Le choix des armes

Un sondage à la con : Quelle est votre arme blanche favorite ?
En tant que barbare, je choisis la hache, mouahaha

Moi, la lance. Je la manie assez bien ( GN les gars ^^ ) et elle est polyvalente. Taille standard : 2.8m pour moi.
Elle permet des formations, et d'atteindre des ennemis barricadés.

Ah, ouais, mais elle est moins pratique dans un duel, je penses.

Oui, l'épé tu devrais décrire le type

Une épée gauloise mal forgé, courte, moyenne, longue à 2 mains?

N'importe quelle épée, je vais pas toute les décrire ici ... ça va du glaive à la claymore en passant par toutes les variétés, même en faisant rien que les épées y aurait pas assez d'entrées dans le sondage si on entre dans les détails.

Citation :

Ah, ouais, mais elle est moins pratique dans un duel, je penses.

Ca dépend du degré de maitrise que tu atteint. Il y a dans le film Tigre et Dragon une scene de duel ou l'un des combattant utilise une lance. C'est un style de combat que j'avais déja vu et qui est tres impressionant.

Sinon :lol!: tu as aussi les duels du film Troie.

j'ai voté "rape a fromage". Parce que le pire ennemi d'une armée est potentiellement son cuisinier.

Bien vu ! Y a qu'à lire One Piece

Sabre : sabre japonais.

Meilleure arme blanche de tout les temps. Meilleure penetration dans l'air afin d'avoir une rapidité et un impact surpuissant due a la forme de la lame.

L'impact a été mesuré avec des tests et il est d'une puissance inegalée face aux autres armes

L'arme ultime. Seul défaut, la fragilité du fil de soie (tranchant de la lame) face a certains chocs venant de coté

la hache parce que je suis un bourrin lol

L'épée est pour moi la meilleure arme.

Fatman a écrit:

Citation :

Ah, ouais, mais elle est moins pratique dans un duel, je penses.

Ca dépend du degré de maitrise que tu atteint. Il y a dans le film Tigre et Dragon une scene de duel ou l'un des combattant utilise une lance. C'est un style de combat que j'avais déja vu et qui est tres impressionant.

Sinon :lol!: tu as aussi les duels du film Troie.

j'ai voté "rape a fromage". Parce que le pire ennemi d'une armée est potentiellement son cuisinier.

Vous ne m'avez jamis vu moi et Seb au Gn ^^ C'est d'une violence rare. On assure comme des pros ( on gagne à un contre 2 facilement ). Même au corps à corps on a une botte secréte et on les massacre.

Ou alors il y a sa http://fr.youtube.com/watch?v=3IJ-kV6n7cM

Nidor ca fait plaisir de voir des gens qui font des gn. Le seul soucis avec un gn c'est que ce n'est absolument pas realiste

j'avoue ^^ Mais bon, il y a du vrai dedans, je me défend avec une lance, et les épées ne me touchent même pas.

Bonne astuce si tu n'as qu'une seule personne devant toi en même temps sinon je donne pas cher de ta peau.

Sinon attentionb une lance peut etre facilement contournable si on est tt seul. un grand coup de bouclier pour la devier et une charge par la suite ... Crois moi c'est très efficace

D'ou l'interet d'être mobile tout le temps dans un gn (j'en ai fait plusieurs et crois moi c'est la meilleure solution a force a force)

Masse: trop lente, expose trop de corps en cas de louper (emporté par l'énergie)

Hache, idem + risque de se planter dans le bouclier.

Fléau: idem que hache, + dangereux pour tous les 2.

Arme d'hast: si l'ennemi franchi le périmètre de sécurité que procure ce genre d'arme, c'est la mort.

Arme de jet: faut voir entre la précision, puissance, et temps de rechargement. Mais bof, pour un duel, c'est pas très viril.

épée: je pense que c'est le bon rapport : taille, puissance, rapidité, maniabilité. (taille + estoc)
un petit, faible pour l'épée à une main et 1/2. Pour le duel.
Epée courte style gladius et bouclier pour Bataille.

En fait tous dèpend de la situation mais une èpèe en duel reste plus utile.


En duel le lancier doit tous baser sur le premier coups,en fait si celui-ci n'est pas mortel s'en est finis du lancier car son arme est de 1 peu maniable et de 2 peut se casser si l'ennemis frappe assez fort surtous qu'a l'èpoque les gars qui possèdaient une èpèe savaient s'en servir.

La Hache doit surement etre trop lente et la hache courte pas assez puissante.

Les armes a distance sont les plus puissante pour moi mais leurs prèsence serait ètrange dans un duel.

J'ai voté pour la rape à fromage aussi.
C'est surtout efficace face a une armée de lépreux... Argh.

Arioch a écrit:

Bonne astuce si tu n'as qu'une seule personne devant toi en même temps sinon je donne pas cher de ta peau.

Sinon attentionb une lance peut etre facilement contournable si on est tt seul. un grand coup de bouclier pour la devier et une charge par la suite ... Crois moi c'est très efficace

D'ou l'interet d'être mobile tout le temps dans un gn (j'en ai fait plusieurs et crois moi c'est la meilleure solution a force a force)

Justement, ma botte secrète vise à élimer un adversaire qui est trop près. j'ai plusieurs fois été attaqué par deux mecs à la fois ( un devant un derrière ) mais je me porte sur l'un, lui fait ma botte ( il est calmé direct ^^) puis je me retourne vers l'autre.

Je pense que les techniques d'utilisation des armes médiévales étaient beaucoup plus complexes qu'on ne le pense. Par exemple on sous-estime beaucoup la hache, parce qu'on envisage seulement la frappe "de taille", avec le tranchant, alors que les formes diverses des haches médiévales devaient permettre toute une gestuelle de combat qui n'avait rien à envier à celle des arts martiaux orientaux. Par exemple, avec les pointes inférieures et supérieures de la lame d'une hache, vous pouvez facilement soulever ou arracher un bouclier, agripper une armure par une jointure pour faire chuter un chevalier, passer derrière le genou d'un adversaire et lui tirer la jambe comme avec un hameçon... On peut tout à fait imaginer une combinaison hache-épée / main droite - main gauche, avec la hache pour déséquilibrer l'adversaire ou désarticuler son armure, et l'épée pour achever avec un coup d'estoc.

D'une manière générale, l'Occident médiéval a sans doute cultivé des méthodes d'arts martiaux et de combat individuel, qui ont été complètement perdues et occultées suite à l'émergence des armes à feu.

Pour en avoir un bon aperçu, visitez le site de l' ARDAMHE, et en particulier la section "Manuels anciens". C'est excellent.



Enfin, pour ceux qui dénigrent et rapetissent les arts de la lance et du bâton, dois-je rappeler les prouesses du bon frère Jean des Entommeures ? Je vous rappelle qu'au vingt-septième chapitre de Gargantua, il écrabouille rien moins que 13 622 ennemis, avec un simple bâton de croix !!! Tout ça pour protéger la vigne et le pinard de son abbaye.

Voici l'extrait :

Citation :

Ce disant, mit bas son grand habit et se saisit du bâton de la croix qui était de cœur de cormier , long comme une lance, rond à plein poing, et quelque peu semé de fleurs de lys, toutes presque effacées. Ainsi sortit en beau sayon, mit son froc en écharpe, et de son bâton de la croix donna si brusquement sur les ennemis qui, sans ordre ni enseigne, ni trompette, ni tambourin, parmi le clos vendangeaient , - car les porteguidons et porte-enseignes avaient mis leurs guidons et enseignes l'orée des murs, les tambourineurs avaient défoncé leurs tambourins d'un côté pour les emplir de raisins, les trompettes étaient chargés de moussines, chacun était dérayé -, il choqua donc si roidement sur eux, sans dire gare, qu'il les renversait comme porcs, frappant à tort et à travers, à la vieille escrime.

Ès uns écrabouillait la cervelle, ès autres rompait bras et jambes, ès autres délochait les spondyles du col, ès autres démoulait les reins, avalait le nez, pochait les yeux, fendait les mandibules, enfonçait les dents en la gueule, décroulait les omoplates, sphacelait les grèves, dégondait les ischies , débezillait les faucilles.
Si quelqu'un se voulait cacher entre les ceps plus épais, à icelui froissait toute l'arête du dos et l'éreinait comme un chien.
Si aucun sauver se voulait en fuyant, à icelui faisait voler la tête en pièces par la commissure lambdoïde. Si quelqu'un gravait en un arbre, pensant y être en sûreté, icelui de son bâton empalait par le fondement.

Si quelqu'un de sa vieille connaissance lui criait : « Ha ! frère Jean, mon ami, frère Jean, je me rends ! »

« - Il t'est, disait-il, bien force ; mais ensemble tu rendras l'âme à tous les diables ». Et soudain lui donnait dronos. Et si personne tant fût épris de témérité qu'il lui voulût résister en face, là montrait-il la force de ses muscles. Car il leur transperçait la poitrine par le médiastin et par le cœur ; à d'autres donnant sur la faute des côtes, leur subvertissait l'estomac, et mouraient soudainement ; ès autres tant fièrement frappait par le nombril qu'il leur faisait sortir les tripes. Croyez que c'était le plus horrible spectacle qu'on vit onques.

Les uns criaient : « Sainte Barbe ! », les autres « Saint Georges ! », les autres « Sainte Nitouche ! », les autres « Notre-Dame de Cunault, de Lorette, de Bonnes Nouvelles, de la Lenou, de Rivière ! ». Les uns se vouaient à saint Jacques ; les autres au saint suaire de Chambéry ... Les uns mouraient sans parler, les autres parlaient sans mourir, les uns mouraient en parlant, les autres parlaient en mourant. Les autres criaient à haute voix : « Confession ! confession ! Confiteor, miserere, in manus ».

Tant fut grand le cri des navrés, que le prieur de l'abbaye avec tous ses moines sortirent, lesquels, quand aperçurent ces pauvres gens ainsi rués parmi la vigne et blessés à mort, en confessèrent quelques-uns. Mais, cependant que les prêtres s'amusaient à confesser, les petits moinetons coururent au lieu où était frère Jean, et lui demandèrent en quoi il voulait qu'ils lui aidassent.

À quoi répondit qu'ils égorgetassent ceux qui étaient portés par terre. Adonc, laissant leurs grandes capes sur une treille au plus près, commencèrent égorgeter et achever ceux qu'il avait déjà meurtris . Savez-vous de quels ferrements ? À beaux gouvets, qui sont petits demi-couteaux dont les petits enfants de notre pays cernent les noix.

Puis, à tout son bâton de croix, gagna la brèche qu'avaient faite les ennemis. Aucuns des moinetons emportèrent les enseignes et guidons en leurs chambres pour en faire des jarretières. Mais quand ceux qui s'étaient confessés voulurent sortir par icelle brèche, le moine les assommait de coups, disant : « Ceux-ci sont confès et repentants et ont gagné les pardons : ils s'en vont en paradis aussi droit comme une faucille, et comme est le chemin de Faye . » Ainsi, par sa prouesse, furent déconfits tous ceux de l'armée qui étaient entrés dedans le clos, jusques au nombre de treize mille six cent vingt et deux, sans les femmes et petits enfants , cela s'entend toujours.

Jamais Maugis ermite ne se porta si vaillamment à tout son bourdon contre les Sarrasins, desquels est écrit ès gestes des quatre fils Aymon , comme fit le moine à l'encontre des ennemis avec le bâton de la croix.

Rabelais, GARGANTUA, Chap. XXVII

Je pense que les techniques d'utilisation des armes médiévales étaient beaucoup plus complexes qu'on ne le pense. Par exemple on sous-estime beaucoup la hache, parce qu'on envisage seulement la frappe "de taille", avec le tranchant, alors que les formes diverses des haches médiévales devaient permettre toute une gestuelle de combat qui n'avait rien à envier à celle des arts martiaux orientaux. Par exemple, avec les pointes inférieures et supérieures de la lame d'une hache, vous pouvez facilement soulever ou arracher un bouclier, agripper une armure par une jointure pour faire chuter un chevalier, passer derrière le genou d'un adversaire et lui tirer la jambe comme avec un hameçon... On peut tout à fait imaginer une combinaison hache-épée / main droite - main gauche, avec la hache pour déséquilibrer l'adversaire ou désarticuler son armure, et l'épée pour achever avec un coup d'estoc.

D'une manière générale, l'Occident médiéval a sans doute cultivé des méthodes d'arts martiaux et de combat individuel, qui ont été complètement perdues et occultées suite à l'émergence des armes à feu.

Pour en avoir un bon aperçu, visitez le site de l' ARDAMHE, et en particulier la section "Manuels anciens". C'est excellent.



Enfin, pour ceux qui dénigrent et rapetissent les arts de la lance et du bâton, dois-je rappeler les prouesses du bon frère Jean des Entommeures ? Je vous rappelle qu'au vingt-septième chapitre de Gargantua, il écrabouille rien moins que 13 622 ennemis, avec un simple bâton de croix !!! Tout ça pour protéger la vigne et le pinard de son abbaye.

Voici l'extrait :

Citation :

Ce disant, mit bas son grand habit et se saisit du bâton de la croix qui était de cœur de cormier , long comme une lance, rond à plein poing, et quelque peu semé de fleurs de lys, toutes presque effacées. Ainsi sortit en beau sayon, mit son froc en écharpe, et de son bâton de la croix donna si brusquement sur les ennemis qui, sans ordre ni enseigne, ni trompette, ni tambourin, parmi le clos vendangeaient , - car les porteguidons et porte-enseignes avaient mis leurs guidons et enseignes l'orée des murs, les tambourineurs avaient défoncé leurs tambourins d'un côté pour les emplir de raisins, les trompettes étaient chargés de moussines, chacun était dérayé -, il choqua donc si roidement sur eux, sans dire gare, qu'il les renversait comme porcs, frappant à tort et à travers, à la vieille escrime.

Ès uns écrabouillait la cervelle, ès autres rompait bras et jambes, ès autres délochait les spondyles du col, ès autres démoulait les reins, avalait le nez, pochait les yeux, fendait les mandibules, enfonçait les dents en la gueule, décroulait les omoplates, sphacelait les grèves, dégondait les ischies , débezillait les faucilles.
Si quelqu'un se voulait cacher entre les ceps plus épais, à icelui froissait toute l'arête du dos et l'éreinait comme un chien.
Si aucun sauver se voulait en fuyant, à icelui faisait voler la tête en pièces par la commissure lambdoïde. Si quelqu'un gravait en un arbre, pensant y être en sûreté, icelui de son bâton empalait par le fondement.

Si quelqu'un de sa vieille connaissance lui criait : « Ha ! frère Jean, mon ami, frère Jean, je me rends ! »

« - Il t'est, disait-il, bien force ; mais ensemble tu rendras l'âme à tous les diables ». Et soudain lui donnait dronos. Et si personne tant fût épris de témérité qu'il lui voulût résister en face, là montrait-il la force de ses muscles. Car il leur transperçait la poitrine par le médiastin et par le cœur ; à d'autres donnant sur la faute des côtes, leur subvertissait l'estomac, et mouraient soudainement ; ès autres tant fièrement frappait par le nombril qu'il leur faisait sortir les tripes. Croyez que c'était le plus horrible spectacle qu'on vit onques.

Les uns criaient : « Sainte Barbe ! », les autres « Saint Georges ! », les autres « Sainte Nitouche ! », les autres « Notre-Dame de Cunault, de Lorette, de Bonnes Nouvelles, de la Lenou, de Rivière ! ». Les uns se vouaient à saint Jacques ; les autres au saint suaire de Chambéry ... Les uns mouraient sans parler, les autres parlaient sans mourir, les uns mouraient en parlant, les autres parlaient en mourant. Les autres criaient à haute voix : « Confession ! confession ! Confiteor, miserere, in manus ».

Tant fut grand le cri des navrés, que le prieur de l'abbaye avec tous ses moines sortirent, lesquels, quand aperçurent ces pauvres gens ainsi rués parmi la vigne et blessés à mort, en confessèrent quelques-uns. Mais, cependant que les prêtres s'amusaient à confesser, les petits moinetons coururent au lieu où était frère Jean, et lui demandèrent en quoi il voulait qu'ils lui aidassent.

À quoi répondit qu'ils égorgetassent ceux qui étaient portés par terre. Adonc, laissant leurs grandes capes sur une treille au plus près, commencèrent égorgeter et achever ceux qu'il avait déjà meurtris . Savez-vous de quels ferrements ? À beaux gouvets, qui sont petits demi-couteaux dont les petits enfants de notre pays cernent les noix.

Puis, à tout son bâton de croix, gagna la brèche qu'avaient faite les ennemis. Aucuns des moinetons emportèrent les enseignes et guidons en leurs chambres pour en faire des jarretières. Mais quand ceux qui s'étaient confessés voulurent sortir par icelle brèche, le moine les assommait de coups, disant : « Ceux-ci sont confès et repentants et ont gagné les pardons : ils s'en vont en paradis aussi droit comme une faucille, et comme est le chemin de Faye . » Ainsi, par sa prouesse, furent déconfits tous ceux de l'armée qui étaient entrés dedans le clos, jusques au nombre de treize mille six cent vingt et deux, sans les femmes et petits enfants , cela s'entend toujours.

Jamais Maugis ermite ne se porta si vaillamment à tout son bourdon contre les Sarrasins, desquels est écrit ès gestes des quatre fils Aymon , comme fit le moine à l'encontre des ennemis avec le bâton de la croix.

Rabelais, GARGANTUA, Chap. XXVII

:Bravo: merci !

C'était ... très sale

En tand que grand pratiquand de GN au Québec, j'ai developper une préférence pour:

L'épé bartade:cFacile a maniere, bonne longeur, 1 et 2 main d'utilisation, on vise la puissance ou la défence avec un bouclier.

Masse: Simple d'utilisation, et combiner a un bouclier tu peu bien te defendre. Et la masse a pas d'angle mort, tu peu fraper dans tout les sens et tu est sur de faire du degat.

Fléaux: Contre les bouclier sa tue.

Lance et baton: Simple, mais éfficasse, mais faut toujours bouger sans laisser l'adversaire prendre le controle. Surtout utile en meller avec beaucoup de monde, pour faire le vide autour de soit ave de large mouvement.

:oK:
Tu veux bien t'inscrire sur mon site stp ?
* quoi c'est qui ce belge inconnu qui me cause ?!
C'est moi ^^ Je suis en train de créer un groupe autour de moi, on est déjà une bonne quizaine. Ce serait cool que des gars qui ont "fait le Québec" se joignent à nous ( du moins pour causer sur le forum) afin d'améliorer nos activités.
Ca te dis ? http://grandeurnature.team-talk.net/index.htm

J'y vait.

Merci

Épée pour moi. Je m'entraine souvent avec différent type d'arme, et le fait que je suis gaucher me rend, naturellement, plus doué dans les chose à faire de ma mains gauche (prouver scientifiquement, les gaucher sont plus doué que les droitiers dans les tache manuelles.)

Bref je me révélé pas mauvais, j'ai même créé quelque technique.(ou sorti du tombeau) Mais je manie aussi assez bien un arc, bâton hache et autre arme. Les katana aussi mais ils ne colleraient pas avec un bouclier.^^


Bref l'épée que je choisirais surement atteindra surement la longueur de mon bras, aiguisé des deux coté avec garde en croix (indispensable pour l'une de mes techniques.) Et le fusée assez grand pour pouvoir la prendre à deux si nécessaire, avec un paumeaux pour pas que mes mains glisse.


EDIT: pardonner mon ignorance mais c'est quoi du GN?? merci.!!!

Citation :

(prouver scientifiquement, les gaucher sont plus doué que les droitiers dans les tache manuelles.)

En plus et surtout, les droitiers sont génés lorsqu'ils se battent contre un gaucher. Et au moyen-âge, les escaliers sont faits pour empécher les assaillants (droitiers) de manoeuvrer. Les gauchers n'ont pas ce problème mais ils ont plus de mal à défendre.

Les gauchers sont, techniquement, tout aussi gênés contre un droitier... Sauf qu'ils ont plus de chances de s'entraîner avec des droitiers -donc de prendre l'habitude- que des droitiers s'entraînent avec des gauchers.

Sinon, pour ce qui est de mon arme... La râpe à fromage, parce que râper la plante des pieds d'un ennemi, c'est terriblement mortel.