metre , marchant sur les cadavres de leur defunts amis ,
"formés le cercle"hurle leur general
la dizaine d´homme encore debouts disposés en cercle resistent tant heroiquement a l´ennemis , soudain un sifflement faits tombés la morts dans les rangs coalisés , des fléches , par milliers tombent dans les rangs ennemis , "LES CRETOIS LES CRETOIS" cris t´ils
L´armée cretoise compte 20000 hommes dont 19000 archers surentrenez , les autres sont des cavaliers mercenaire scytes .
les troupes coalisés désenparées se repli vers leur elephants qui rendues fous pars les nuées de fleches ecrasent leur propres troupes .
mais les coalisés ne sont pas vaincues , leurs catapharctes chargent et leur artillerie bombardent les rangs cretoises de bombe insandiere, la cavalerie grecs es dessimées , et les archers , pietre combattants aux corps a corps a du mal a se defaire des cavaliers en armure , alors que leur victoire tournent en leur deffaveur , polidecte enfourche en cheval encore vivant et guide ses troupes ves les catapulte ennemis , eliminant les servant d´artillerie il pointe ces armes de mort vers les cavaliers adverses , l´effet et devastateur , et l´espoir change de camps ,les coalisés s´enfuient poursuivient par les cretois ,
la bataille est gagné mais pas la guerre car tous les alliés grecs sont tombés meme carthage , mes par faute romaine , la grece dernier bastion entre rome et l´empire seuleucides
dans le prochain episode , le siege de sparte 2 | |
| | | scartapus Questeur
Nombre de messages : 174 Age : 48 Date d'inscription : 10/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 12 Sep 2006 - 15:41 | |
| journal du commandant de la garnison d'antigone, 249 av jc
1er jour "ma première affectation loin de rome, je suis arrivé ce matin et j'ai fait le tour de la ville avec mon aide de camp. tout ici respire la mort, la peste qui sévit depuis un mois a décimé la majeure partie des habitants ainsi que la garnison, ceux qui ont pu fuir sont déja partis. ce qui reste de la garnison se compose d'une unitée de phalangistes et d'un groupe de mercenaires pléastes. pour la renforcer, rome m'a affecté deux unitées de triarii, malgré mes réticences car je n'ai jamais eu confiance dans ce type d'unitée! 700 hommes en tout et pour tout pour défendre cette ville alors qu'une rumeur circule déja: une armée macédonienne arrive par l'est, son objectif est certainement les ports sur la cote d'où ils pourront attaquer l'italie. bien qu'antigone n'ai pas de valeur stratégique, les macédoniens voudrons certainement éliminer toute influence romaine dans la région. j'ai déja envoyé un messager vers thermon pour ramener des renforts mais il mettra plusieurs semaines pour y arriver, j'ai peur que nous soyons seuls."
9eme jour,à l'aube " je n'ai pas beaucoup dormi, ce que nous craignons est arrivé: un detachement de l'armée macédonienne est devant nos murs, 1500 hommes au bas mots, le gros de leur armée nous a contourné en poursuivant sa route. ils vont essayer de nous réduire au silence. les assaillants ont édifiés 2 tours de siège mais ils n'ent auront pas besoin: leurs espions ont sabotés les systèmes de fermeture des portes de la ville, moi qui comptait les affronter sur les murs... malgré tout mon plan de défense est simple: défendre la porte principale qui fait face aux assaillants puis en cas de besoin, se replier vers la place au centre de la ville. j'espère que nous n'en arriveront pas là. l'unitée de phalangistes défendra la porte avec les tirarii en soutien, les pléastes couvriront leurs retraite."
10eme jour " ça y est, les macédoniens nous ont attaqués. les phalangistes ont tenu le coup, brisant la charge de deux unitées de cavalerie enemie et tuant plus de 450 hommes à eux seuls mais ils ont été submergé. j'ai envoyé une unitée de triarii en soutien qui s'est bravement battue, nous permettant de nous replier vers le centre de la ville. les mercenaires pléastes se sont jetés sur l'ennemi et beaucoup d'entre eux l'ont payé de leurs vie. mais le général macédonien est tombé et j'ai espoir, si nous tenons bons, de faire paniqué l'ennemi...
il me reste 67 triarii face aux 350 macédoniens qui ne sont pas encore tombés sous nos glaives. le capitaine de ma dernière unitée me regarde et me dit "j'ai toujours voulu combattre à la tete de mes hommes dans un combat désespéré", nous nous souhaitons bonne chance et je le vois former avec ses hommes un dernier carré. ils feront payer cher à l'ennemi le prix de leur sacrifice. c'est la fin, je vais mourir au combat comme mon père et le père de mon père et je prie pour que nos familles se souviennent longtemps de nous et de cette ville maudite."
antigone est tombée une heure plus tard avec seulement 135 macédoniens encore valide, aucun soldat de l'héroique garnison romaine n'a survécu. le reste de l'armée macédonienne à été stoppé à 20 kms de la cote par deux armées romaines descendant du nord. | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 12 Sep 2006 - 15:53 | |
| Tu as massacré mes fréres gare à toi ! :gun3: | |
| | | scartapus Questeur
Nombre de messages : 174 Age : 48 Date d'inscription : 10/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 12 Sep 2006 - 16:09 | |
| oui d'ailleurs, il y a 2 armées romaines en marche sur antigone avant que les macédoniens n'ai le temps de la renforcer vengance!! :lol!: | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 12 Sep 2006 - 16:15 | |
| la chute macédonienne est pros :lol!: :lol!: :lol!: | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 12 Sep 2006 - 16:33 | |
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| | | bince6610 Sénateur
Nombre de messages : 5127 Age : 33 Localisation : Pas-De-Calais(62) Date d'inscription : 04/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 12 Sep 2006 - 18:08 | |
| Bon je me lance je vais vous raconter la défense héroïque de Siwa par les Carthaginois le contrendu sera fait par le général Ekios:
Voici 10 ans que j'ai quitté ma douce et tendre Carthage, 10 ans que je combats ses rats puants de Numides sue ordre du grand conseil de Carthage, ils n'ont pas opposés grandes résistance à ma grande déception mais je garde espoir de rencontrer un adversaire à ma taille car même leur capitale était très mal défendu Siwa leur dernière ville n'était défendu que par deux centaines d'hommes ils ne résistaire pas longtemps.
Un an que Siwa est tombée; nous espion nous indiquent que des armées Egyptiennes sont en approchent. Je fait donc des réserves de nourritures et prépare mes Hommes aux combats. Nos murailles sont faibles mais nos hommes sont valeureux. Mes espions me disent que les armées Egyptiennes sont composée de piquiers, de cavaliers et de chars : au moins 2500 hommes nos armées ont un effectif de 1000.Nous nous bâterons à deux contre un, enfin un véritable défi. Je décida de faire une sortie après avoir expliquer à mes seconds la stratégie à suivre la voici : les fantassins vont se répartir sur deux lignes ainsi que les cavaliers, les fantassins vont aller occuper les piquiers les cavaliers doivent anéantir la cavalerie ennemis.
Nous sortons aux petit matin les hommes se placent en formation comme prévus. L’ennemis est intimidé par notre manœuvre quand nos hommes se mettent à charger et à crier à toutes gorges déployées et là s’entame une furieuse mêlée les hommes tombent les uns après les autre comme des mouches. Je donne l’ordre à nos cavaliers de charger s’engage alors une formidable mêlées d’hommes et de bêtes. Après quelques minutes de combats qui nous parus des heures nous commençons a prendre l’avantage le général ennemis qui c’était tenus à l’écart de ses troupes chargea à son tour lion de démoraliser mes hommes ceci renforça leur moral est le général ennemis tombât sous nos coups. Ses cavaliers affolés par sa mort prirent la fuite laissant leurs piquiers sans protection. Nous priment leur piquiers à revers ce qui les acheva ils fuirent tous je lança donc mes cavaliers à leurs poursuite….. Pas un ne survécu.
Les Egyptiens tentèrent une guerre d’usure. Ekios fut obliger de fuir la ville après 2 ½ de résistance acharnée faisant de lourdes pertes aux Egyptiens. Ses espions l’ayant informé que Thèbes était mal défendus il marcha sur Thèbes et la pris sans grandes difficultés.
Fin. | |
| | | JulesCesar Imperator
Nombre de messages : 9188 Age : 35 Localisation : France Date d'inscription : 01/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 12 Sep 2006 - 18:13 | |
| Pas mal Par contre c'est aps juste pour les Egyptiens lol | |
| | | bince6610 Sénateur
Nombre de messages : 5127 Age : 33 Localisation : Pas-De-Calais(62) Date d'inscription : 04/09/2006
| | | | Fatman Consul
Nombre de messages : 1755 Age : 37 Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 12 Sep 2006 - 23:51 | |
| La malheureuse expédition de Bilazora
Ici est conté le périple inutile des fils de la Louve dans les lointaines terres Macédoniennes, par Flavius Julius, pere meurtris.
La rapide expansion de la République a porté les aigles romains sur de nouvelles terres : La riche Sicile aux mains des Scipii, l'Epire qui s'est offerte aux Brutii, et les contreforts des Alpes repris aux Gaulois, repoussés jusqu'au dela du Rhone par les Julii, tant de victoires qui sont montés a la tete de ses avides sénateurs grabataires. La pacification de l'Illyrie a peine terminée, ceux ci ont exigés que nous leur offrions en prime la cité de Bilazora, aux mains du roi Macedonien, déja en guerre contre Rome.
Mon fils Marcus Julius, béni des Dieux et aimé du Peuple, gouverneur d'Illyrie, leva alors des troupes en catastrophe et se mit sur la route. Il emmena avec lui 400 Hastatis et autant de tirailleurs Illyriens, ainsi que 160 gardes civils de Salona et une cinquantaine d'Equites, tous des hommes braves et attachés a leur général, mais trop peu expérimentés et bien mal équipés.
Apres une marche de plus d'une année, Marcus Julius défit une premiere armée d'un millier d'hommes sur les flanc d'une montage. Maniant sa cavalerie avec dextérité, il mit rapidement en fuite la cavalerie ennemie et tua leur général, puis massacra les peltastres et les archers, pour terminer par les onagres laissés sans defense. Il ne restait plus que les phalanges de piquiers longs qui, se voyant sans soutient, perfererent se replier honteseusement avant meme le premier choc. La moitié d'entre eux furent pris au piege par les Equites et tués dans dos par les pilums des Hastatis.
Apres cette victoire a moindre perte, le général Marcus Julius marcha sur Bilazora, sans la moindre illusion. La ville etait bien défendue et les Macédoniens ne tarderaient pas a y envoyer des renfort. Il n'envisageait que de mener un combat honorable puis de se replier, et faire porter un message au Senat lui signifiant son echec faute de moyen. Mais les perfides Macédoniens ne permirent pas cela.
A une journée de marche de Bilazora, une nouvelle armée se présenta, épaulée par les défenseur de la cité. Alors que Marcus Julius disposait ses troupes pour leur faire face, un message de ses éclaireurs lui parvint : de nouvelles troupes macédoniennes approchaient. Les trois armées ensembles cumulaient 3000 hommes contre moins d'un millier de Romains. Pour compenser cette infériorité écrasante, Marcus Julius disposa ses troupes autour d'une coline surmonté d'un bosquet. Sur une telle position défensive, il comptait leurer la premiere vague ennemie et la pousser a avancer sous les javelots.
La bataille commenca comme la précédente. Les tireurs et la cavalerie ennemie furent rapidement mis hors de combat par les charges furieuses des Equites et de la garde rapprochée de Marcus Julius. Lorsque la ligne de piquiers arriva a portée de tir des Hastatis et des Illyriens, ceux ci envoyerent un tel déluge de fer que la moitié des phalanges paniquerent et briserent leur formation, rapidement rattrapés et décimés par les cavaliers romains. Les dernieres phalanges furent rapidement isolées, défaites une par une et méthodiquement mises en fuite.
Alors que nos soldats poursuivaient l'ennemi, la seconde vague approchait, et déja leurs cavaliers chargaient nos soldats dispersés. Mis en fuite au prix de lourdes pertes, ils furent suivis presque immédiatement par les piquiers longs qui firent des ravages et forcerent Marcus Julius a operer un repli immédiat alors meme que la troisieme armée apparaissait sur le champs de bataille. Le général ennemi qui la menait, qui etait aussi l'héritier du royaume de Macedoine, crut l'armée romaine aux abois, inofensive. Il lanca une charge avec toute sa cavalerie pour exterminer les groupes de soldats romains se repliant.
Mais si l'infantrie romaine n'etait plus que l'ombre de ce qu'elle avait été, la cavalerie n'avait subit que quelques pertes minimes et, bien qu'épuisée, elle se jeta a corps perdu contre la cavalerie macédonienne pour proteger la retraite de l'infantrie. Un furieux combat de cavalerie s'engagea alors, qui vit la mort de mon fils Marcus Julius apres qu'il ait passé par le fil de son épée l'héritier macédonien. La bataille terminée, on comptait 800 morts romains et deux fois plus du coté macédonien. Mais le terrain leur était acquis, et les restes de l'armée romaine, en fuite.
Le sacrifice des cavaliers romains n'a pas été tout a fait vain. En effet les quelques soldats qu'ils ont sauvés et qui ont pu rejoindre l'Illyrie ont transmis leur savoir militaire a leurs éleves et ceux ci défirent, l'année suivant, une importante armée d'invasion macedonienne devant Segestica. Et ils m'ont également appris les circonstances de la mort de mon fils qui s'est montré jusqu'a la fin, digne de son nom et de son rang.
Je fais le serment aujourd'hui que jamais plus un Julius ne tombera pour satisfaire les envies cupides et illusoires d'un quelconque aristocrate du Sénat romain.
(Sa a été ma plus longue bataille) | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mer 13 Sep 2006 - 11:44 | |
| bravo si vous lisez jusqua la fin
La marche avait été longue et difficile depuis les rues claires de Carthage. Les régiments de piquiers maugréaient contre la folie de leurs généraux et même les cornacs ressentaient la fatigue maintenant. Au reste, comment faire confiance à ces nouveaux venus de vingt ans, brillants peut-être mais qui n´avaient jamais pris part à un seul combat ? Le souvenir du précédent débarquement à Capoue et le désastre qui l´avait suivi faisait frémir bien des cœurs, même ceux des vétérans les plus aguerris. L´infanterie royale était surentraînée, mais les Romains étaient réputés pour leur mobilité et leur cruauté sur le champ de bataille. Les quelques survivants de Carialis pouvait en témoigner, et même si le bourg sarde avait été repris, il l´avait été au prix de lourdes pertes, face à une garnison réduite. Les quelques hommes qui gardaient un peu de légèreté en allant au combat la sentirent s´évanouir en voyant les murailles de bois de Capoue. La proximité des fils de la louve se faisait sentir, et les éclaireurs signalaient des forces du sénat à quelques heures de marche. La ville devait être prise très vite.
Le jeune général, devenu l´héritier des Carthaginois après la mort de son père sous les armes romaines à Capoue, avait juré de le venger lui et son frère, disparu pendant la reconquête de la Sardaigne, tombé anonymement parmi les siens en découvrant au bout de sa charge impétueuse que des triarii s´étaient embusqués dans une rue. Il flatta l´encolure de son cheval et s´avança parmi son armée. Il ne se souvint jamais de ce qu´il avait dit avant l´assaut, comment il avait exhorté ses hommes, comment il les avait rassurés. Mais les soldats l´entendirent et se rappelèrent encore vingt ans plus tard de la façon dont leur chef les avait lancés à corps perdu dans la bataille, un voile rouge de sang devant les yeux.
Les cornacs, accoutumés à la manœuvre, firent avancer pesamment leurs éléphants qui couvrirent les phalanges, disposées en un arc de cercle, par des tirs répétés sur les hastati des portes. Bien vite, sous les défenses des bêtes aiguillonnées, le bois vola en échardes immenses et transperça bien des romains qui firent pleuvoir une nuée de javelots sur les courageux animaux. Quand les murailles s´abattirent, le général hurla son cri de guerre, et se lança le premier dans la mêlée. Ils frappèrent, les vaillants fantassins, ils taillèrent, les nobles cavaliers. Et surtout, à chaque fois que l´un d´eux semblait flancher, les paroles de leur chef leur revenaient en mémoire et ils se rejetaient dans le combat de plus belle.
Les éléphants leur ouvraient la voie et leurs longues piques empêchaient les romains de s´approcher. Enfin, alors qu´ils remontaient avec un élan devenu irrésistible d’une rue, les rangs des cruels romains s´écartèrent, et une masse indistincte de cavaliers se jetèrent sur eux. Le seul Scipion survivant, le redouté Amulius, jugé fou même par sa famille, se mêlait à la danse mortelle entamée par les deux armées. Un instant, le jeune chef carthaginois et lui se défièrent du regard, puis ils furent séparés par leurs propres troupes, et les corps à corps reprirent.
La bataille se fit incertaine, nombre de braves et bons hommes tombaient, mais les Romains, froids comme l´acier, ne s´émeuvait même pas de la mort de leurs compagnons d´armes. Enfin, le général punique s´empara de la lance d´un de ses hommes tombés et la ficha dans le ventre d´un cavalier. Le silence se fit, quand on vit Amulius lentement glisser de sa selle et s´affaisser sur le sol. Il ne fut rompu que par les cris de désespoir des Romains et les barrissements des éléphants. La panique s´empara des troupes ennemies qui refluèrent devant les Carthaginois galvanisés par cette mort.
Au petit matin, quand les hommes du sénat entrèrent dans la ville, ils ne virent qu´au dernier moment les piquiers et les pachydermes qui les broyèrent par un mouvement de tenailles et ne laissèrent que quelques survivants. Ceux-ci capturés, furent amenés devant le général victorieux, et il leur fut remis tous les insignes pris, mais voilés, avec ordre de les ramener à Rome et de les montrer au peuple.
Au champ de Mars, devant une foule médusée, parurent les aigles, naguère triomphants. Mais bien vite, sur la place, les sénateurs s´aperçurent que les volatiles avaient été grimés en vautours… Jamais plus Rome ne connaîtrait la paix tant que l´héritier vengeur serait en Italie.
2
Carialis ! Ville si petite et si disputée pour son importance stratégique ! Petit bourg où les maisons sont encore souillées du sang de ces maudits puniques ! Rien n´a pu l´enlever, même la chaux étalée sur les murs est partie… J´ai pris ces murs, j´ai mené l´assaut final jusqu´en haut de la butte. Mais aujourd´hui le doute m´assaille car j´ai vieilli. Combien de temps s´est écoulée depuis que le vieux Gracchus m´a chassé avec mission de s´emparer de la ville pour servir sa cause, même dans ma déchéance et mon exil ? Vingt ans je crois, et je ne suis jamais revenu en grâce, même auprès de ses héritiers, trop occupés à leur conquête du pouvoir et effrayés par ma réputation, sans doute. Je suis un homme fatigué, je porte les stigmates de mes batailles sur mon visage, et mes soixante ans se rappellent à moi. Ma dernière fierté est Carialis, que mes ennuis avec les chefs n´ont pas pu faire renforcer. Je dispose d´hommes grisonnants, des princeps pour la plupart, j´ai fait battre le rappel de quelques paysans, mais l´absence de vélites se fait cruellement sentir…
Carialis ! Je dois réussir ! Mon père est mort il y a deux ans déjà, et c´est ma seule chance de repasser au premier plan de l´échiquier politique. Mon frère ne viendra me renforcer que dans six mois, à sa majorité. il est prometteur, mais jeune. Si j´échoue aujourd´hui, je peux dire adieu aux honneurs. Et je n´ai qu´une milice urbaine à peine dégrossie pour épauler mon infanterie ibérique. Pas plus de cinq cents hommes, voilà ce que le conseil a jugé suffisant pour prendre une place forte commandée par le plus grand des généraux romains. Vieux, et furieux contre sa famille, mais le vieux lion peut compter sur son petit millier de soldats de métier pour le défendre avec bravoure. Je ne dispose que d´un bélier, s´il dispose d´archers puissants, même la muraille de bois sera infranchissable…
J´ai en face de moi un jeune loup qui veut s´imposer dans son conseil de grabataires. Quelle ironie ! je ne me trompais guère ! Cette ville a une importance tactique très grande, mais sur un plan purement politique. Une sortie ne servira à rien. je vais masser quelques princeps devant les portes pour l´empêcher de les franchir trop facilement. Je les soutiendrai avec les paysans et les gardes civils. Quand je dis soutenir, ce sera plutôt l´inverse, mais il faudra attendre qu´ils remontent la pente pour lancer ma charge.
Vais-je leur faire un discours ? Oui, sur leur vaillance, sur la haine qu´il faut vouer aux Romains, ces maudits, qui nous ont volés cette ville et y ont tué leurs pères. Des mots creux ! Ils ne leur serviront pas à grand-chose quand ils connaîtront pour la première fois la mêlée ! J´ai emmené des troupes pas plus vieilles que moi à la boucherie pour satisfaire mes ambitions ! Que suis-je donc ?
Plus le moment d´haranguer mes vétérans. Je dois agir. Déjà, les autres commencent d´enfoncer le portail. Si je les repousse, il faudra penser à le réparer vite, ils ne laisseront pas passer un tel affront. Voilà, les princeps ont lancé leurs pilums. Quelle vision atroce de la vieillesse ! La moitié n´ont pas eu assez de forces pour les jeter au-delà des ventaux. L´autre n´a pas dû faire plus d´un ou deux morts chez mes adversaires. Voilà qui va galvaniser mes ennemis et décourager mes propres troupes.
A quoi joue le vieux lion ? Il m´oppose ses meilleures troupes devant la porte, sans tirailleurs pour les soutenir, et ceux-ci ne peuvent même pas jeter un pilum ? ! Je vais lancer un assaut plus frontal, pour tester l´endurance des ennemis, mais je garde la moitié de mes forces en réserve pour contenir une éventuelle contre-attaque. Voilà, ils sont passés ! Le combat s´engage, il y a beaucoup plus de monde que je ne pensais. Je charge à la tête de mes cavaliers. Debout, debout, fils de Moloch ! Je vous mène jouer avec votre père le dévoreur d´âmes !
Il a enfoncé ma première ligne avec facilité. Mes princeps n´ont pas pu lui opposer de vraie résistance. Quelle catastrophe ! Je suis forcé d´aller les aider avant même que les réserves adverses ne se soient engagées. Le combat ne va pas tarder à mon avantage. Ah, il a fait volter sa garde, il se réservé pour une nouvelle charge. Ma foi, s´il veut ménager ses bêtes, il va être déçu ! En avant, en avant, cavaliers ! La mort nous attend, nous et nos assaillants !
Que fait-il ? Seul un fou chargerait maintenant ! A moins que… à moins qu´il n´ait pas d´autre ressource ! Je dois l´avoir affaibli plus que je ne pensais. Les Ibères se portent déjà à sa rencontre, mais je dois les appuyer, sans quoi, ils se feront écraser ! Moi qui pensais épargner les montures pour une charge vers le sommet de la colline… Nous sommes furieusement engagés, il se retire, ses princeps me chargent, je dois laisser mon infanterie les bloquer pour les prendre à revers.
Il balaye systématiquement mes défenses. Il ne va bientôt plus trouver de résistance. Tant pis, je réserve l´ensemble des troupes survivantes et les débris des autres unités sur la place. Je dois abandonner les autres, qui tentent déjà de refluer et sont pris au piège par sa cavalerie qui les a contournés.
Nous sommes maîtres des murs ! Je… Aaah ! Un des derniers princeps luttant m´a jeté son pilum dans les côtes et seule mon armure m´a évité la mort. Mais il tombe sous les coups comme les autres, mes troupes se réorganisent et entreprennent de gravir la butte. Je m´attends à chaque instant à une contre charge mais rien. Enfin, nous arrivons au sommet de l´oppidum et le combat reprend de plus belle. Ses hommes sont moins fatigués mais leur moral est mauvais tandis que les miens semblent inspirés par Baal tout puissant. Au loin, vers la mer, j´aperçois de la fumée. C´est le signal ! Mes galères ont coulé celles qui amenaient du renfort au vieux lion. Carialis peut tomber maintenant ! Rien ne s´opposera à mon ascension dans le conseil !
Il ne s´en est pas rendu compte, mais il m´a frappé au foie tout à l´heure. Il me l´a sans doute crevé et je meurs à petit feu. Je ne vivrai pas pour voir la cité, mon orgueil, anéantie. Je me rue au combat, insensible maintenant à l´âge qui engourdit mes membres. A peine si je sens le pilum d´un des princeps lancé maladroitement me transpercer la nuque. Je m´abats lourdement, pour ne plus jamais bouger.
La victoire est acquise, le lion est mort, tué par ses propres troupes. Une dernière charge par derrière pour leur briser le moral définitivement et c´en est fini d´eux. Mais que ? Mon cheval roule sous moi, s´effondre, je suis projeté au sol, ma jambe se rompt, je vois le soldat s´approcher pour m´achever… Dans un nuage rouge, je le vois s´écrouler, la tête en sang, le crâne brisé par un coup de sabot, l´épée en avant, pointée vers ma poitrine, à l´endroit même où la cuirasse m´a sauvée il y a quelques minutes. Je pense à mon frère dans un râle d´agonie. Vont-ils le tuer et briser mes espoirs de triomphe ? Ou saura-t-il s´imposer et faire admettre mon projet de, continuer l´œuvre de mon père. Aaah ! Charon, engloutis-moi, je ne peux plus supporter cette douleur !
3
Aaah ! Mon cri déchire la nuit et je m’éveille de mon cauchemar, suant encore à grosses gouttes. Voilà bien vingt ans que je ne m’étais pas affolé d’un rêve. Frissonnant de terreur et de froid mêlés, je sors faire quelques pas en-dehors du camp. Je veux être à tarente dans deux jours au plus tard. Mes éclaireurs ne cessent de me répéter que les débris du raid romain sur thermon ont été renforcés et menacent mes arrières. Mais devant des murs, ces cavaliers nés n’auront pas une chance, comme je l’ai amplement prouvé lors de leurs incursions répétées de ces cinq dernières années. Tout à mes pensées, je me rends compte avec stupeur que des feux brillent à moins de cent pas devant moi. Ils devaient être si près avant de les apercevoir. A pas de loup, je m’approche encore un peu et perçoit des paroles rocailleuses bien éloignées de ma langue… Les romains ! Ils doivent nous encercler ! Oubliant toute prudence, je me précipite vers mon campement que je n’ai pas fait fortifier. Des flèches sifflent à mes oreilles, tintent sur un objet métallique… Je le ramasse, découvre que c’est un casque, m’en coiffe et plonge, ainsi protégé, vers les tentes. Mes ennemis tournent bride et regagnent leurs positions. Réfugié sous un abri précaire de toile, j’ôte le heaume qui recouvre mon chef et l’examine avant de réprimer un frisson. Ce casque, que j’ai cherché pendant plus d’une journée dans ces environs, il y a un quart de siècle, dont j’ai trahi le porteur, m’a bien ironiquement sauvé de la mort, se casque qui avait appartenu a un traître de la garde de mon père qui a presque réussi me tuer durant une bataille. Les trompettes sonnent pour appeler les hommes au combat, mais je reste assis, perdu dans mes souvenirs. J’étais jeune alors, et les romains je ne connaissais que de folles rumeurs, qui les prétendaient mi-hommes, mi-métal, les descendants des titans. A mes yeux, seuls comptaient les derniers grecques que je traquais. Leur roi, vaincu par le chef des armées latin, mon père, pris à revers par Scipion, s’était replié hâtivement vers Syracuse et, chassé de sa ville par une rébellion, tentait de gagner thaphus avec les derniers deux mille hommes qui lui restaient fidèles. Scipion, lui, était devenu une légende vivante après son action d’éclat à la tête d’une légion vouée à la mort.
J’émerge enfin de ma tente. J’enfourche ma monture, adresse quelques mots à chacun.
Revenant à la bataille, je prête l’oreille à une estafette. Hannon, en garnison à thaphus, est parti me rejoindre avant-hier. Si je tiens une heure… Je prends la tête et nous faisons de notre mieux pour repousser les insaisissables romains. Une heure passez, deux, trois…Mais qu’attend celui que je nomme au plus profond de mon cœur, mon fils ? Nous cédons peu à peu, et la marée romaine nous recouvre. Mes capitaines meurent les uns après les autres et mes soldats ne relèvent pas la tête quand j’abats le général ennemi. Enfin vient le nuage de poussière tant attendu ! Mon fils chevauche dans le soleil, accompagné de… (Ma poitrine se glace soudain) du traître réapparu je ne sais comment… Il semble attendre quelque chose avant de charger. Je l’appelle, mais ma voix ne domine pas le tumulte. Soudain, une flèche me perce, traverse la fente du casque et me crève l’œil. Alors seulement, Hannon charge.
Après la bataille, lui et son compagnon me cherchent parmi les corps. Enfin ils m’aperçoivent. Mon fils sourit mais pas tant que celui qui caracole à ses côtés! Alors que le garde tire un long couteau de sa ceinture, je pense à Hannon : sa mère lui dira peut-être… | |
| | | bince6610 Sénateur
Nombre de messages : 5127 Age : 33 Localisation : Pas-De-Calais(62) Date d'inscription : 04/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mer 13 Sep 2006 - 11:52 | |
| C'est un véritable roman ton truc. | |
| | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mer 13 Sep 2006 - 12:25 | |
| et c'est que le debuts :lol!: sinon il est bien | |
| | | bince6610 Sénateur
Nombre de messages : 5127 Age : 33 Localisation : Pas-De-Calais(62) Date d'inscription : 04/09/2006
| | | | vazili vai sef Edile
Nombre de messages : 327 Age : 31 Localisation : devant mon ordi parce que derriere c'est pas logique Date d'inscription : 11/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Jeu 14 Sep 2006 - 20:30 | |
| peut-etre un roman :lol!: | |
| | | Lio7 Hetwarthoe madr
Nombre de messages : 7852 Age : 41 Localisation : Normandie Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Lun 16 Oct 2006 - 11:30 | |
| Je vous oublie pas les gars ! | |
| | | Vinche Consul
Nombre de messages : 859 Age : 34 Localisation : Suisse Date d'inscription : 12/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Lun 16 Oct 2006 - 18:40 | |
| Je vais vous contez l'histoire du vaillant Flavius Julius chef de faction des puissants Juliis. Il venait de conquérir toute la partie sud de la gaule après plusieurs batailles qui se sont terminés sur une victoire éclatante pour lui. Alors il décida de continuer son chemin et de combattre une armée gauloise composé d'épeiste sur la coline. Aujourd'hui est un grand jour, dit flavius, nous allons écrasés cette troupe royal ! En effet parmi les épeiste se trouvait Flaminix le roi et le plus grand stratège gaulois depuis longtemps. Alors Flavius décida de mener une grande charge sur le fland de l'armée gauloise. Il charga contre le mur de pique et il creva.
FIN
Qu'en avez vous pensez ? pas mal non ? ^^ | |
| | | bince6610 Sénateur
Nombre de messages : 5127 Age : 33 Localisation : Pas-De-Calais(62) Date d'inscription : 04/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Mar 17 Oct 2006 - 17:32 | |
| Sa manque de détails sur le déroulement de la bataille mais c'est un bon début. | |
| | | Vinche Consul
Nombre de messages : 859 Age : 34 Localisation : Suisse Date d'inscription : 12/09/2006
| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées Jeu 19 Oct 2006 - 16:16 | |
| J'ai écris cette chose en 2 minutes | |
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| Sujet: Re: [RTW] Batailles romancées | |
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| | | | [RTW] Batailles romancées | |
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