[RTW] Batailles romancées

Applique toi Vinche stp j'aimerais tant lire une histoire

Allez on se lance

Postez vos récits, ils seront si vous voulez sur le site !!

Ca c'est une bonne initiative

Bas y'a un moment que c'est dit, suffit d'aller voir dans la catégorie "récits" du site

Ma campagne que j'avais ecrite sur JV

moi c´est pas vraiment une histoire, mais plutot la décadence de mon empire avec la Maison Julii en campagne :


J´avais conqui l´Espagne, la Gaule, j´avais Kydonia, Rohdes, Halicarnasse, j´avais aussi Londinium, , Acquincum et autres grandes villes, comme Carthage ...

Malheuresement je n´ai pas pu avancer plus loin que Carthage, et Acquincum, J´ai désobei au Sénat, mes armées étaient toutes éliminées, je n´avais plus beaucoup de pièces d´or, j´avais utilisé mes dernières armées pour envahir les restes de la grande ile ou j´avais cette belle ville, apelées Londinium , puis je voulais aussi bien envahir Damme, j´essayait pendant 4 ou 5 ans des les envahir mais en vaint, ces 2 villes me réstèrent toujours et encore, j´ai perdu Londinium après avoir envahit la ville de Eburacum, puis Damme m´a envahit Batavodurum, puis Maison Scippi m´a pris Carthago Nova, des revoltes ont eu lieu a Numance, et les rebelles ont pris celle-ci... Il me restait peu d´armées et plus beaucoup d´or, il me fallait prendre Rome, la plus belle ville de ce monde, avec la petite armées qu´il me restait. Je savais que nous n´avions pas beaucoup de chance de gagner, mais je misait le tout pour le tout, il me fallait Rome !! J´ai donc emmené mes dernières force a Rome, j´utilisait l´or qu´il me restait pour mettre en place enjin de siège, cavalerie, archer, et infenteries.

après une 4semaine de marche avec mon armée, nous arrivions a Mediolanum, ici nous engagèrent des paysans pour le siège de Rome, nous passèrent aussi a Segeste, pour agrandir notre armée, puis a Patavium, a Arminium, et a Arretium, enfin, je sais que mon armée n´était point suffisante, puisque Rome pouvait compté sur ses renfort : Maison Brutti et Maison Scippi.

Nous arrivèrent a Rome après 2jours de marche !

La nuit tombait , mes troupes étaient fatigués, je décida d´installer un camp, afin que mes troupes se reposent.Le lendemain, enfin je placait mon armée, archers devant, infenteries en arrière, armes de siège bien en avant, cavalerie bien en arrière, j´envoie mes armes de siège, des tours, des beliers échelles, et autres ...

Mes beliers ne tenèrent pas très longtemps, repoussé par les archers évidemment. Mes tours arriverent enfin aux murs de Rome et les échelles aussi nous pouvions entré dans Rome, nous déffoncions la porte grace a un dernier belier, ainsi tout le monde pouvait passer, bien sur d´abord les paysans pour affaiblir l´armée puis l´infenterie, les chien et la cavalerie, nous allions prendre Rome !J e trouvais étrange que la Maison Brutti et Scippi n´était pas la !

J´entendait des pas malgré tout les bruits des morts et d´armes en colision ...

C´était les renforts !

Ils nous avaient donc pris en sandwich par le flan droit et par le flan gauche !J e décidais d´abandonner l´invasion et de repartir dans un endroit éloigné de Rome, je ne voulais pas que mes hommes meurent par ma faute !

je partis donc a Alésia, malheuresement quand j´y arrivais ...




Ces barbares de Britons a qui j´avais pris Londinium, qui me l´avaient repris 2ans après m´avaient pris Alésia !J ´appris par la suite que d´autres barbare, ces Germains, sans coeurs, sans sentiments, avaient fait une alliance avec les Britons, et m´avaient pris Samarobriva, Mogontiacum , Condateronum, et Limonum!

J´allais donc me réfugier a Acquincum, pour partir ensuite envahir le Campus Iazyges puisque j´étais repoussé ...


Cela faisait 1an que j´avais éssayé d´envahir Rome, 3ans que j´ai perdu toute la Gaule, 4ans que j´ai perdu l´Espagne, 2mois que j´ai perdu Halicarnasse, 8mois que j´ai perdu Rhodes, et 10mois que j´ai perd Kydonia...

Cela m´est insupportable maintenant !

J´expliquais a mon armée qui s´était reformé au fil du temps, que nous allions envahir tout d´abord Porrolissum, ensuite Tylis, puis Bylazora, Byzance, puis Nicomedie, construire un port a Byzance, pour ensuite envahir la grande ville nommée ainsi Sparte !!


Nous partime donc envahir avec mon armée envahir toute ces ville puis, 6ans après nous arrivament a Sparte, mais je me faisais vieux j´avais plus de 56ans maintenant, mais je pouvais encore et toujours continuer a commander, puis mon fils prendera la relève !

Nous arrivèrent donc a Sparte, nous nous formions !
Cette ville n´avait point de mur, donc plus facile a envahir !

J´envoyais tout d´abord mes chiens de guerre, ensuite mes paysans, puis l´infenterie !

les paysans et les chiens avaient fait du bon boulot, malheuresement aucun d´eux ne surviva !

J´envoyais alors l´infenterie et la cavalerie, je me lanca avec eux, ce fut une rude bataille a l´entrée de cette ville ....

Nous arrivames au centre, des piquiers étaient poster en carré, je disais a mes troupes de ne pas avoir peur et je leur disa ma citation :

"N´oubliez pas que votre nom sera gravée a jamais dans l´histoire et que vous serez héros dans mémoire de nos futurs famille !! "

Mes troupes attaquèrent donc sans peur ...

Beaucoup de pertes eurent lieux jusqu´a que ...


Un homme, un paysan Sparte !
Me passit son glève dans mon bras !

Mon fils le tua par la suite, mes troupes avaient gagné et pris Sparte !

Je disa a mon fils de prendre la relève, de ne pas pleuré, d´etre fort, puis je partis dans le royaume des ames perdus ...

"Je suis le fils de votre ancien Général, il était fier de vous, il vous a toujours fais confiance !J e sais que l´on se battera a coté pour toujours, nous sommes Romains !! Nous sommes braves, nous allons envahir la ville dont mon père a toujours révé : Athènes !! !!"

Mes troupes crièrent de joie ...

Nous partimes donc a Athènes, mais juste avant un méssager m´informa qu´il ne restait plus rien de ce qu´il avait conquéris :

Bylazora, Byzance, Nicomedie, Porrolissum, Campus Iazyges, Acquincum, Arretium, Segeste, Arminium, Luvavum, Lugdunum, Mogontiacum, toute la Gaule, toute l´espagne et autre ...

avaient été detruit par des rebelles, britons, germains, Maison Brutti et Scippi et autres ...

La haine s´emparait de moi ...

Je décida de retirer mon siège d´Athènes, de retourner a Rome avec les forces qu´il me restait, de faire une attaque surprise !!

6Mois après, j´arriva enfin a Rome !


Je placais tout, mais je voyais bien que nous n´étions pas assez nombreux ...

Je detruisa les murs avec les armes de siège, cette guerre fut térrible, les renforts Scippi et Brutti arrivèrent nous nous défendimes ...

puis ... mon armée avait été rasé ...je me soumétta aux Sénat et me fut éxécuté en sachant que Sparte et toutes* les autres villes furent prises par maison Scippi et Brutti, j´appris aussi qu´a l´invasion de Rome j´avais causé beaucoup de dégats, mais aussi de perte ... plus de 150 000 morts...

Je fit éxécuté le meme jour que le Christ...



"Repose dernier déscendait de Maison Julli"


Toutes*: Je ne veux pas dire toutes les villes, je veux juste dire toute les ville que Maison Julli avait conquérit ...



Merci a tous ceux qui ont lu et les autres



Et bonne nouvelle, apres 10mois sans RTW, j'me le suis racheter :pirat: C'est pas beau ca ? Pour mon annif

Sur la campagne je compte envoyer 5armees des le debut >>>

Une partira au nord pour les Britons et Germains

Une partira pour l'espagne et les Gaulois

Une partira pour attaquer le sud de la Grece

Une partira pour attaquer le NORD de la Grece


Peut etre une pour l'Afrique, moins sur ...

C'était un jour dont je ne connais pas la date, j'était un capitaine comme un autre asigné à la défence de Romer si rarement attaqué. Mais étrangement des gaulois avaient réussis à se glisser jusqu'à ses majestueux murs sans être repérés. Mes troupes n'étaient pas bien vaillantes, elles ne s'étaient jamais battues, les gaulois, eux aussi, ne parraisssait pas avoir été entraînés à des durs combats, leurs angins de sièges étaient la prêts à servir. Puis ils effectuèrent une manoeuvre astucieuse, leur généraldevait être instruit. Les archers situés dans les tours leur assènerent quelques volée sans que je n'ai eu à leur ordoner, c'est bien imaginé! Puis il partirent. COUPER c'est pas ce qu'il est mis dans le scénario! Pourquoi les figurants se tirent?
Désolé j'ai pas de screen, ma prise de vue de Gaulois assiègeant Rome a raté, ils se sont cassés mais j'ai ça : XD

http://img461.imageshack.us/my.php?image=gcs0028fn6.jpg
Les Gaulois repartent de la ou ils sont venu, après avoir vu les murs de Rome, ou bien comment avoir une victoire héroîque en se tournant les pouces.

:Bravo: les gars

J'ai hate de jouer les Brutii

la resistance macedonienne



La Troisième guerre de Macédoine avait commencé en 172 av. J.-C. à la suite des initiatives politiques de Persée en Grèce, où il tentait avec un certain succès de présenter la Macédoine comme un utile contrepoids à l'influence romaine toujours plus envahissante : en 174 av. J.-C., il avait ainsi approché la Ligue achéenne et surtout conclu un traité d'alliance avec la Béotie. Sans trahir les clauses du traité de 197 av. J.-C. qui interdisait toute intervention macédonienne en Grèce, cette politique avait suffisamment inquiété le Sénat romain pour qu'il ait envoyé de nombreuses ambassades en Grèce, puis finalement, suite à une plainte formelle de l'allié fidèle Eumène de Pergame en 172 av. J.-C., pour qu'il ait décidé la guerre.

Les débuts de la guerre furent laborieux pour les Romains. Les Grecs montrèrent une réticence certaine à s'engager et n'envoyèrent que de très modestes contingents. Rhodes en particulier se distingua par sa mauvaise volonté, qui devait lui coûter cher. Eumène lui-même, trop occupé par la menace galate, aurait envisagé une solution négociée du conflit, et la rumeur de ses contacts avec Persée lui valut par la suite la mauvaise humeur de Rome. Les Romains enregistrèrent de plus en 170 av. J.-C. la défection d'une partie de l'Épire, ce qui entraîna des complications logistiques importantes pour le ravitaillement de l'armée romaine opérant en Thessalie. L'année suivante, en 169 av. J.-C., ce fut le roi d'Illyrie, Genthios, qui fit défection à son tour.

Sur le terrain, la situation n'était pas meilleure : après des succès initiaux les conduisant jusqu'en Macédoine méridionale, les Romains furent repoussés par Persée qui leur reprit le centre religieux important de Dion et établit ses lignes de défense sur le fleuve Elpeus, la frontière naturelle entre la Thessalie et la Macédoine.


Manœuvres préliminaires à la bataille [modifier]

Ordre de bataille à PydnaLes Romains décidèrent alors d'envoyer un des consuls de l'année, Lucius Aemilius Paullus (plus connu sous le nom francisé de Paul-Émile) prendre la relève du commandement. Pour obliger Persée à abandonner ses positions, Paul-Émile détacha une partie de son armée (8 200 fantassins et 120 cavaliers) sous le commandement de Publius Cornelius Scipio Nasica vers la côte pour faire croire à Persée que l'armée romaine tenterait une manœuvre de débordement. Mais en fait, la nuit, Scipion conduisit son armée vers le Sud et franchit les montagnes vers l'Ouest des armées romaines et macédoniennes. Il s'éloigna jusqu'à Pithium puis obliqua vers le Nord-Est de façon à prendre les Macédoniens à revers.

Persée fut toutefois averti de la manœuvre par un déserteur crétois de l'armée romaine, et il envoya Milo à la tête d'un contingent de 12 000 hommes bloquer la route d'approche de Scipion. Le combat qui s'ensuivit vit la défaite des Macédoniens qui battirent à retraite, ne laissant d'autre choix à Persée que d'abandonner ses positions. Il marcha donc vers le Nord et installa de nouvelles positions près de Katerini, un village au Sud de Pydna. Le terrain était favorable au déploiement de la phalange :

« Le champ de bataille était une plaine, appropriée aux évolutions de la phalange, qui exigeaient un sol plat et uni, et adossée à des collines, qui, tenant l’une à l’autre, offraient aux soldats d’infanterie légère et aux archers des abris, avec le moyen d’envelopper l’ennemi. Au milieu coulaient deux fleuves, l’Eson et le Leucos, peu profonds en cette saison, car on se trouvait au déclin de l’été, mais qui paraissaient cependant devoir causer quelques difficultés aux Romains » (Plutarque, Vie de Paul-Émile, 15)

Paul-Émile attendit le retour des forces de Scipion, tandis que Persée déployait les siennes dans l'attente d'une attaque de ce dernier en provenance du Sud. Lorsque les armées romaines arrivèrent de l'Ouest, le 16 juin, elles trouvèrent l'armée macédonienne en ordre de bataille dans la plaine, mais tournée vers le Sud. Cependant, les troupes étant trop fatiguées par la marche pour profiter de l'opportunité, Paul-Émile fit établir un camp sur les collines au pied du mont Olocrus.


Les forces en présence [modifier]
Les deux armées étaient de forces comparables. Les Romains comptaient au total environ 39 000 hommes, dont 26 000 légionnaires et fantassins lourds assimilés répartis en deux légions, 4 000 cavaliers (dont 1 200 Italiens), et 22 éléphants. Les seules troupes grecques au service de Paul-Émile étaient des Crétois. Paul-Émile disposait également d'une flotte menaçant la côte voisine et pouvant au besoin débarquer une infanterie de marine sur les arrières des Macédoniens.

L'armée macédonienne quant à elle atteignait un total légèrement supérieur, de 44 000 soldats environ. La cavalerie était comparable en effectif à celle des Romains, soit 4 000 cavaliers, se décomposant en 2 000 cavaliers lourds macédoniens répartis en 10 escadrons (l'agêma, deux escadrons sacrés et sept escadrons royaux ; 1 000 cavaliers légers macédoniens, archers montés et lanceurs de javelots (akontistes) ; et 1 000 cavaliers thraces odryses sous le commandement de leur roi Cotys. Persée avait entraîné sa cavalerie à combattre des éléphants à partir de maquettes grandeur nature. De même, une unité d'infanterie avait été spécialement formée et équipée pour combattre les éléphants.

L'infanterie macédonienne comprenait 3 000 peltastes regroupés en deux Gardes royales, et 21 000 phalangites, probablement répartis en 14 phalanges. Contrairement à la formation habituellement adoptée, Persée les avait rangés sur 32 rangs de profondeur au lieu des 16 habituels. Cette infanterie avait subi l'entraînement intensif nécessaire à ce type de formation, mais manquait cruellement d'expérience : l'armée macédonienne n'avait en effet pas connu de bataille de phalanges depuis la défaite de Cynoscéphales en 197 av. J.-C.. L'infanterie non macédonienne comportait 2 000 peltastes, et 10 000 soldats de garnison de diverses origines ethniques, Illyriens, Péoniens Agrianes, Galates, et Thraces.

Chaque général avait disposé son armée en plaçant au centre l'infanterie lourde (phalange et légions), protégée sur les deux ailes par l'infanterie légère et un corps de cavalerie. Dans le cas macédonien, l'aile droite était, conformément à la tradition, la plus forte : Persée y avait pris le commandement de l'escadron royal et c'est de côté aussi qu'était postée la cavalerie thrace.


La bataille [modifier]
« Le sort de cette grande bataille fut réglé aussi vite que possible ; car, ayant commencé de se battre à la neuvième heure, les Romains furent victorieux avant la dixième ». (Plutarque, ibid.)

La bataille ne s'engagea qu'au milieu de l'après-midi, le 22 juin (la date est connue par une éclipse de lune la nuit précédente mentionnée dans les sources), pour des raisons qui ne sont pas clairement établies. Selon Tite-Live, c'est une escarmouche provoquée par des Thraces au sujet d'un cheval échappé des lignes romaines vers le camp macédonien qui entraîna la bataille. Pour Plutarque, ce cheval était un stratagème imaginé par Paul-Émile pour provoquer les Macédoniens au combat. Il faut probablement voir dans cette anecdote une version romancée d'un affrontement entre détachements de reconnaissance qui dégénéra jusqu'à impliquer les deux armées tout entières. Elle est probablement rapportée par les témoins de la bataille, puisqu'on s'accorde à reconnaître cette scène sur une des faces de la frise du pilier de Paul Émile à Delphes (voir ci-dessous). L'engagement préliminaire mit aux prises environ 700 Ligures côté romain, et 800 Thraces, côté macédonien.

Les deux armées sortirent alors de leur camp respectif, l'armée macédonienne étant la plus prompte à se déployer. Selon les calculs de N. Hammond, la ligne de bataille occupait une longueur totale de 3,5 km, la phalange au centre s'étirant sur 1,5 km. Aussitôt en position, la phalange chargea les lignes romaines encore non formées : Paul-Émile devait garder le souvenir de la crainte qu'il ressentit à voir s'avancer ce mur apparemment impénétrable de piques (voir Polybe, 29,17 et Plutarque, Vie de Paul-Émile, 19,2).

Les deux centres des armées entrèrent en contact vers 15 heures, et le choc initial ne put être contenu par les Romains, particulièrement sur leur aile droite, où leurs alliés Pélignins et Marrucins refluèrent. Mais le succès même de cette charge initiale de la phalange causa sa perte, car progressant sur les pentes du coteau auquel était adossée la ligne romaine, elle fut désorganisée par les accidents de terrain. Voyant l'avantage qu'il avait à en tirer, Paul-Émile ordonna aux légions de ne pas combattre en ligne, mais en manipules, et de charger dans les brèches ouvertes dans le front de la phalange par sa progression inégale. Une fois qu'ils réussissaient ainsi à contourner le hérisson des sarisses, les légionnaires étaient des fantassins beaucoup plus efficaces au corps à corps que les phalangites, car mieux armés (avec un bouclier et une épée plus grands) et mieux entraînés au combat à l'épée.

Alors que le centre de la phalange était ainsi éprouvé par les effets combinés de la désorganisation due au terrain et de la contre-attaque romaine, Paul-Émile ordonna à ses éléphants d'entrer en action sur l'aile droite en appui d'une attaque de cavalerie contre l'aile gauche macédonienne : celle-ci fut mise en déroute, les chevaux macédoniens paniquant face aux éléphants, tandis que les tactiques prévues contre les éléphants échouaient, et l'aile gauche de la phalange se trouva ainsi prise à revers. Les 3 000 soldats d'élite de l'agêma résistèrent jusqu'au dernier homme et furent massacrés, pendant que la cavalerie macédonienne fuyait vers l'aile droite derrière eux. L'encerclement de l'armée macédonienne fut bientôt complet, tandis que Persée parvenait à s'enfuir avec presque toute la cavalerie vers Pydna.

À la tombée de la nuit, les morts macédoniens se comptaient au nombre de 20 à 25 000 : les phalangites qui avaient réussi à rompre l'encerclement vers la côte furent massacrés sur les plages par l'infanterie de la flotte romaine. Les jours suivants, les Romains rassemblèrent 5 000 fuyards macédoniens puis 6 000 autres à Pydna, qu'ils vendirent comme esclaves, partie intégrale du butin de l'armée. L'infanterie lourde macédonienne venait d'être littéralement annihilée

Ca y est j'ai commenceé mon récit illustré !
Jules tu le mettras sur le site j'espére

Osca en 250 Av J-C.

Le Cavalier Carthaginois arriva dans la grande salle du palais qui avait été aménagé pour l’occasion avec les trésors récupérés sur les Romains. Le Roi assit sur son trône le visage grave, marqué par les nombreux combats menés contre Rome durant tout sa vie. Hasdrucar qui est le descendant direct de Baal posa les yeux sur ce cavalier marqué pas 5 ans de captivité romaine. Aux pieds du roi se trouve Manius Julius neveu de Gaius Julius chef de Rome. L’on demanda au cavalier du nom de Cartdall de compter son récit.
Il commença avec une voie mal assuré.
« C’était il y a 5 ans, mon Roi, nous étions ici même, avec votre fils Bukkar prêt à repousser l’assaut romain nous étions un peu plus de 1000 braves. En face les Romains étaient 1500 et bien équipé. Ils assiégeaient la ville depuis 6 mois, nous aurions pu encore résister longtemps, alors ils lancèrent l’assaut. Les Romains avancèrent avec 1 béliers 2 échelles et une tour de siège ils nous bombardés aussi avec des catapultes. Les 3 unité de mercenaires étaient postés sur les remparts avec leurs arcs ainsi que 5 unités de garde puniques votre fils et moi même avons mit le pied à l’étrier et attendions sur la place avec 2 unités de cavalerie royale »
« Ou étaient postés l’infanterie royale ? demanda le Roi grand adepte de stratégie »
« Devant la porte en formation de phalange. »
« Ma fois je pense que j’aurais agis de la sorte »
« Une fois que nous étions en place Bukkar demanda le tire des archers avec des flèches enflammées pour brûler leur bélier chose qui se produisit, mais en même temps les échelles et la tour de siège étaient sur nos murs alors la garde punique se mit en place prêt à les repousser. Le combat fit rage sur les murs, les archers continué à tirer sur les unité romaines resté devant les remparts, l’artillerie ennemie avait détruit le corps de garde, et mit le feu à une partie de la ville. Nous somme parvenues a repoussés les ennemis de nos remparts mais leur artillerie avait défoncé la porte alors la bataille se propagea à l’entrée de la ville l ‘ennemis avança en nombre et dut faire face a la fine fleur de notre armée, en formation de phalange, mais malgré cela, malgré le feu malgré tout ce qui fût mit en œuvre les romains avancé inexorablement de plus nos archers étaient presque à cours de munition, mais heureusement pour nous l’artillerie ennemie aussi. C’est alors que se produisit le drame, un de nos murs où était posté une unité de garde punique s’effondra emportant avec lui ces braves soldats. L’armée Romaine envoya alors ça cavalerie par cette brèche et put prendre à revers notre garde royale mais cela dit, le combat n’était pas perdu toutes les troupes encore vivante sur les murs descendirent combattre dans les rue. Votre fils prépara ces troupes pour porté l’aide aux soldats mais l’armée romaine prit le dessus avec une vitesse déconcertante, non pas par manque de bravoure de nos unité, mais à cause du nombre d’ennemis. Les unité de la garde royale se trouvé isolé et entouré par l’ennemis et tua nombre de romains avant de disparaître une par une. Alors on proposa à Bukkar de fuir par la porte de Sud et de rejoindre Numance pour se réorganiser et revenir ici plus tard et alors il prononça cette phrase que je n’oublierais jamais. « Croyez-vous qu’ fuyard est digne d’être un héritier du trône, croyez-vous qu’un fuyard est digne d’être le fils de Baal, Croyez-vous qu’un fuyard est digne d’être un carthaginois !!! Nos frères de sang n’ont pas fuis, ils sont morts l’arme à la main !! Je ne suis qu’un prince, mais le jour ou je deviendrai Roi, croyez-vous que je serais digne de l’être après avoir fuis ici !!! » alors il se tourna vers nous brandit son épée et cria « Mes frères, mes amis, aux combats, à la mort, pour Carthage !!!! » et il lança son cheval et nous avec droit sur les romains qui s’était regroupé devant la porte Nord l’impact fut d’une violence sans égal on tua des centaines de romains certains prenait la fuite devant notre fureur, mais le destin de votre fils devait être tragique car il moura au plus profond de la bataille isolé aux milieux de romains mort, blessés, vivants. Quand il tomba nous étions presque au niveau de la porte, alors les Romains reprirent le dessus et nous furent prisonniers. Voilà l’histoire mon Roi »
Un long silence s’installa dans la Grande Salle le Roi, semblé soulagé d’apprendre que son unique fils étaient mort en héros.
« Bien, aujourd’hui fut une longue journée, nous avons vaincu les Romains et libérer Osca, néanmoins elle n’est pas finit ce soir nous célébrerons la victoire mais aussi la mort de mon fils. Que tout le monde sache comment est mort l’Héritier du trône !!! »
Sur ceux il se leva et déclara à mort Manius Julius qui fut exécuté le lendemain. Carthage gagna la bataille et la guerre mais pas sous le règne de Hasdrucar, ce dernier mourrait 6 ans plus tard, mais sous celui du fils de Bukkar, le bien nommé Cartal qui eu le plus long règne de l’histoire de Carthage.

:Bravo: :Bravo:

Burdigala 380 Ap J-C (c'est dans BI)

Chapitre 1: Les 2 armée face à face

L'Empire Romain d'Occident assiège la forteresse. Nous sommes a l'interieur. Le général ordonne de formé un mur de bouclier devant la grande porte.
Les deux regiments d'archers était placé sur les remparts.deux regiment d'infanterie etait sur les remparts pour proteger les archers car il avait des echelles.

Chapitre 2: Debut de la bataille

Le general romain ordonna au belier d'aller defoncé la grande porte et les echelle se dirigaient vers les remparts. Notre general ordonna au archer d'emflammer les fleches pour bruler le belier, les archers tirâme sur le belier. A 10 metre de la porte le belier s'emflamma. Les archers ne purent empecher les echelles de ce mettre en place sur les remparts.
Notre general ordonna aux archers de garder la position et de tiré sur le regiment qui monter aux echelles Quand le premier regiment arriva sur les murs, les balistes qui etait derriere les murs tirâme sur l'infanterie ennemie sur les rempart.Un autre regiment de soldat romain monta sur les remparts.

Chapitre 3: La surprise

Notre général plein de courage alla monter a l'assaut avec ses 35 cavalier , un regiment de 46 cavaliers et un regiment d'infanterie de 81 hommes. Les romain fut destabilisé car il ne s'attender point a cette attaque. Nos cavaliers mirent en deroute 3 regiment de paysans alors que notre infanterie mis en droute la cavalerie ennemie. La garde du general chargea notre infantrie. Puis nos cavaliers qui avait liquidé l'infantrie ennemie chargea le général ennemie.
Sur les rempart regner une ambiance de victoire.
L'armée ennemie etait en deroute!
Il eu 606 morts du coté des romains et 20 survivants, de notre coté il eu 127 morts et 432 survivants

FIN

C'est un bon début.

Rome Total Wars

La Gaule est Défenseur et le Capitaine Diviciacus s'occupe du commandement
132 unités de cavalerie dont le capitaine
480 archers
258 soldats d'infanterie

Maison Scipii est l'Attaquant et le capitaine Valirius s'occupe du commandement
864 soldats d'infanterie dont capitaine
1 bélier
4 échelles

Chapitre I: Le massacre
Les troupes romaines avancent a grand pas alors que les archers Gaulois sur les rempart tirent a volonté.
Ils y a beaucoup de morts parmi les romains.
A force de tirer les archers réussisent a détruire le bélier, c'est alors que toutes les troupes Romaines s'arreterent sauf la troupe qui tient les échelles.

Chapitre II: Les échelles

Les archers Gaulois tirerent sur la troupe mais les Romains arrivent placer leurs échelles et a monter dans les rempart Gaulois.
A peine les Romains sont montés sur les rempart qu'ils se font tout de suite tuer grace a l'aide des archers qui n'étaient pas sur les remparts mais a l'intérieur de la ville
Pendant ce temps une troupe Romaines de 40 gladiateurs s'avancent vers l'échelles.
Une des troupes gauloise sur les remparts descent sur 2 échelles.Certains gladiateurs montent sur les 2 autres et d'autre attendent en bas que la troupe gauloise descendent.
La troupe gauloise est en bas et en bas comme en haut les gladiateurs se font tuer.
Une troupe Romaines s'approche de la troupe gauloise qui est au pied de l'échelle mais la troupe Gauloise est en sous nombre et se fait tuer.Une 2eme troupe gauloise descent l'échelle et combat la troupe Romaine.
La troupe Romainecommence a monter a l'échelle et la troupe gauloise suit les romains.
Les Romains sont bloqué entre deux troupes gauloises et sont finalement tuée

Chapitre III: La fuite du général

Les 96 druides ouvrent les portes et sortent combattre la troupe de 41 gladiateurs où se trouve le capitaine ennemi
Les druides sont aidée par les archers sur les remparts
Ils y a plein de morts de chaque coté.
Tout d'un coup les Romains fuient le champs de batailles.
Les druides les poursuivent en courant mais la batailles s'acheverat là et le capitaine ennemi prendrat la fuite

Rapport de bataille:

Gaule:
Troupes déployés: 871
Morts: 856
Survivants: 669 dont le capitaine

Maison Scipii:
Troupes déployés: 865
Morts: 239
Survivants: 9 dont le capitaine

Joueur: Oly78 (c'est mon frere)
Ecrivain: titi 78

Je suis désolé pour le retard mais je pense le finir ce week-end ou en fin de semaine

On attend toujours hein :lol!:

Je pense le finir la semaine prochaine !
J'ai envie de faire un beau truc quoi

Ouais je sais ce que c'est t'inquiète pô

Mon récit apparaitra à la prochaine MAJ du site

Ouais il est trop beau :lol!:

Non ile st vraiment très beau, ilustré et tout

Récit d’une vieille bataille qui est l’une de mes plus belles victoires.

Bomikar héritier de la couronne carthaginoise, après sa récente victoire à Capoue veut se diriger vers Rome. Il resta à Capoue 2ans le temps de reformer son armée et de se constituer une bonne base arrière si jamais les choses tournent mal. Mais le Sénat eu vent de ses projets et envoya l’armée d’élite du Sénat. Après 10 de marche alors qu’ils ne sont plus qu’à 5 jours de marche de Rome, Bomikar et ses hommes voient un campement romain. Il ne peuvent le contourner car d’un côté il y a la mer et de l’autre les montagnes, ils n’ont pas le choix c’est combattre et risquer de tous perdre ou rentrer à Capoue dans la disgrâce. Bomikar choisit la première solution et le lendemain le fort romain est mis en siège. A la surprise générale les romains montèrent à l’attaque des carthaginois. Bomikar envoya son infanterie à l’attaque des légionnaires romains gardant sa cavalerie en réserve si jamais les sénateurs qui commandent l’armée du Sénats tente une manœuvre de contournement. Se qu’il firent, alors Bomikar chargea avec sa cavalerie une mêlée furieuse s’engagea aussi bien chez l’infanterie que chez la cavalerie. Finalement la cavalerie carthaginoise pris le dessus, tous les Sénateurs qui prirent par au combats furent tués, le cavalerie Romaine annihilée. Pendant se temps l’infanterie carthaginoise avait repoussé l’infanterie romaine à l’intérieur du fort mais les romains fermèrent les portes avant que la cavalerie carthaginoises n’est eu le temps de rentrer dans le fort. S’engagea alors un combats à mort entre carthaginois et romains, les uns ne pouvant sortir étaient condamnés à un mort certaines sauf en cas de victoire et les autres devaient gardaient les fort sous que Rome tombe si le fort est pris. La lutte continua jusqu’à la nuits on ne comptait plus les morts et les blessés dans les deux camps chacun luttait pour sa vie. Les romains n’ayant plus de général finirent par céder. Ce jour là Carthage remporta une victoire décisive sur son pire ennemi Rome. Victoire décisive certes mais à quel prix plus de 850 Carthaginois sont tombés sous les coups de Rome. Bomikar due retourner à Capoue pour laisser reposer ses hommes et reformer son armée. L’année suivante Rome tombait prise par Bomikar.

Mon récit sera bientôt là

Oui t'inquiète pas Lio ! Je fais finis d'abord toutes les pages du site et je mettrais ensuite les récits ça sera plus simple pour moi

On va enfin pouvoir lire se chef d'oeuvre.

Chef d'oeuvre : faut rien exagérer !

Tu es trop modeste.

Je l'ai lu évidement, il est vraiment très prenant ! On se sent immédiatement plongé dans l'histoire !

Je trouve par contre qu'il est trop court

Mon récit sort demain :Coeur: